Les raisons invoquées pour cette invasion sont les mauvais traitements subis par la minorité chinoise au Viêt Nam et l'occupation vietnamienne des Îles Spratley, revendiquées par la Chine.
La principale cause de la guerre du Vietnam provient du découpage du Vietnam réalisé à la fin de la guerre d'Indochine (1946-1954). Cette séparation favorise un régime autoritaire au Sud-Vietnam incarné jusqu'en 1963 par le président Ngô Dinh Diêm.
1968, l'offensive du Tết : l'apogée de la guerre
L'objectif est d'aboutir au soulèvement de la population sud-vietnamienne contre la République du Vietnam. L'offensive est lancée dans la nuit du 30 au 31 janvier : 80 000 soldats du Nord-Vietnam attaquent une centaine de villes à travers le pays.
L'économiste français Thomas Piketty explique que les Etats-Unis ont perdu le Vietnam pour deux raisons principales. D'abord, la guerre a coûté une fortune. D'autre part, le pays a perdu un des plus grands producteurs de pétrole au monde.
En l'an 111 avant notre ère, l'empereur chinois Wudi (de -156 à -87) envahit le Vietnam. Les dirigeants chinois décidèrent d'intégrer politiquement et culturellement à leur empire le Vietnam devenu la province du Jiaozhi (nom en chinois) ou du Giao Chi (nom en sino-vietnamien).
Les Américains justifient leur intervention militaire au Viêt Nam par la théorie des dominos, selon laquelle il fallait éviter le basculement d'un pays vers le communisme, car les pays voisins basculeraient à leur tour. Le but est de prévenir une future domination communiste du sud-est asiatique.
La France a été fortement impliquée au Viêt Nam au XIX e siècle, dans le cadre de la protection des missionnaires catholiques. La France s'est progressivement créée une importante colonie devenue l'Indochine française en 1887.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Le territoire vietnamien avait été divisé en deux en 1954 à la suite des accords de Genève. La fin de la présence française n'a cependant pas mis fin aux hostilités qui ont atteint de nouveaux sommets au cours des années 60 avec l'implication d'un fort contingent états-unien.
Le non-respect des accords d'armistice (refus de Diem de les entériner en 1957), son pouvoir de plus en plus dictatorial et la création l'Organisation du Traité de l'Asie du Sud-Est (OTASE), un pacte défensif anticommuniste sous l'égide des États-Unis, englobant le Sud du Viêt Nam, conduisent à la création du Front ...
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
L'emploi officiel du nom de Viêt Nam date de mars 1945. Après avoir reconquis l'indépendance nationale, les Vietnamiens rejetèrent le nom péjoratif d'Annam et reprirent le nom Vietnam. Ce nom est d'ailleurs utilisé par Ho Chi Minh dans sa proclamation d'indépendance du 2 septembre 1945.
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
À partir de 1961, le président américain John Fitzgerald Kennedy envoie sur place quelques troupes déguisées en conseillers militaires.
Le président des États-Unis, Richard Nixon, lors de la conférence de Paris, le 23 janvier 1973. Annonce de la fin de la guerre au Viêt Nam. « We have today concluded an agreement to end the warand bring peace with honor in Vietnam and in Southeast Asia. »
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132. Ce nombre lui permet alors d'être la nation européenne avec le record de victoires, et ce dans le monde entier. De la même façon, c'est aussi elle qui a participé au plus grand nombre de guerres.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Le Viêt Nam, Viet Nam, Vietnam ou Viêtnam, en forme longue la république socialiste du Viêt Nam (en vietnamien : Việt Nam et Cộng hoà Xã hội Chủ nghĩa Việt Nam) est un pays d'Asie du Sud-Est, situé à l'est de la péninsule indochinoise.
Religion. Les religions les plus répandues sont le culte des ancêtres, le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le catholicisme et le caodaïsme. Le culte des ancêtres est millénaire et constitue la plus vieille pratique religieuse du Vietnam.