La pupille se dilate, il y a libération de cortisol - l'hormone du stress -, le rythme cardiaque et respiratoire augmente et le flux sanguin est détourné vers les muscles, les laissant tendus. Ce mécanisme est instinctif.
Pleurer de rage
Mais alors, pourquoi pleurons-nous quand nous sommes en colère ? La colère est liée à la peur4 et lorsqu'on est offensé ou que nos sentiments sont blessés. C'est une réaction tout à fait normale, et de plus mature, de gérer la colère par les larmes et non par la violence.
Remplacez les pensées colériques et négatives par des pensées amusantes. Cela vous permettra d'éviter de pleurer quand vous êtes énervé. Souvenez-vous d'une image ou d'un évènement qui vous fait rire à gorge déployée. Concentrez-vous sur cette image ou situation pour retenir vos larmes X Source de recherche .
Il s'agit en général alors d'une HS généralisée : on pleure lors des films ou des moments tristes, des remarques rejetantes, des périodes de vie difficiles… Plus rarement, c'est la conséquence d'événements de vie qui ont fragilisé la personne, et l'HS est souvent plus « localisée », comme dans votre récit, par exemple ...
L'hypersensibilité peut être aussi en soi une cause à des pleurs très réguliers : plus enclins à exprimer leurs émotions, les hypersensibles communiquent avec les autres de cette manière, et ce n'est pas pour autant une faiblesse.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Pleurer par émotion se reflète chez une personne dont les larmes coulent souvent à travers de gros sanglots, suite à une souffrance due à une situation difficile à accepter. La personne laisse son mental la diriger et s'apitoie inconsciemment sur son sort en entretenant ses peurs et ses culpabilités.
Lorsque pleurer devient fréquent, engendre une souffrance morale, ou des difficultés relationnelles, il est essentiel de consulter un professionnel afin de rechercher une maladie mentale. Les pleurs peuvent montrer la souffrance émotionnelle, et alerter sur un mal-être plus profond.
La fatigue émotionnelle au niveau de l'individu
Intérieurement, le sujet fatigué émotionnellement ressent une fatigue chronique au travail, physique et mentale, un sentiment d'être vidé et d'une difficulté à être en relation avec les émotions des autres, ce qui rend le travail de plus en plus difficile.
Nous sommes tous sensibles et émotifs : cela a une vraie fonction sur notre être vivant”. Elle explique : “A l'intérieur de notre système nerveux il y a toute une manière de fonctionner, on cherche à s'adapter en soi même et à son environnement, et cette sensibilité est précieuse.”
Faut-il se retenir ? Sûrement pas. Certaines personnes, sans craquer, ressentent un fréquent besoin de pleurer. Elles sont sujettes à des irrégularités d'humeur, une instabilité psychique source de souffrance et de conflits.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
En général, s'énerver fait partie de la nature humaine. Mais, dans certains cas, une colère permanente peut être le signe d'un problème plus profond: la dépression. Une étude de 2014 montre que la colère – aussi bien manifeste que réprimée – est un indice de trouble de la santé mentale.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Elle s'imprimerait jusqu'aux cellules et accélérerait leur vieillissement, selon une nouvelle étude. La dépression donne un sérieux coup de vieux. Et ce n'est pas que dans la tête que ça se passe. Cette maladie affaiblirait l'organisme jusqu'aux cellules, qu'elle fait vieillir plus vite.
Les signes d'anxiété et de dépression sont très répandus en cas de stress chronique. Vous pouvez fondre en larmes sans raison apparente et remarquer une baisse de confiance et d'estime en vous, ainsi qu'un sentiment de culpabilité.
Les larmes agissent comme un signal émotionnel appelant l'entourage à réconforter la personne qui pleure. Les larmes stimulent la production d'ocytocine, une hormone qui stimule notre besoin d'être touché. Une femme a besoin de contact, de câlins, de présence physique lors d'une crise de larmes.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Les signes physiques incluent battements de cœur irréguliers, muscles crispés, transpiration, étourdissements, tremblements et problèmes de digestion. Les symptômes psychologiques incluent peur, phobies, problèmes sexuels, irritabilité, troubles du sommeil, impulsivité, et excès violents de colère.