Un rapprochement sino-russe a commencé en 1992, avec les deux pays déclarant qu'ils étaient à la poursuite d'un "partenariat constructif "; en 1996, ils ont progressé vers un «partenariat stratégique», et en 2001, ils ont signé un traité "d'amitié et de coopération".
Outre l'armement qui occupe une place importante dans leurs échanges commerciaux, les deux pays ont développé une coopération dans les hautes technologies (exemple de l'exploration spatiale), l'électronique, les télécommunications et l'énergie nucléaire.
Ces pays qui soutiennent encore la Russie de Poutine. Alors que l'invasion de l'Ukraine s'éternise, la Russie de Vladimir Poutine n'a jamais paru si isolée sur la scène mondiale.
La Chine et la Russie veulent toutes deux assurer la sécurité politique des régimes autoritaires contre ce qui est perçu comme la menace libérale hégémonique des États-Unis. Le deuxième pilier concerne la coopération sino-russe en matière de défense et englobe les exercices militaires et les ventes d'armes.
Les Chinois continuèrent à dénoncer l'« impérialisme social soviétique » et à accuser leur voisin de se poser en ennemi de la révolution mondiale, mais les Chinois, depuis 1972, cessent tout soutien aux groupes révolutionnaires et se prononcent en faveur d'une paix négociée dans la guerre du Viêt Nam.
Un rapprochement sino-russe a commencé en 1992, avec les deux pays déclarant qu'ils étaient à la poursuite d'un "partenariat constructif "; en 1996, ils ont progressé vers un «partenariat stratégique», et en 2001, ils ont signé un traité "d'amitié et de coopération".
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
Trente-sept pays répondent rapidement en faveur de la Chine. Ces pays incluent notamment la Russie, l'Arabie saoudite, le Qatar, la Corée du Nord, l'Algérie, le Nigeria, les Philippines et la Syrie.
La Chine s'est peu exprimée sur la guerre en Ukraine, maintenant une "position équilibrée", comme l'a souligné Vladimir Poutine le 15 septembre au sommet de l'Organisation de Coopération de Shanghaï.
La réponse la plus évidente est le retour de la grande Russie. Le maître du Kremlin veut rétablir une zone de protection autour de son pays et cela passe par une zone d'influence sur les pays de l'ex-URSS dont l'Ukraine faisait partie mais qui a pris son indépendance en 1991 (90 % des Ukrainiens ont voté en ce sens).
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
Vladimir Poutine, le président russe, s'est justifié en expliquant que son armée devait défendre deux régions dans l'est de l'Ukraine, les républiques de Donetsk et de Lougansk, dans le Donbass. Il calomnie le gouvernement ukrainien en l'accusant d'y commettre un “génocide”. Ces régions sont favorables à la Russie.
La Chine et la Russie sont "plus résolues" à développer des relations bilatérales et renforcer leur coopération, a déclaré mercredi le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, après un entretien avec son homologue russe Sergueï Lavrov, cinq semaines après le début de la guerre en Ukraine.
L'Ukraine gagne du terrain, les Russes ripostent avec des frappes massives...
Le G7 et le FMI ont réaffirmé mercredi qu'ils soutiendraient l'Ukraine "le temps nécessaire" afin de faire face aux conséquences économiques de l'invasion russe, qui se chiffrent en milliards de dollars.
La guerre froide, commencée entre 1945 et 1947, s'était achevée le 26 décembre 1991 avec la dissolution de l'URSS. L'après-guerre froide s'est conclu le 24 février 2022 avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
La désinformation et la propagande du Kremlin accompagnent et soutiennent les actions militaires de la Russie en Ukraine, notamment la tentative d'annexion de la Crimée, l'appui aux mouvements séparatistes dans l'est de l'Ukraine et la guerre d'agression en cours.
Afghanistan, Albanie, Algérie, Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Bangladesh, Bénin, Brunei Darussalam, Burkina Faso, Cameroun, Comores, Côte d'Ivoire, Djibouti, Égypte , Émirats Arabes Unis (EAU), Gabon, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Guyana, Indonésie, Iran, Iraq, Jordanie, Kazakhstan, Kirghizistan, Koweït, Libye ...
Zara France pourra finalement procéder à l'extension d'un magasin à Bordeaux, après se l'être vu refuser par une commission administrative locale qui invoquait une enquête en cours sur le possible recours au travail forcé des Ouïghours en Chine par la maison mère de la marque.
Le gouvernement fédéral des États-Unis, les parlements du Royaume-Uni, de la France, du Canada et de plusieurs autres pays adoptent des résolutions déclarant leur reconnaissance de la qualification de génocide.
En 2017, seuls trois États d'Europe ne possèdent pas d'armée nationale : Andorre, l'Islande et le Liechtenstein. Depuis une convention tripartite en 1993, la défense d'Andorre est assurée par la France ou l'Espagne et ce, uniquement en cas de menace ou de violation de son intégrité territoriale.
On constate que les pays qui ont le plus aidé l'Ukraine sont ses voisins : l'Estonie (0,830% du PIB), devant la Lettonie, la Pologne et la Lituanie. Les États-Unis sont septièmes (0,216% du PIB), l'Allemagne est 13ème (0,082% du PIB) et la France 19ème (0,045% du PIB).
Non seulement les Ukrainiens auront stoppé la progression des Russes, mais ils seront dans une phase de contre-offensive générale qui permettra à l'Ukraine de retrouver ses frontières du 23 février dernier, à la veille du conflit. Bref, l'Ukraine aura gagné la guerre.