C'est ce qui s'appelle l'amusie, une anomalie neurologique à cause de laquelle le rythme, la mélodie ou les accords de musique (ou tout à la fois) ne sont pas perçus ou n'ont pas de sens pour une personne d'audition par ailleurs normale.
Être insensible à la musique porte un nom dans la communauté scientifique : l'« anhédonie » musicale. Une nouvelle étude a révélé que 3 à 5 % de la population était soumise à ce symptôme unique, soit une absence de connexions cérébrales entre la zone qui traite les sons et la zone de récompense.
Une étude récente nous apprend que 3 à 5 % de la population mondiale n'aiment pas la musique. Cette catégorie de personnes souffre d'"anhédonie" musicale, rapporte le site Noisey.
Pourquoi sommes-nous sensibles à la musique ? - Quora. Comme le disait Kant, « la musique est la langue des émotions ». Certaines personnes sont sensibles à la musique et d'autres non. La musique fait ressortir des émotions positives et/ou négatives grâce à la mélodie, aux paroles..
La musique favorise les relations au-delà des mots. Elle est intergénérationnelle et son action est multiple. Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.
Elle favorise la production d'ocytocine, hormone de l'attachement social, et diminue celle du cortisol, hormone associée au stress. «Des recherches ont démontré que chanter dans une chorale réduisait les hormones du stress d'environ 20 %. Chanter seul les abaissait de 15 %.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Les sons l'informent sur ce qu'il se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique.
Mélomanie. Ce qui est le syndrome le plus agréable qui existe , à ne pas confondre avec la mégalomanie qui peut faire perdre le sens de la musique de certains mélomanes.
La musique favorise la mémoire et les fonctions cognitives
Comme la musique et le chant ont des effets positifs sur l'humeur et la mémoire, un programme de musicothérapie, Music and Memory, a été imaginé pour les patients atteints de démence comme Alzheimer.
Des chercheurs de l'Université de Bourgogne Franche-Comté ont expliqué ce phénomène par l'augmentation du rythme thêta (un type d'activité électrique dans le cerveau) dans le cortex préfrontal: une région du cortex du lobe frontal du cerveau.
Synon. musicolepsie. musicomane , subst. et adj.,pathol.
mélomane adj. et n. Qui aime la musique, en particulier la musique classique.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Ils l'informent sur ce qui se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique. Ces changements permanents de l'état du monde sont la source de toute émotion.
Il n'y a aucune raison de ne s'en prendre qu'au rap et à l'électro. Le rock aussi a ses mauvais penchants, le rock a aussi ses clichés, le rock aussi a ses démons…on a toujours notre mauvaise foi ! Le rock c'est du bruit. Ça crie pour pas grand-chose, ça joue trop fort et parfois c'est pas juste.
On se rend compte que la musique modifie les mécanismes biochimiques du cerveau : elle active, par exemple, la production de dopamine, un neurotransmetteur essentiel au fonctionnement du cerveau car il contribue à sa plasticité, et… qui nous fait vibrer.
1. La musique peut influencer la perception de l'effort et faire oublier l'état de fatigue. Elle influence d'abord la « perception de l'effort ».
La musique peut avoir des effets négatifs psychologiques. Bien que la musique puisse aider à soulager le stress et l'anxiété, elle peut également causer du stress et de l'anxiété chez certaines personnes. Les effets psychologiques de la musique dépendent du genre et du contexte dans lequel elle est écoutée.
Le cortex auditif suit l'intensité sonore, le rythme et la hauteur de la musique. Le cortex visuel est impliqué dans la lecture des notes de musique. Le cortex moteur, quant à lui, est stimulé par la réaction physique de votre corps à la musique.
Les amusiques souffrent donc d'un trouble de la perception sonore qui affecte la hauteur des sons. Ils n'ont aucune difficulté particulière à déceler une déviation temporelle insérée dans ces mêmes séquences de sons simples.
Le fait est que lorsque que l'on pleure, notre corps est crispé et cela provoque des spasmes que l'on appelle plus communément: sanglots. Les cordes vocales sont donc elles aussi crispées et ne peuvent donc sortir que quelques sons ou mots coupés par nos sanglots. Il y'a aussi l'émotion.
Ainsi, les sujets capables de se concentrer sur une musique, et de s'immerger dans un morceau pour l'apprécier comme une oeuvre à part entière, seraient plus à même de ressentir ces sensations fortes. Ainsi, le frisson serait une réponse à un fort stimulus émotionnel, et vous pouvez lire la suite de l'étude, par ici.
D'après le chercheur Paul J. Zak dans le journal Psychology Today, cela se prouve scientifiquement. Les scènes émouvantes des films entraînent un pic d'ocytocine dans le sang. C'est le signe biologique de l'empathie.