La première explique que nous puisons notre énergie dans nos réserves internes. Tout au long de la journée, nous utilisons un stock limité d'énergie mentale : la volonté. Plus on puise dans ces réserves, plus on ressent de la fatigue. Cette hypothèse est appelée « l'épuisement de l'égo ».
Le manque de sommeil est souvent une cause de fatigue. Ce type de fatigue est normal et disparaît avec du repos. En revanche, la fatigue intense ou prolongée (asthénie) peut avoir des causes très diverses (maladie, difficultés personnelles et psychologiques, mauvaises conditions physiques…).
Sautes d'humeur, nervosité, voire crises de larmes : il vous faut du repos ! La fatigue peut rendre émotionnellement instable et nous faire craquer pour rien. Chez les femmes, cet état peut aussi être dû à un dérèglement hormonal causé par la ménopause, une grossesse ou encore l'hyperthyroïdie.
La plupart du temps, la fatigue n'est que passagère. Tout rentre dans l'ordre après une bonne nuit de sommeil ou quelques jours de congés. Mais "si la fatigue ne cède pas après un week-end de repos et perdure plus de 15 jours sans cause particulière, il faut consulter un médecin", estime le Dr Cozon.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Une baisse d'énergie, soudaine ou progressive, peut avoir des causes très variées. Elles peuvent être internes, externes, relatives à l'hygiène de vie ou à votre mode de vie. Notre alimentation influe beaucoup sur notre état de fatigue, et sur notre vitalité !
des signes propres à l'anémie : pâleur, fatigue, essoufflement à l'effort, maux de tête, sensation de "tête qui tourne", vertiges, étourdissements, faiblesse en se levant d'une chaise ; des signes caractéristiques du manque de fer : peau et cheveux secs, ongles cassants.
La fatigue liée au cancer est beaucoup plus importante. Cette sensation d'épuisement, non liée à un effort particulier, voire d'affaiblissement général de l'organisme (asthénie) n'est pas comparable aux ressentis d'une fatigue "normale". Elle perdure même après une nuit de sommeil.
Les vitamines B, C et D sont réputées comme étant des vitamines «anti-fatigue » efficaces. Des cures de zinc ou de magnésium peuvent également être utiles en cas d'insuffisance, mais vous devez d'abord consulter votre médecin afin de faire le bilan.
De nombreux facteurs et maladies peuvent être la cause d'asthénie : Il y a en premier lieu le manque de sommeil ou la mauvaise qualité du sommeil qui peuvent être liés à des pathologies du sommeil comme le syndrome d'apnée du sommeil, mais aussi des troubles hormonaux tels que les troubles de la thyroïde.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
en première intention, un scanner (ou tomodensitométrie - TDM). Il est efficace pour repérer 80 % des tumeurs. Le scanner permet de confirmer ou non la présence d'une tumeur et, le cas échéant, de préciser sa position et sa taille. Le scanner permet d'obtenir des images du cerveau grâce à des rayons X.
La noix de coco 3,3 à 3,5 mg/100 g ; Les dattes 3 mg/100 g ; Les raisins secs 1,3 mg/100 g ; Le cassis 1.2 mg/100 g.
Fatigue et ennui se comprennent ensemble. Leur dynamique est au centre de ce vécu paradépressif. L'ennui est une altération du « vécu de valoir », de la valeur des choses ; rien ne vaut. Pourquoi faire ceci ou cela puisque les choses ne valent rien.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
On parle alors d'ivresse du sommeil, ou "sleep drunkenness" selon les scientifiques anglophones. "Ce comportement relève lui d'une pathologie rare - l'hypersomnie idiopathique - qui ne concerne que 1% de la population et dont on ne sait pas encore expliquer les causes" précise le chercheur.