La Fête-Dieu ou Fête du Saint-Sacrement (2e dimanche après la Pentecôte) a été instituée au Moyen-Age pour commémorer la présence de Jésus-Christ dans le sacrement de l'Eucharistie. Elle est également appelée fête du Corpus Christi.
« Les sacrements sont des signes sensibles et efficaces de la grâce, institués par le Christ et confiés à l'Église, par lesquels nous est donnée la vie divine ». Il s'agit d'une grâce actuelle de service, dite charismatique et ordonnée à la sanctification des fidèles.
Le pape Jean XXII en 1318 a ordonné de porter l'eucharistie, le jour de la Fête du Saint-Sacrement (Fête-Dieu), en cortège solennel dans les rues et sur les chemins pour les sanctifier et les bénir. C'est à ce moment qu'apparaît l'ostensoir. Elle se répand dans tout l'occident aux XIV° et XV° siècles.
L'objectif commun de la célébration et de l'Adoration de l'Eucharistie est de permettre au fidèle de s'approcher de l'amour de Dieu et d'y adhérer personnellement pour tendre à s'unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l'amour trinitaire.
Le Saint-Sacrement est la Réserve eucharistique, conservée d'abord pour les malades et les mourants. Peu à peu, (au fil du temps) cette Réserve va devenir l'objet légitime de l'adoration des fidèles. Il faut donc distinguer le «Saint-Sacrement» (Réserve, Adoration) de la Messe, appelée aussi «Eucharistie».
Je rends grâce au Seigneur de les avoir mis sur ma route, de m'avoir parlé par eux, de s'être rendu présent à moi à travers eux. Je reste en silence dans un cœur à cœur avec Dieu. Je contemple le Christ qui a aimé les siens jusqu'au bout et qui a donné sa vie pour que nous ayons la vie en plénitude.
Je peux répéter : « Seigneur, tu es là » ou redire une parole de l'Évangile pour prendre conscience que je me trouve en sa présence : « Je suis le pain de vie. » Ma prière est rythmée par trois temps : l'accueil de la présence de Dieu, l'action de grâce – le remercier pour ce qu'il fait dans ma vie –, et l'intercession ...
Le ministre ordinaire de l'exposition du Saint-Sacrement à l'adoration des fidèles est assurément le prêtre – ou le diacre lorsque le prêtre est absent ou empêché. Mais en leur absence, un acolyte ou un fidèle laïc, autorisé par l'ordinaire du lieu, peut assurer ce service.
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah. La Torah est bienfaisante dans la vie des hommes, elle est chemin vers Dieu.
1. Action d'adorer un être divin. 2. Sentiment d'amour passionné, de très grande affection : Amour qui confine à l'adoration.
Le baptême, la confirmation, la confession, la communion ou eucharistie, l'ordination, le mariage et l'onction des malades. C'étaient-là les principaux rites de passages dans la vie des croyants catholiques au Moyen Âge.
Les trois sacrements de l'initiation chrétienne (baptême, confirmation, eucharistie) sont étudiés successivement, en prenant en compte notamment les dimensions biblique, liturgique et historique.
Un sacrement est le signe visible du don de Dieu. Les sept sacrements sont porteurs de "grâce" c'est à dire qu'ils aident le chrétien à vivre, à avancer sous le regard de Dieu, dans l'état qu'il a choisi. Du latin sacramentum, lui même traduction du terme grec mustérion, le mot sacrement signifie à l'origine "mystère".
Bien que le signe de croix soit antérieur au concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns des Réformateurs comme étant une pratique catholique, et cela en dépit de la vision positive qu'en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune et le Code de droit canonique anglican de 1604.
La croix devenue hampe de bannière est appelée croix de la résurrection ; c'est celle que le Christ aurait tenue en main, sortant du tombeau après son ensevelissement. Cette représentation exprime La Résurrection et la victoire de la vie sur la mort. La crosse singularise la sépulture d'un évêque.
Il s'agit d'une prière totalement silencieuse Chaque soir, après la fermeture des portes à 22h30, le relais de prière se poursuit, assuré par les personnes inscrites pour la nuit d'adoration, qui sont hébergées à la Maison d'Accueil de la Basilique.
Au salut du Saint-Sacrement, on encense à deux reprises l'hostie consacrée, présentée à l'adoration de tous sur l'ostensoir placé sur l'autel. Quand le prêtre a imposé l'encens, il le bénit d'un signe de croix ; cette bénédiction est omise devant le Saint-Sacrement exposé.
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Le dictionnaire encyclopédique Hachette fait comme unique distinction entre la louange et l'adoration le fait que l'adoration est forcément adressée à une divinité, bien que, dans l'usage courant, il soit possible d'utiliser le terme d'adoration pour exprimer une forte passion pour quelque chose sans que la religion n' ...
Le dimanche est le jour saint de la plupart des confessions chrétiennes.
'Adorer en esprit et vérité' suppose une attitude d'accueil de ce que l'Esprit de Jésus enseigne. Il nous fait connaître l'amour de Dieu dans toute sa plénitude. Le mot 'vérité' a le sens de 'non caché'. Dieu, par l'Esprit, veut livrer quelque chose de ce qu'il est pour nous.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Commence à faire parler ton cœur, c'est à dire commence à aimer Celui qui nous a aimés le premier. Durée : - Soyons attentifs aux enfants. - S'ils viennent à l'adoration pour la 1ère fois, restons 5 minutes puis progressivement, nous resterons plus longtemps.
Dans la doctrine catholique, la célébration eucharistique est « le sommet à la fois de l'action par laquelle, dans le Christ, Dieu sanctifie le monde, et du culte qu'en l'Esprit-Saint, les hommes rendent au Christ, et par lui, au Père ».