En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
« L'exercice d'intensité faible à modérée (comme la marche ou le jogging) est également efficace - il exige simplement une durée beaucoup plus longue, de quatre à six heures par semaine, comparativement à une à deux heures pour les activités à forte intensité comme la course à pied.»
Pour trancher la question une fois pour toutes, nous avons posé la question à un zythologue. Et sa réponse est très claire : non, la bière n'est pas responsable du gros ventre des buveurs de bière. Elle ne fait pas plus grossir qu'une autre boisson alcoolisée.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Une consommation qui ne pose pas de problème
Les résultats obtenus ont permis aux experts des institutions et universités espagnoles de signer un consensus sur le sujet. L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
On peut avoir un ventre ballonné à cause d'une alimentation trop riche en aliments fermentescibles (fruit, légumes) ou à cause d'une sensibilité particulière à certains aliments (parfois même selon leur mode de cuisson). Il est possible également que cela soit dû à une consommation excessive en boissons gazeuses.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
Ces sensations peuvent donc à la fois être la simple conséquence d'un repas trop copieux ou d'un vêtement trop serré à la taille, mais aussi les symptômes de pathologies digestives diverses ou d'une intolérance alimentaire, voire d'une grossesse.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
En réalité, le vin est même plus calorique que la bière. Ainsi, 25 cl de bière correspondent à 150 calories, contre 180 pour la même quantité de vin rouge.
Tout réside en fait dans la façon de servir la bière. Verser lentement pour éviter la mousse, c'est empêcher la libération du dioxyde de carbone contenu dans le breuvage. Le CO2 reste alors emprisonné dans le liquide, et c'est finalement dans l'estomac que ce gaz indésirable va finir par s'emmagasiner.
La prise de poids au niveau du ventre peut provenir de différents facteurs : une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique, l'âge, des facteurs hormonaux comme la ménopause ou l'andropause. En général, les kilos pris au niveau du ventre sont plutôt difficiles à perdre.
La purge yogique : "une fois vidés les intestins et le côlon sur un effet diarrhée (comme dans la cure Clark), boire de l'eau légèrement salée (4g par litre) – de l'eau isotonique – en pratiquant des exercices de yoga entre chaque verre. Il est possible de boire de 1 à 2 litres en tout.
À la ménopause, un enzyme déclencherait le stockage des graisses. À la ménopause, la répartition des graisses se modifie dans le corps des femmes: moins dans les cuisses ou les fesses mais plus dans l'abdomen, donnant naissance à ce que les médecins appellent l'obésité abdominale.
Ventre gonflé chez la femme enceinte
Ce phénomène apparaît souvent au cours du premier trimestre à cause de l'augmentation de production d'une hormone : la progestérone. Conséquence ? L'intestin est ralenti et les ballonnements surviennent. D'où certains problèmes digestifs, en particulier la constipation.
Un dérèglement hormonal en cause dans l'excès de graisse abdominale chez la femme. La situation hormonale détermine l'endroit du corps où les graisses seront stockées. Chez la femme, c'est l'insuline, le cortisol, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone qui jouent un rôle dans la localisation des graisses.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Mettre le foie au repos et de l'aider à évacuer toutes les toxines est alors salutaire. Pour ce grand nettoyage, ayez le réflexe de boire toute la journée de l'eau (Hépar) avec un jus de citron frais. Éviter pendant cette période le café, le sucre, les œufs, les charcuteries, les graisses et surtout l'alcool.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie. Or ce sont les neurones qui stimulent le fonctionnement des muscles.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.