Une fête aux origines païennes Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Noël n'est devenu une fête religieuse qu'en l'an 354 après Jésus-Christ, lorsque le pape Libère fixe la date du 25 décembre comme celle de la naissance de Jésus. La raison : profiter d'une fête païenne déjà bien installée dans les pratiques populaires de l'époque pour mieux diffuser la parole chrétienne.
Historiquement les chrétiens n'ont fixé la naissance de Jésus à Noël (le jour « natalis ») le 25 décembre qu'à partir du 4ème siècle[1], et c'est finalement l'empereur Théodose II qui l'a officialisée. Il s'agissait de remplacer les fêtes païennes du solstice d'hiver.
Les historiens s'accordent généralement pour situer la naissance de Jésus entre cinq et sept années avant notre ère. "On sait qu'il est né du temps du roi Hérode le Grand, qui est mort en -4 avant notre ère", indique Jean-Christian Petitfils.
L'origine de la fête de Noël est plutôt romaine que grecque. En effet, les Romains avaient déjà des traditions religieuses autour du solstice d'hiver avant que soit instaurée la fête de Noël, mais ce sont également eux qui ont décidé de fêter Noël en tant que jour de la naissance du Christ.
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Le berceau du sapin de Noël est l'Allemagne, où la crèche des catholiques a été remplacée par le sapin de Noël des protestants. En France, l'arbre de Noël est arrivé par l'Alsace, proche voisine des Allemands.
Jésus n'est pas né à cette date, qui fut adoptée de manière conventionnelle plusieurs siècles après les faits. Les Évangiles ne donnent aucune indication précise, seulement quelques détails qui, par recoupement, incitent la plupart des historiens à proposer une naissance du Christ entre -8 et -6.
Les religions sont des constructions complexes. Sur Internet, de nombreux commentaires parlent de Noël comme d'une fête païenne, « pas vraiment chrétienne », car d'autres rites étaient déjà célébrés à cette date bien avant l'avènement du christianisme. Mais les rituels évoluent, et s'influencent les uns les autres.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.
Oui, mais Jésus n'est pas né le 25 décembre.
Le choix s'est porté sur le 25 décembre, qui correspondait à la fête romaine du "soleil invaincu" (Sol invictus en latin). Un culte païen destiné à célébrer le solstice d'hiver, c'est à dire ce moment de l'année où les journées commencent à rallonger.
Une date arrêtée au début du IVe siècle après les calculs d'un moine nommé Denys le Petit. Or, en l'état des connaissances, une large majorité de spécialistes évalue la naissance du Christ entre l'an –6 et l'an –4, soit peu avant la mort d'Hérode le Grand établie en –4.
Noël, c'est la fête d'une naissance survenue il y a plus de 2000 ans et racontée dans la Bible, dans l'Évangile selon Luc, au chapitre 2.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, le 25 décembre du calendrier julien ou du calendrier grégorien. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Les chrétiens (catholiques, adventistes et évangéliques) ne voient pas tous Noël de la même manière. Pour les uns, majoritaires, il s'agit de célébrer la naissance de Jésus, pour les autres, l'observance de cette fête n'est pas ordonnée par les Écritures.
Dans l'islam, Noël n'est pas une fête. Il n'empêche que les musulmans considèrent Jésus (ou Isa en arabe) comme un prophète dans le Coran. Il est d'ailleurs plus souvent nommément cité que le prophète Mahomet ! Si sur le plan religieux, Noël n'a pour eux aucun sens, au niveau culturel c'est autre chose.
Du latin natalis «de naissance», le mot «noël» est l'élision de la locution natalis dies «jour de naissance».
Fête largement païenne aujourd'hui, à l'occasion de laquelle les familles se réunissent autour d'un bon repas et procèdent à l'échange rituel de cadeaux autour du sapin, Noël est avant tout, la fête religieuse majeure chrétienne qui commémore chaque année depuis 1 500 ans, la Nativité et la naissance de Jésus de ...
(Histoire, Religion) Nom péjoratif donné par les chrétiens aux personnes pratiquant les religions polythéistes de l'antiquité. (Religion) Personne qui pratique un paganisme, une sorte de polythéisme. (Par extension) (Religion) Paillard ; mécréant ; athée ; personne impie.
Joseph (Nouveau Testament)
Le sapin, c'est une tradition païenne, ça remonte aux celtes et c'est directement lié aux fêtes du solstice d'hiver. Le passage de l'automne à l'hiver. Les Romains aussi mettaient des branchages pour décorer leurs maisons. Bref, rien à voir au départ avec la religion chrétienne.
La boule de Noël, comme on la connaît aujourd'hui, aurait toutefois vu le jour qu'au milieu du 19e siècle, en Lorraine, dans le nord-est de la France. En effet, selon la tradition, en 1858, une grande sécheresse dans les Vosges du Nord et la Moselle détruit les récoltes de fruits, dont celles des pommes.
Entre le XVIe et le XVIIIe siècle, à Paris, les oranges étaient cultivées dans des bâtiments chauffés appelés des « orangeries », des lieux de prestige faits pour impressionner. Offrir une orange à Noël était donc synonyme de bonne santé financière.
Noël n'est pas considéré comme un jour férié officiel en Afghanistan, en Algérie, en Azerbaïdjan, au Bahreïn, au Bhoutan, au Cambodge, en Chine (sauf à Hong Kong et Macao), aux Comores, en Iran, en Israël, au Japon, au Koweït, au Laos, en Libye, aux Maldives, en Mauritanie, en Mongolie, au Maroc, en Corée du Nord, en ...