Plusieurs causes peuvent expliquer ces maux de tête quand ils surviennent au réveil : Vous êtes déshydraté : pensez à bien boire avant de vous coucher. Vous avez un peu trop bu la veille. Vous vivez une période de fatigue ou de stress.
en urgence (appelez le 15 ou le 112) si votre mal de tête est intense, soudain ou inhabituel, ou si vous présentez d'autres symptômes comme de la fièvre, une tension derrière la nuque, des vomissements, des troubles oculaires ou de la locution, un affaiblissement général, une sensation de malaise ou des convulsions.
Des céphalées inhabituelles chez une personne migraineuse
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
De nombreuses maladies infectieuses s'accompagnent de maux de tête : sinusite, grippe, mononucléose infectieuse et méningite qui est, dans ce cas, une situation d'urgence...
La posture de la pince assise a toujours été connue pour ses bienfaits sur le cerveau. Cette posture réduit la fatigue et l'anxiété et soulage les maux de tête. En position assise, les jambes tendues, les pieds joints ; posez vos mais bien à plat sur le sol, à côté des fesses, les doigts dirigés en arrière.
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
Il se peut aussi que vous soyez malade : le mal de tête peut être le symptôme d'une sinusite, d'une grippe, etc… S'il se manifeste toujours du même côté, il peut être également le symptôme d'une pathologie dentaire. Dans ces cas il faudra consulter afin de recevoir le traitement adapté.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Lorsqu'un mal de tête est déclenché par un trouble de la vision, la douleur est localisée autour des yeux ou au niveau du front. Ce type de douleur doit vous encourager à aller consulter un ophtalmologue. Fréquemment, ce trouble de la vision à l'origine de maux de tête n'est autre que de l'hypermétropie.
Les migraines peuvent être déclenchées par un manque de sommeil, des changements de temps, la faim, une stimulation excessive des sens, le stress ou d'autres facteurs. Elles peuvent être aggravées par l'activité physique, la lumière, les sons ou les odeurs.
Les maîtres signes d'une tumeur cérébrale, ce sont les maux de tête. Alors tout le monde a des maux de tête, mais vont s'ajouter des nausées, des vomissements. Ce sont des choses qui vont augmenter insensiblement et régulièrement, alors que les migraines c'est par salves.
La douleur est très intense, pénétrante mais sans pulsation et se situe d'un seul côté de la tête. Des larmes, de la congestion et de la sudation peuvent accompagner la douleur. La migraine : Elle peut survenir une fois par année et jusqu'à trois fois par jour.
La migraine ophtalmique est une céphalée (mal de tête) récurrente qui survient après ou en même temps que des troubles visuels et qui touche plus souvent la femme. Les causes de la migraine ophtalmique sont nombreuses : stress, manque de sommeil, tabagisme,...etc.
Ces maux de tête sont souvent provoqués par un état de stress ou de fatigue, justement, et ils peuvent survenir dès le matin. D'autres facteurs peuvent également entrer en compte comme les blocages musculaires, la consommation d'alcool ou des problèmes de vision.
On appelle névralgie d'Arnold une douleur d'origine nerveuse, provoquée par la compression du nerf d'Arnold (ou nerf grand occipital). Chargé d'innerver les muscles profonds du cou, ce nerf joue deux grands rôles : un rôle moteur (mobilité du cou) et un rôle sensitif (il nous permet de sentir notre cuir chevelu).
Les céphalées dues au stress apparaissent souvent en fin de journée, quand la fatigue s'ajoute au stress et donne une impression de pression dans la tête. Ainsi dans certains cas, des céphalées fréquentes peuvent être le signe d'alerte d'un état de surmenage.
Un mal de tête : la douleur est légère à modérée en étau, des deux côtés de la tête, sans nausées. Il s'agit le plus souvent d'une céphalée de tension, provoquée par le stress et/ou à la fatigue. Une rupture d'anévrisme : la douleur, de survenue brutale, est d'emblée très intense.
Quand on a un petit accident qui peut précéder un accident vasculaire, c'est très rapide. En moins de 5 minutes, l'ensemble du bras peut être complètement anesthésié. Alors que pour une migraine, tout évolue doucement. C'est caractéristique de la migraine.
L'âge. Bien que les tumeurs cérébrales peuvent survenir à tout âge, les risques augmentent en vieillissant. La majorité des tumeurs sont diagnostiquées chez des personnes de plus de 45 ans. Toutefois, certains types de tumeurs toutefois, comme les médulloblastomes, surviennent presque exclusivement chez les enfants.
Seule l'IRM puis la biopsie de tissus lésés permettent de diagnostiquer la malignité de la tumeur cérébrale. Et, notamment, de poser le diagnostic d'un glioblastome, qui est à la fois le plus fréquent des cancers du cerveau (même s'il reste rare) et aussi le plus agressif.
Ce sont des substances utilisées dans la production de carburants et de produits dérivés du pétrole, ou dans la fabrication des plastiques et des caoutchoucs synthétiques. De plus, la manipulation de certains pesticides ou de substances radioactives semble également être un facteur de risque.
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
Les douleurs à la nuque sont dites chroniques lorsqu'elles durent plus de trois mois. Lorsqu'elles s'accompagnent de symptômes autres que ceux mentionnés (exemple : nausées, vomissements, sensibilité à la lumière, fièvre, frissons, troubles nerveux, paralysie, etc.), il fortement recommandé de consulter un médecin.