Un empathe est très sensible aux émotions des gens et à leur énergie. Cette sensibilité ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres éprouvent par leur sens très développés et leur intuition qu'ils utilisent.
Mettez des limites de temps.
Mettez en place des limites douces, mais significatives avec les individus qui vous étouffent. Par exemple, ne restez pas à écouter une personne parler pendant des heures si vous savez que vous ne la supporterez qu'une demi-heure. Trouvez une raison de partir et éloignez-vous.
D'abord, certaines personnes détestent, littéralement, les empathes parce que comme on est en osmose avec nos émotions, on agit comme un miroir. On ressent, interprète et reflète les émotions des autres et c'est parfois difficile à supporter pour ces personnes.
Il aime la solitude et être à l'abri du bruit et de l'agitation. L'hyperempathique aime être entouré et n'a pas peur du conflit. Parfois même, c'est lui qui le déclenchera pour faire tomber les masques et soulever les non-dits. L'hypersensible aime être apprécié, il ne supporte pas les disputes qu'il a tendance à fuir.
La grande caractéristique des personnes ayant un fonctionnement en arborescence (« haut potentiel »), c'est d'avoir le sentiment de ne pas être comme les autres, d'être trop différent, d'être trop en décalage, d'être « à part ». D'une part, la personne perçoit qu'elle n'est pas « en phase » avec le monde qui l'entoure.
Dans le langage courant et la documentation, on qualifie le terme « empathe » comme un don, le don de l'empathie. Chez certaines personnes, ce don est inné : elles sont très sensibles et elles ont toujours ressenti autrui.
Cela peut signifier que vous avez ou êtes mal étiqueté comme ayant une maladie mentale comme un trouble de la régulation des émotions, un TDAH, un trouble bipolaire ou une dysthymie (dépression chronique).
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
N'hésitez pas en discuter avec des gens que vous aimez ou dont vous respectez l'opinion. Peut-être pourront-ils constituer de bons repères pour évaluer si votre comportement a changé, si votre patience est amenuisée, et s'ils ont l'impression que vous allez mal en ce moment.
L'empathie
L'hypersensible va percevoir une tristesse et un manque de confiance qui contredisent ce qu'on lui dit. En un rien de temps, il a absorbé la tristesse de son interlocuteur. Il se sent d'autant plus mal que l'autre fait tout pour la cacher et ne se rend même pas forcément compte qu'il est triste !
Les émotions peuvent aggraver des douleurs existantes ou être à l'origine de certaines douleurs, c'est ce qu'on appelle la somatisation. Une émotion trop forte, si elle est refoulée, va s'exprimer par le biais du corps.
L'hyperémotivité : être à fleur de peau
On dit souvent d'une personne hypersensible qu'elle est « à fleur de peau ». Cette grande émotivité est la caractéristique la plus évidente. Même si c'est loin d'être la seule. Au sens figuré l'expression « être à fleur de peau » signifie « être très sensible ».
Retournez à vous. Lorsque le transfert d'empathie se fait avec son interlocuteur, on passe dans sa tête, voire dans son corps. Respirez et revenez à vous-même, retrouvez vos propres sensations et émotions et différenciez les émotions de votre interlocuteur des vôtres.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Souvent, les personnes qui ont une faible estime de soi se replient sur elles-mêmes et repoussent les autres, car elles croient qu'elles ne méritent pas d'avoir des relations constructives.
Elle va peiner à prendre une décision, se sentir rapidement dépassée par une situation si l'environnement dans lequel elle évolue ne lui convient pas (lumière, bruit, odeur…) et ressentir de manière décuplée ses propres émotions, mais également celles des autres.
Pour cesser d'être une éponge émotionnelle vous devez permettre aux sentiments de couler sur vous et ne pas les laisser s'installer. Si vous n'en êtes pas capable, essayez de vous entourer de personnes positives pour absorber seulement le bon. Vous réagissez d'une manière que beaucoup trouvent exagérée ?
Ce sont les "personnes éponges", qui absorbent très facilement les tensions extérieures, se faisant souvent du mal en raison de leur solidarité excessive. Selon la psychiatre Judith Orloff, les personnes éponges, pour le meilleur ou pour le pire, assument les sentiments des autres.
Ce qui peut les laisser penser que s'ils sont hypersensibles, ils ont forcément une intelligence cognitive supérieure à la moyenne. Ce n'est pas le cas. Cependant, il n'y a aucune raison de s'en apitoyer. Car avoir un quotient intellectuel supérieur à la moyenne ne garantit aucunement le bonheur.
L'empathie pour autrui a trois composantes : l'empathie émotionnelle (ou affective), l'empathie cognitive et l'empathie mature qui, lorsqu'elle est partagée avec autrui, devient réciproque.
Une personne empathique, comme je l'ai appris, est quelqu'un qui a la capacité de ressentir ce que les autres ressentent. Parfois à un tel point qu'il peut effectivement devenir difficile pour lui, de discerner les émotions des autres personnes de ses propres émotions.