Au VIe siècle après JC, l'Église reprend cette date, considérant qu'elle correspond à la circoncision de Jésus, huit jours après sa naissance. Cependant, elle n'est pas respectée partout, et le début de l'année peut être célébré le 25 décembre, le 1er janvier ou même en mars le jour de Pâques selon les régions.
Mais il faudra attendre le VIe siècle pour que le 1er janvier fasse son retour : le moine Denys le Petit, qui date la naissance de Jésus Christ au 25 décembre, en a déduit le début de l'ère chrétienne une semaine après, le jour de la circoncision du Christ.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, qui tombe le 25 décembre. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
C'est le pape Libère qui décide en 352 de faire commencer l'année au 1er janvier, le jour de la circoncision de Jésus huit jours après sa naissance. La notoriété de Bède aidant, ce calendrier fondé sur l'ère chrétienne se répand dans toute l'Europe.
Origine du choix de la date de départ des calendriers chrétiens. C'est Denys le Petit, moine scythe, mort à Rome en 540, qui propose de rattacher le calendrier à la vie du Christ, ce qui n'était pas le cas jusqu'alors (on comptait conformément à l'usage romain, c'est-à-dire à partir de la fondation de Rome en 753 av.
C'est en 354 que le pape Libère estima que le jour du solstice d'hiver serait le plus approprié pour célébrer cet événement. Cette journée, correspondant effectivement à celle d'une renaissance, sembla parfaitement adaptée. Ainsi, la naissance de Jésus-Christ fut fixée au 25 décembre.
Une chose est sûre, officiellement, les musulmans ne fêtent pas Noël! Pour eux, la naissance de Jésus Christ n'a jamais été considérée comme le début d'une nouvelle ère. C'est l'année d'exil du Prophète Mahommet à Médine, en 622 de l'ère chrétienne, qui marque le début de leur histoire.
Le tout premier Noël aurait été célébré vers l'an 336, à Rome (Italie). Soit plus de 300 ans après la naissance de Jésus ! À cette époque, l'empereur romain Constantin se convertit au christianisme. Il décide de célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre.
Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
La proposition de Denys-le-Petit est d'emblée adoptée par l'Église. (en 532), puis se généralise au VIII e siècle, et, à partir de l'an 1000, seul ce calendrier figure sur les actes officiels. Il n'y a pas d'année " 0 " car ce chiffre. n'était pas en usage dans la numération romaine.
Luc 2:4-7 – Naissance de Jésus.
Comment fêter le Nouvel An musulman ? Le Nouvel An musulman est avant tout une fête familiale. La fête s'étale sur deux jours — le premier étant férié dans la plupart des pays musulmans. Famille et amis se réunissent autour d'un repas comportant des plats traditionnels et symboliques.
L'histoire du nouvel an
C'est Jules César qui a décidé que le 1er janvier serait le jour de l'an. Dans la Rome Antique, cette journée était dédiée à Janus, le dieu du renouveau.
En 1582, c'est le pape Grégoire XIII qui va généraliser le jour de l'An au 1er janvier dans l'Europe catholique, et instaurer le calendrier grégorien.
Aucun lien véritable avec la naissance de Jésus. Aujourd'hui, Noël est présenté comme étant une commémoration de la naissance de Jésus-Christ, et, bien entendu, l'histoire de Sa naissance est racontée dans la Bible.
Explications. Non, ce n'est pas la marque de boisson Coca-Cola qui a donné naissance à la couleur écarlate des habits du père Noël. L'idée selon laquelle les vêtements qui enveloppent la silhouette enrobée du Santa Claus sont passés au rouge après une campagne de publicité pour le fameux soda, n'est pas exacte.
Le père Noël est l'équivalent français du Father Christmas britannique, du Santa Claus nord-américain dont le nom est lui-même une déformation du Sinterklaas (saint Nicolas) néerlandais.
En 1647, les puritains britanniques ont décidé d'interdire cette « fête païenne » qu'est Noël, des décorations jusqu'aux échanges de cadeaux, ce qui n'a pas du tout plu à la population et a entraîné émeutes et pillages à travers le pays.
«Les Témoins de Jéhovah ne fêtent pas les anniversaires de naissance parce qu'ils croient que ces célébrations déplaisent à Dieu. La Bible ne parle d'aucun serviteur de Dieu qui aurait fêté son anniversaire de naissance. Le livre Coutumes et usages des anniversaires (angl.)
Le système de financement des Témoins de Jéhovah est remarquablement organisé: offrandes volontaires (argent, biens immobiliers, bijoux) adressées à la maison mère américaine ou à une filiale, remises d'argent, comptes bancaires mis à la disposition de la secte, etc.
Avant d'être une fête chrétienne, Noël était un rite païen qui célébrait le solstice d'hiver, son nom : Yule, en langage viking. C'était l'une des huit dates importantes ponctuant l'année dans les cultures nordiques. Chacune correspondait à un moment important du cycle des saisons et donnait lieu à des célébrations.
Noël est la fête chrétienne qui célèbre la Nativité, c'est-à-dire la célébration qui rappelle la naissance de Jésus Christ de Nazareth.
Du latin natalis «de naissance», le mot «noël» est l'élision de la locution natalis dies «jour de naissance». La formule est d'abord employée en latin ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ, indique Le Trésor de la langue française.