"Les larmes sont nécessaires pour que l'œil reste humide et elles contiennent des protéines et d'autres substances qui maintiennent l'œil sain et permettent de combattre les infections", affirme Michael Trimble, l'auteur de Pourquoi les humains aiment pleurer, publié dans la revue Scientific American.
Il semblerait que notre corps utilise les larmes pour se purger des toxines de stress. Pour les psychologues, pleurer est une manière de se soulager, d'évacuer des émotions que nous n'arrivons pas à verbaliser, même à l'âge adulte.
Définition de pleureur
➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Pleurer plus souvent ou sans savoir pourquoi peut évoquer une affection mentale telle qu'une dépression, de l'anxiété, une dépression post-partum ou un trouble bipolaire. Si vous pensez que vos pleurs sont liés à un problème de santé mentale, il est nécessaire de consulter votre médecin généraliste.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Bien qu'il soit communément admis que pleurer des larmes émotionnelles peut allonger vos cils, il n'existe aucune preuve scientifique à l'appui.
Si cela semble trop complexe et si l'on n'arrive pas à exprimer ses sentiments, il faut consulter un psychologue ou psychiatre afin d'en connaître la cause. Pleurer de manière régulière sans savoir pourquoi peut relever du pathologique et d'une dépression.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Pleurer par émotion se reflète chez une personne dont les larmes coulent souvent à travers de gros sanglots, suite à une souffrance due à une situation difficile à accepter. La personne laisse son mental la diriger et s'apitoie inconsciemment sur son sort en entretenant ses peurs et ses culpabilités.
Les larmes d'émotion contiennent plus de protéines que les autres types de larmes, de même que des hormones, du manganèse et du potassium. Selon des chercheurs de l'Université de la Floride du Sud, pleurer permettrait d'en rétablir les taux dans le corps, ce qui contribue à conserver l'organisme en bonne santé.
Faut-il se retenir ? Sûrement pas. Certaines personnes, sans craquer, ressentent un fréquent besoin de pleurer. Elles sont sujettes à des irrégularités d'humeur, une instabilité psychique source de souffrance et de conflits.
Les larmes (combinaison de sel et d'eau) n'ont pas d'effet néfaste direct sur les pores de la peau.
Une inflammation du sac lacrymal de l'œil, ou dacryocystite provoque des larmoiements nombreux et persistants, comme lors d'un gros rhume ou d'une sinusite.
Pleurer est une expression de la douleur psychique dans ce cas-là..., qui permet d'évacuer un peu de la pression douloureuse. Reconnaître, exprimer et accepter de traverser les émotions ressenties est une condition pour aller vers un mieux être.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Elle s'imprimerait jusqu'aux cellules et accélérerait leur vieillissement, selon une nouvelle étude. La dépression donne un sérieux coup de vieux. Et ce n'est pas que dans la tête que ça se passe. Cette maladie affaiblirait l'organisme jusqu'aux cellules, qu'elle fait vieillir plus vite.
Des études ont démontré que les larmes émotives contiennent une teneur élevée en protéines, en manganèse et en potassium, ainsi que beaucoup d'hormones, dont la prolactine. Le manganèse est un nutriment essentiel.
Pleurer n'est en rien une honte. C'est un peu « le pansement de l'âme ». En pleurant, votre corps libère des substances qui jouent le rôle de calmants naturels. Ainsi, votre douleur s'apaise petit à petit.
Elle correspond à une réaction exagérée liée à la peur. Elle est liée à une grande tension nerveuse et à beaucoup d'hyperémotivité. Ce sont les émotions, qui, en s'accumulant sous forme de tension nerveuse déclenchent les malaises spectaculaires qui empoisonnent la vie du spasmophile.
Serrez les poings le plus fort possible, comme si vous étiez en colère. Prenez une profonde inspiration et relâchez un peu vos mains en expirant. Recommencez en desserrant chaque fois un peu plus les poings, jusqu'à ce que vos mains soient complètement ouvertes.
Les larmes basales et les larmes réflexes contiennent plus de sel que les larmes émotionnelles, ce qui est important pour la santé des yeux. Les larmes émotionnelles contiennent davantage d'autres éléments, notamment une hormone qui agit comme un analgésique naturel.