Chez la plupart des gens, le piment fait s'activer votre cerveau en particulier la capsaicine (ce qui rend le piment piquant) qui pense que votre corps à besoin de se rafraîchir. Ainsi donc, votre système de glandes qui régissent la transpiration se met en action.
Ensuite, les aliments ingérés, augmentent la chaleur du corps. C'est le cas des épices. "Elles contiennent des composés comme la capsaïcine, qui font croire à l'organisme que l'on a chaud", renseigne le chercheur. En pratique, la température du corps augmente et amplifie la quantité de sueur sécrétée.
"La théorie concernant la transpiration est vraie : le piment, du fait de sa teneur en capsaïcine augmente la thermogenèse. On brûle et on transpire. Donc, on va évacuer de la chaleur, décrit Raphaël Gruman.
C'est la capsaïcine, le composé contenu dans le piment, qui agite les papilles et induit cette sensation de chaleur intense.
Un gène particulier, le Egr-1, transmis par les parents et associé aux aires gustatives du cerveau, aurait ainsi une grande responsabilité dans le degré d'irritation ressenti par la consommation d'épices.
« Le piment vert est plus doux, le rouge plus fort »
Les plats épicés peuvent toutefois avoir des effets néfastes avérés sur la santé: en augmentant la sécrétion des sucs gastriques, ils peuvent entraîner une irritation de la paroi de l'estomac et de toute plaie ouverte, ce qui peut retarder la guérison d'un ulcère.
Grâce aux vertus anti-inflammatoires de la capsaïcine, mais aussi son effet antinociceptif (diminue la sensibilité à la douleur), le piment soulage les douleurs liées à l'arthrite, aux rhumatismes, aux torticolis ou encore aux crampes ou maux de dos.
Selon des chercheurs italiens, la consommation de piments diminue le risque de décès par attaque cardiaque ou accident cérébral. Couramment consommé dans la cuisine italienne, le piment serait un allié de la prévention neurologique et cardiovasculaire.
Les gens mangent du piment depuis près de 10 000 ans cette épice originaire d'Amérique du Sud.
Un dérèglement du système nerveux (qui déclenche l'activité des glandes sudoripares ) : ce phénomène provoquerait la production de sueur sans nécessité, alors que la température corporelle est normale.
Elles sont donc triplement bonnes pour la santé : Riches en probiotiques (bonnes bactéries de fermentation) Riches en vitamine C (présente naturellement dans les poivrons et piments) Riches en bêta-carotène (antioxydant qui donne leur couleur criarde aux piments)[1]
La sueur a alors juste une légère acidité. Ce gène présent chez 2% de la population occidentale, est largement majoritaire pour les Asiatiques du Nord-est, dont les Sud-Coréens. Même si les Sud-Coréens suent bien comme nous, leurs aisselles ne dégagent pas de fortes odeurs et le déodorant n'est pas donc nécessaire.
On vous conseillera notamment les agrumes, mais aussi la menthe ou le persil pour sentir bon. On vous recommandera aussi de boire beaucoup et notamment du thé vert, qui combattra efficacement les bactéries responsables des mauvaises odeurs.
Par exemple, une consommation excessive de piment peut provoquer des nausées, des vomissements, de l'hypertension artérielle si la teneur en capsaïcine (dont nous avons parlé plus haut) est élevée. En conclusion donc, les épices en tant que telles n'ont pas d'effet sur la perte de poids.
Les épices : curry, curcuma, piment en poudre ou paprika ont des effets bénéfiques sur le foie du fait de leurs propriétés antioxydantes mais aussi grâce à leur capacité à stimuler les enzymes de la détoxication.
En effet, sa consommation provoque : Une forte salivation et une stimulation des muqueuses de la bouche, de l'estomac et de l'intestin qui vont accélérer la digestion ; Une transpirationqui va permettre de faire baisser la température corporelle ; L'augmentation de la satiété.
Manger de la capsaïcine , un alcaloïde présent dans les piments rouges, serait bénéfique pour ralentir la propagation du cancer du poumon , selon les auteurs d'une étude américaine présentée à la réunion annuelle de l'American Society for...
Manger un piment, ça pique. Oui, mais pas pour tout le monde. Des chercheurs de l'Académie chinoise des sciences ont trouvé le mécanisme de tolérance au piment… chez le toupaye, le seul mammifère capable d'en manger sans difficulté.
L'Aji Charapita est un piment qui pousse naturellement au Pérou, surnommé "la mère de tous les piments" car il n'a pas été modifié par l'homme et vit dans le nord du Pérou depuis des centaines voir des milliers d'années, c'est aussi le piment le plus cher du monde (environ 23 000 € le kg).
Le Carolina Reaper est le plus piquant au monde depuis 2013. Il est à la fois volcanique, mais aussi délicieux en terme de goût, très fruité avec des notes d'agrumes.