Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.
Plusieurs solutions pour travailler sa phobie de l'autoroute : La technique des TCC, Thérapies Cognitives et Comportementales, permet d'annuler les divers traumatismes vécus par le sujet pour lui permettre de reprendre la conduite.
Je n'arrivais pas à mettre de nom dessus et on m'a dit que c'était de l'amaxophobie, la phobie de l'autoroute. Par exemple, quand je conduis dans Paris, je n'ai aucun problème, je peux vous emmener où vous voulez.
L'amaxophobie, ou peur de conduire, se traduit par un pic de stress ou des crises d'angoisse au moment de prendre le volant, voire même en anticipation.
Plusieurs éléments peuvent expliquer la peur de conduire : Le manque de confiance en soi qui entraîne une peur de faire une erreur de conduite ou une peur de créer un accident de la route. Si on a peur même en étant passager, cela peut provenir d'un manque de confiance envers les autres.
Pour les passagers, la peur en voiture vient souvent d'un manque de maîtrise de la situation (sensation de faiblesse) mais aussi, parfois, d'un manque de confiance en la personne qui conduit. Ces pics d'anxiété peuvent être apprivoisés grâce à une gestion du stress optimisée et à un travail sur soi.
En cas de tension importante, quelques exercices de crispation volontaire de la main puis de relâchement, en alternant sur quelques secondes, sur le volant ou le levier de vitesse, peuvent être utiles. Et puis si l'angoisse persiste, on s'arrête à un endroit où cela est possible, on se détend puis on repart."
Pour rouler en toute sécurité, évitez les distractions : éteignez votre téléphone ou programmez-le pour qu'il transmette un message d'absence automatique en cas d'appel ou de SMS reçu. Configurez votre itinéraire sur le GPS avant de partir.
Il n'existe pas de médicaments spécifiques pour traiter l'amaxophobie, on parle plutôt de traitement par psychothérapie. Comme pour une grande partie des phobies, la thérapie cognitive et comportementale (TCC) a largement démontré son efficacité pour en soulager les symptômes.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet.
Pour des longs trajets, faites des pauses régulières. Lorsque vous avez le choix, conduisez lorsqu'il y a moins de trafic. Ne pas hésiter à changer de conducteur si nécessaire. Une bonne alimentation : éviter d'être déshydraté ou affamé
Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
12- Chevauche tes mains dans un tournant, puis laisse glisser le volant pour qu'il revienne tout seul. 13- Si je ne te donne aucune direction, c'est que tu dois aller tout droit. Même dans un rond point. 14- Un piéton sur le trottoir en face d'un passage piéton, on le laisse passer s'il n'y a pas de danger à l'arrière.
Dès les premières heures de conduite, les moniteurs insistent sur la nécessité de regarder loin. Mais comment doit-on appliquer cette consigne ? Il suffit de déplacer le regard loin devant soi, jusqu'à 5 secondes environ.
Pourquoi est-t-on malade en voiture ou dans un autre moyen de transport ? Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Il est conseillé de s'insérer sur une entrée d'autoroute, derrière un véhicule plutôt que devant. Qu'il s'agisse d'emprunter une entrée d'autoroute, une bretelle de sortie ou de se présenter au péage, il est essentiel de respecter les distances de sécurité avec les autres usagers.
Prendre un maximum d'élan à l'entrée de la voie d'accélération : pousser les rapports de vitesse (plage d'utilisation entre 40 et 110 km/h selon traffic) ; Stabiliser la trajectoire et la position (centre de la voie) ; Contrôler latéralement et activer les clignotants.
Tout conducteur qui emprunte une bretelle de raccordement autoroutière doit céder le passage aux véhicules qui circulent sur l'autoroute. Le fait, pour tout conducteur, de ne pas respecter les règles de priorité fixées au présent article est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
Freiner pour ralentir
Si vous voulez décélérer, le simple fait de relâcher la pédale d'accélérateur est souvent bien suffisant.