Elle peut être liée à un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire, une péricardite, une dissection aortique. Cela peut être aussi des douleurs liées à des pathologies pulmonaires, des douleurs projetées d'origine digestive.
Systématiquement, devant une douleur thoracique, il faut éliminer six diagnostics : syndrome coronarien aigu (infarctus), embolie pulmonaire, dissection aortique, pneumothorax, pneumopathie, péricardite aiguë.
Sensation brève de douleur et d'angoisse. Sentiment qui donne cette sensation.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Une pointe au cœur passagère n'est pas pour autant signe d'un symptôme grave. Il est recommandé de consulter un médecin ou un cardiologue si ce pincement au cœur persiste ou que la douleur a du mal à s'estomper.
Son sommet (ou apex) repose sur le muscle diaphragme et pointe vers le bas, en avant, à gauche.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Infarctus ou « crise cardiaque »
La douleur ne cède pas et reste intense sur la durée. La crise d'angoisse peut provoquer des sensations d'étouffement et d'essoufflement. La crise cardiaque ne provoque pas de sensation d'étouffement ou d'essoufflement.
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Chacun de nous peut sentir battre la pointe du cœur entre deux côtes, du côté gauche, vers la partie basse du thorax. Le cœur repose, par une face inférieure, sur le diaphragme qui le sépare des viscères de l'abdomen.
Il est très commun de souffrir de stress ou d'anxiété, de nombreuses personnes peuvent éprouver cette sensation à un moment de leur vie. Mais pour certains, l'anxiété peut engendrer plus qu'un sentiment de peur et d'inquiétude et provoquer des symptômes physiques, tels que des douleurs thoraciques.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Elles doivent s'alerter si elles ressentent de manière brutale ou intense les symptômes suivants : oppression thoracique, difficultés à respirer, palpitations, essoufflement à l'effort ou parfois au repos, grande fatigue persistante, troubles digestifs, nausées.
Elle peut être liée à un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire, une péricardite, une dissection aortique. Cela peut être aussi des douleurs liées à des pathologies pulmonaires, des douleurs projetées d'origine digestive.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.