Interrogée par: Sabine Riou-Aubry | Dernière mise à
jour: 30. September 2022 Notation: 4.6 sur 5
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La dysmorphophobie : symptômes et conséquences
La dysmorphophobie
dysmorphophobie
La dysmorphophobie, dysmorphobie ou trouble dysmorphique corporel (TDC) (BDD, Body dysmorphia disorder en anglais) est un trouble mental caractérisé par une idée obsessive qu'une partie de son corps, voire son corps au complet, est rempli de défauts.
est un trouble de l'image de soi où la personne qui en souffre, a une vision déformée de son corps et/ou de son visage. Elle va avoir des préoccupations obsédantes par rapport à un aspect de son physique perçu comme un défaut.
Les complexes se créent lorsqu'on focalise des pensées sur une partie de son corps et qu'on la juge disgracieuse. Ce mal-être peut aussi donner lieu à l'obésité ou des comportements addictifs comme des troubles alimentaires. Sans compter des phobies de toute nature.
On parle en médecine de «dysmorphophobie»: l'impression ou la conviction, exagérée ou fausse, d'une disgrâce physique majeure devient envahissante et très douloureuse. Heureusement, ces obsessions sont modifiables. Retrouver une relation plus apaisée avec son corps est tout à fait possible.
POURQUOI JE N'AIME PAS MON CORPS ? | | Tout est faux, instagram, bad bodyimage...
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Bannir miroirs et balances. Cela fait bien longtemps que j'ai perdu l'habitude de me peser, je n'ai d'ailleurs jamais eu, depuis que j'ai quitté le foyer familial, de balance « à moi ». ...
Installez-vous confortablement sur une chaise et respirez calmement, tout en vous concentrant sur votre visage. Inspirez par le nez, serrez les mâchoires, expirez et desserrez-les. Puis inspirez par la bouche en mimant le son « O », expirez et détendez tout votre visage.
Au fil du temps, voir des années, en fonction des expériences du couple, la personnalité de chacun est plus présente à l'autre et des désaccords peuvent apparaître. L'autre n'est pas forcément en cause, mais il devient en inadéquation avec ce que nous sommes devenus et le sens que nous donnons à notre vie.
La misanthropie (du grec ancien μῖσος / mîsos « haine » et ἄνθρωπος / ánthrôpos « homme », « genre humain ») est le fait de détester ou mépriser le genre humain dans son ensemble, sans aucune distinction de sexe, d'ethnie, de religion ou de nationalité.
Vide que l'on ressent au fond de soi et qu'il est bien-sûr, pour vous sentir mieux, impératif de remplir. La solution la plus simple consisterait à combler ce vide en allant chercher à l'extérieur de soi, donc chez l'autre. Chez des amis, dans la famille mais le plus souvent on part à la recherche d'un amoureux(se).
Comment savoir si on a un complexe de supériorité ?
Par exemple, lorsqu'une personne est satisfaite d'elle-même, elle est beaucoup plus susceptible de se réjouir des succès de son entourage. D'autre part, lorsqu'une personne est mal à l'aise avec elle-même, elle peut finir par rabaisser les autres. Cela peut être le signe d'un complexe de supériorité.
Le complexe d'infériorité peut se définir : " la mauvaise opinion qu'on a de soi-même " ; il faut ajouter que cette opinion est, d'ordinaire, un " sentiment obscur " plutôt qu'un jugement lucide, et qu'elle se développe dans le " subconscient ", à la suite d'impressions pénibles, plus ou moins " refoulées " comme ...
Il ne faut pas se replier sur soi, mais regarder les autres, leur parler, pour comprendre comment ils fonctionnent avec leurs imperfections. Une personne complexée est orgueilleuse : elle ne croit pas les avis extérieurs, est persuadée qu'elle a raison. Il faut changer d'attitude et écouter ce qu'on nous dit.