Causes. Un saignement de nez est le plus souvent la conséquence d'une irritation ou d'une sécheresse de la muqueuse nasale. Celle-ci est une fine membrane qui tapisse les cavités nasales et contient de très nombreux petits vaisseaux sanguins fragiles, notamment au niveau de la paroi séparant les deux narines (septum).
L'exposition au soleil, l'usage de médicaments ou de drogues par voie nasale, un air trop sec, une allergie ou un rhume peuvent également déclencher un saignement. Des saignements de nez peuvent également survenir lors d'hypertension artérielle, de troubles de la coagulation ou d'alcoolodépendance, par exemple.
Quand consulter et quels traitements en cas de saignement de nez ? Une consultation médicale est nécessaire : si l'épistaxis (ou saignement de nez) persiste ou s'aggrave malgré les gestes de compression réalisés, si les saignements de nez se répètent.
À part le cancer ORL, la leucémie est également responsable du saignement du nez. Les saignements fréquents et inexpliqués sont évocateurs d'un tel cancer.
Le saignement de nez (aussi appelé épistaxis) est un trouble ORL généralement bénin, qui touche principalement les enfants de 2 à 10 ans et les adultes après 70 ans.
Points clés. Chez la femme en âge de procréer, la cause la plus courante des saignements vaginaux anormaux est la grossesse. Chez les femmes qui ne sont pas enceintes, la cause la plus fréquente est un déséquilibre hormonal (dysfonctionnement ovulatoire), qui peut provoquer un saignement utérin anormal.
Lorsque des saignements surviennent en dehors des périodes de règles, on parle de métrorragie. Cette situation est anormale : il faut donc consulter son médecin. Le plus souvent, ces métrorragies ou « spottings » (pertes très légères de sang), sont sans gravité.
Pendant une période de fatigue passagère, il est possible de devenir plus enclin au saignement de nez. Cela n'est en aucun cas inquiétant mais peut nous donner une indication sur notre besoin de ralentir, et de favoriser davantage de temps de repos.
Un saignement de nez peut avoir une origine localisée lorsqu'il est dû à : un traumatisme ; une inflammation, telle que la rhinite ou la sinusite, qui peut être causée par une infection ORL ; une tumeur, bénigne ou maligne, pouvant être localisée à différents endroits des fosses nasales.
L'épistaxis maladie ou épistaxis essentielle. C'est une cause fréquente de saignement chez le sujet jeune. Elle est favorisée par le grattage, l'exposition solaire, les facteurs endocriniens (puberté, période prémenstruelle, grossesse), les émotions.
Les saignements de nez répétés sont souvent le signe d'un manque de vitamine K, une substance qui joue un rôle primordial dans la coagulation du sang.
Un traumatisme, même léger, peut faire saigner du nez. Il peut être extérieur (choc direct) ou intérieur provoqué par un grattage ou par l'introduction d'un objet par une narine. Une rhinite et une sinusite peuvent provoquer une inflammation de la muqueuse nasale, qui devient fragile et peut saigner lors du mouchage.
Que faire en cas de saignement de nez ? Une méthode simple pour arrêter le saignement du nez consiste à se pencher en avant, à pincer l'extrémité du nez juste au-dessous de l'os, pendant au moins 10 minutes, tout en respirant par la bouche. Il est possible d'appliquer de la glace à la base de la narine touchée.
L'utilisation d'un hémostatique local en cas de saignement de nez. La pression locale entre pouce et index sur le nez pendant 10 minutes est souvent suffisante pour arrêter un saignement de nez bénin. Elle peut être associée à l'utilisation d'une éponge ou d'une mèche de coton hémostatique.
Qu'est-ce qui cause des saignements de nez fréquents? Les saignements de nez à répétition (aussi appelés épistaxis) sont très courants chez les enfants et les adolescents. Dans bien des cas, ils sont causés par la sécheresse du nez, laquelle entraîne une rupture des vaisseaux sanguins et le saignement.
Prenez du jus de citron, mettez-en sur une compresse et introduisez-la légèrement dans la narine : le citron freine le saignement. Vous pouvez aussi placer des glaçons dans un linge et les poser sur l'aile ou les ailes du nez. Le froid entraîne une constriction des vaisseaux qui favorise l'arrêt de l'hémorragie.
Ce qu'il convient de faire
Penchez votre tête en avant pour que le sang s'extériorise, Mouchez-vous (cela n'augmentera pas le débit, bien au contraire, car les caillots entretiennent le saignement), Et pincez la pointe de votre nez entre le pouce et l'index dix minutes, montre en main.
Le saignement du nez, appelé « épistaxis » par les médecins, est une hémorragie d'origine nasale très souvent sans gravité.
Si les saignements de nez sont répétés et importants (par exemple, écoulement de sang par les deux narines à la fois et en arrière, dans la gorge), la perte sanguine peut être responsable d'une anémie ou provoquer les symptômes suivants : sueurs froides. pâleur, fatigue. sensation de faiblesse ou de soif.
Le réalisateur canadien, qui avait déjà exploré le thème de la télépathie dans son moyen métrage Stéréo en 1969, est ainsi le premier à s'être dit que les saignements de nez seraient une excellente manifestation visuelle de la pression exercée sur le cerveau par des pouvoirs invisibles.
Une trop grande dose de stress, d'angoisse ou d'émotions peut engendrer un dérèglement hormonal et provoquer du spotting en dehors des menstrues. Une fois cette période de stress terminée, les saignements s'arrêtent.
Si vous avez des saignements plusieurs fois par mois, il faut consulter votre médecin pour faire un bilan et comprendre d'où cela vient. Vous pouvez avoir une infection génitale, des polypes, une hyperplasie de l'endomètre, un ou plusieurs fibromes, ou tout autre chose.
Les saignements menstruels abondants se caractérisent par les symptômes suivants : Des saignements qui durent plus de 7 jours. Des saignements qui imbibent totalement au moins un tampon ou une serviette hygiénique à l'heure pendant plusieurs heures consécutives.
saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes. menstruations inhabituellement longues ou abondantes.