Les pleurs pendant la méditation sont souvent une manifestation d'émotions non résolues et réprimées dans notre subconscient. Lorsque votre esprit est libre de toute pensée, vous êtes capable de vous regarder en face. Et lorsque vous le faites, vous n'aimez pas toujours ce que vous voyez.
Cependant, il est probable qu'il s'agisse simplement d'une fatigue résiduelle que vous ressentez lorsque vous commencez ; cela peut changer avec le temps. Cliquez ici pour voir l'avis d'Andy sur l'endormissement pendant la méditation.
Posez vos mains sur vos genoux ou sur vos cuisses, sans crispation. Vous pouvez à présent respirer librement. Allez-y progressivement. Commencez par 5 minutes de méditation, puis allongez progressivement la durée jusqu'à 10 minutes lorsque vous vous sentez à l'aise.
Fatigue, baisse d'énergie
Il est possible que lorsque vous commencez à méditer, vous vous sentiez plus fatigué. C'est normal car vous n'êtes pas encore habitué à rester concentré sur le même objet pendant longtemps. Cette fatigue s'en ira au fil des semaines.
On porte attention à la respiration, et dès qu'on s'aperçoit qu'on rumine et qu'on n'est plus dans l'instant présent à porter attention à sa respiration, on ramène gentiment mais fermement son attention sur cette fameuse respiration.
« Méditer ». Si ce mot peut impressionner les néophytes au premier abord, tout le monde peut pourtant s'y exercer. En méditant un peu chaque jour, vous trouverez votre rythme optimal, prendrez du recul sur votre quotidien, améliorerez la qualité de votre sommeil et apaiserez votre anxiété. et améliorer votre bien-être.
La méditation stimule le cerveau
La méditation favorise l'attention, la mémoire et limiterait les effets de l'âge sur le cerveau. Ainsi, des chercheurs de Harvard ont montré que la méditation accroît la quantité de matière grise liée à la concentration dans le cerveau.
La Pleine Conscience (mindfuness en anglais) est la conscience qui se manifeste lorsque l'on porte attention intentionnellement et de manière non jugeante sur l'expérience du moment présent. La Pleine Conscience s'entraîne par la méditation formelle et des pratiques informelles.
Un décalage entre les muscles et le cerveau
"Quand on s'endort, il y a une perte progressive du tonus musculaire. Seulement, si ce relâchement est trop rapide par rapport au cerveau, ce dernier le perçoit comme une chute et tente de reprendre le contrôle en contractant les muscles", explique la scientifique.
Cette sensation de sursaut ou de chute, ressentie par la majorité des gens, est un phénomène appelé myoclonie d'endormissement. La sensation de sursaut survient lorsque les muscles relaxent et que le corps entre dans la phase d'endormissement, mais que le cerveau, lui, demeure bien alerte.
Pendant le sommeil, les neurones sont, comme on l'a vu , encore actifs mais les échanges entre les différents réseaux de ton cerveau diminuent, la communication est moins intense que pendant l'éveil et l'information ne transite pas à travers toutes ses parties.
Souvent, c'est une stratégie pour éviter d'être face à des angoisses mais le mal-être ne disparaît pas pour autant. En effet, ces pensées sont habituellement accompagnées de sentiments et d'émotions désagréables comme la tristesse, la dévalorisation, la culpabilité ou la colère.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Agissez pour lâcher prise
Faites le point avec vous-même et donnez-vous des buts accessibles et réalistes. Débarrassez-vous de vos croyances : « je suis nul(le), je n'y arriverai jamais, je dois absolument être à la hauteur, il faut que tout soit parfait…».
A l'image d'une activité physique, la méditation est une gym du cerveau qui à force "de répétitions" apprend à mieux à se focaliser sur l'instant présent et le geste sportif. En deux à trois mois de pratique régulière on constate de "gros changements" dixit le préparateur mental.
Dans ce livre clair, dynamique, intime, Jeanne Siaud-Facchin nous invite au coeur de la méditation de pleine conscience et nous initie à cette nouvelle façon de méditer, résolument contemporaine, vivante, validée scientifiquement et accessible à tous, à chaque instant.
La relaxation permet de diminuer le stress ainsi que le vivre différemment, améliorer le tempérament au quotidien, diminuer les douleurs musculaires et les maux de tête, renforcer la concentration, contribuer à un meilleur sommeil, réduire l'état de fatigue, mais également à apprendre à être à l'écoute de son corps.
Plusieurs études en imagerie cérébrale ont pu mesurer l'impact des pratiques de la méditation sur la neuroplasticité du cerveau. Désormais objet d'études scientifiques, la méditation apparaît comme un recours efficace contre le stress ou la souffrance en ces temps d'incertitudes et de changements brutaux.
« La méditation n'est pas une technique de relaxation mais une manière très simple de voir son état d'esprit », affirme Marie-Laurence. On apprend à accueillir ses pensées, à les contrôler sans les cacher.
Ouvrez vos yeux, mais pour bien vous concentrer, fixez le sol. Vous pouvez tout aussi bien fermer les yeux si vous n'arrivez pas à vous concentrer les yeux ouverts. Puis expirez. Et de la même manière que vous avez suivi l'air lors de l'inspiration, faites de même lorsqu'il sort.