Une envie très forte de malbouffe par exemple (salé + gras) n'est pas reliée à notre survie… Cette envie passe donc par différents endroits du cerveau, mais entre autres par le système de plaisir et de récompense, qui est également relié à l'addiction.
Quand on mange plus de sucre et d'hydrates de carbone simples – ceux du pain blanc, des pâtisseries et des pâtes –, on se réveille plus souvent pendant la nuit. Mieux vaut manger des hydrates de carbone complexes et des fibres pour dormir profondément. «Les hydrates de carbone complexes stabilisent la glycémie.
L'envie de fast food est liée à la déshydratation et au manque de sucre. Dans le Daily Mirror, le Dr Simic expliquait les raisons pour lesquelles notre corps réclamait des frites, burgers, et autres plats caloriques pendant une gueule de bois.
La personne en surpoids qui croit pouvoir mincir en mangeant des barres minceurs qui au final sont composées à 50% de sucre et d'édulcorant. Le végétarien pressé qui veut se faire des boulettes de légumes sous vide bourrées d'additifs et de sucres.
Et la malbouffe, quoi qu'on en dise, nous rend finalement tristes. Comment ? En réduisant le taux de fabrication de nouveaux neurones par l'hippocampe. Des recherches ont en effet établi un lien entre un nombre réduit de jeunes neurones et des maladies neurologiques telles que la dépression.
En effet, la sérotonine modère notre appétit, nos envies de sucre. La sérotonine est l'hormone de la sérénité, de la prise de recul. C'est une substance anti-stress. C'est une vision peut être un peu réductrice car de nombreux neuromédiateurs et autres facteurs interviennent pour nous procurer un équilibre.
Une envie soudaine de pâtes ou de pain blanc peut indiquer un manque de tryptophane. C'est à partir de cet acide aminé qu'est fabriquée la sérotonine, la fameuse hormone du bien être. Si votre alimentation ne contient pas assez de glucides, votre humeur va donc en pâtir.
Quand on mange des bonbons par exemple, la glycémie augmente et l'insuline est libérée dans l'organisme. Suite à ce pic de sucre, vous êtes pleine d'énergie mais très vite, l'effet retombe comme un soufflé et vous êtes prise d'un sentiment d'épuisement… jusqu'à la prochaine dose de sucre.
La malbouffe
Les conséquences de la malbouffe peuvent être dramatiques et entrainer facilement un état de fatigue permanente. Le gras, le sucre raffiné, le fait de trop manger... ce sont des ennemis à éviter car ils peuvent anéantir les défenses de notre corps, et le rendre fatigué et extrêmement vulnérable.
Qu'est-ce que la fibromyalgie ? La fibromyalgie est une maladie qui associe douleurs musculaires ou articulaires permanentes, fatigue chronique, troubles du sommeil, symptômes dépressifs et troubles anxieux. La personne qui en souffre se plaint d'avoir mal partout sans interruption pendant des mois.
Parce que le cerveau désire les aliments qu'il connaît, avoir constamment sous la main de la nourriture faible en calories fera en sorte que vous en mangerez plus souvent, et que vous voudrez en consommer davantage.
Les conséquences du sucré le matin
Au petit-déjeuner, à jeun, votre corps peut réagir trop fort à l'apport exagéré de sucre. Vous avez alors trop peu de sucre dans le sang : c'est l'hypoglycémie. Une baisse d'énergie peut se faire ressentir.
Le soir, le corps va stocker les graisses et même, transformer le sucre en gras au niveau du ventre, des hanches et des fesses. Logique, car il n'a pas besoin de beaucoup d'énergie pendant le sommeil.
"Quand on mange du sucre, le pancréas secrète de l'insuline trop rapidement, et quand ce taux baisse on se retrouve en hypoglycémie et donc fatigué", précise la médecin nutritionniste.
La pomme. La pomme est l'aliment coupe-faim le plus répandu et le plus connu. Son action coupe-faim est due à sa richesse en fibres et en pectine. La pectine est une substance organique mucilagineuse qui, une fois consommée gonfle dans l'estomac.
Son utilisation massive dans les chaînes de restauration rapide pour garder le goût, la fraîcheur et l'apparence est clairement dangereuse pour la santé. Avec les acides gras saturés, c'est le cholestérol et un accident cardio-vasculaire qui guettent. Surtout, ces aliments ont une trop haute teneur en énergie.
Les très faibles revenus ont une autre incidence sur les comportements alimentaires. D'une part, les personnes pauvres mangent rarement à l'extérieur. D'autre part, leurs faibles ressources ne leur permettent pas de « recevoir des parents ou des amis, pour boire un verre ou pour un repas, au moins une fois par mois ».