La Flamme est allumée pour la première fois le 11 novembre 1923 par André Maginot, ministre de la Guerre. Elle ne devait plus s'éteindre réalisant le vœu exprimé par Gabriel Boissy : « La Flamme, comme un feu follet, jaillira du sol. Elle sera vraiment comme l'âme du Mort résurgente.
Elle regroupe 760 associations d'anciens combattants et a pour but de faire raviver quotidiennement, au crépuscule, la Flamme sur la tombe du Soldat Inconnu et plus généralement d'entretenir sa mémoire, c'est-à-dire la mémoire de tous les combattants français et alliés tombés au champ d'honneur.
Le 11 novembre 1923, la Flamme est allumée par André Maginot, alors ministre de la Guerre. Depuis cette date, la Flamme ne s'est jamais éteinte et chaque soir, à 18h30 sous l'Arc de Triomphe, une cérémonie solennelle de ravivage y est organisée.
Elle existe depuis un siècle, et jamais elle ne s'est éteinte. Sous l'Arc de Triomphe à Paris, la flamme du Soldat inconnu est ravivée chaque soir.
Depuis 1923, chaque jour à 18 h 30, la flamme du Soldat inconnu est ravivée au cours d'une cérémonie sous l'Arc de Triomphe.
La Flamme est allumée pour la première fois le 11 novembre 1923 par André Maginot, ministre de la Guerre. Elle ne devait plus s'éteindre réalisant le vœu exprimé par Gabriel Boissy : « La Flamme, comme un feu follet, jaillira du sol. Elle sera vraiment comme l'âme du Mort résurgente.
C'est au coeur de l'état de New York, dans le parc de Chestnut Ridge, que se cache une mystérieuse flamme. Bien dissimulée derrière une chute d'eau, cette flamme éternelle brûlerait depuis la nuit des temps. Selon la légende, les Amérindiens lui offraient déjà des offrandes.
La dalle en granite de Vire qui le recouvre comporte cet épitaphe : «Ici repose un soldat français mort pour la France. 1914-1918». Elle est surnommée « dalle sacrée », par les anciens combattants.
Le 8 novembre 1920, les députés votent une loi à l'unanimité afin que les honneurs du Panthéon soient rendus aux restes d'un des soldats non identifiés « mort au champ d'honneur » et sa dépouille inhumée sous l'Arc de Triomphe.
Ils utilisent pour cela un glaive avec lequel ils font pivoter le bouclier faisant jaillir une grande flamme. "Le secret, c'est du gaz en permanence qui va maintenir cette flamme allumée. Parfois, quand le vent s'engouffre, la flamme peut être éteinte, mais on la rallume en vitesse", assure Catherine Mytakis.
Ce ravivage était à l'origine, organisé par les anciens combattants. Mais fort légitimement, des bénévoles, hommes et femmes, non combattants mais pleinement citoyens ont été accueillis pour être commissaires de la Flamme, devenue Flamme de la Nation.
Une flamme nécessite trois ingrédients essentiels, connus sous le nom de triangle du feu : le carburant, l'oxygène et la chaleur. Si l'un de ces éléments manque ou si l'équilibre est rompu, la flamme s'éteindra.
Un symbole d'autant plus fort que Gaz de Bordeaux alimente la tombe du Soldat inconnu située sous l'Arc de triomphe et dont la « Flamme du souvenir » est ravivée chaque jour.
Elle regroupe 760 associations d'anciens combattants et a pour but de faire raviver quotidiennement, au crépuscule, la Flamme sur la tombe du Soldat Inconnu et plus généralement d'entretenir sa mémoire, c'est-à-dire la mémoire de tous les combattants français et alliés tombés au champ d'honneur.
Présentation. Le 11 novembre 1923, une flamme éternelle est allumée pour la première fois sur la tombe du Soldat inconnu par le ministre de la Guerre André Maginot.
Au-delà d'une tombe sous l'Arc de Triomphe, à Paris, le Soldat inconnu représente tous les soldats non identifiés (reconnus français) qui sont morts pour la France durant l'histoire.
Cette fleur bleue est devenue l'emblème des anciens combattants et des victimes de la Première Guerre mondiale. Avec le Bleuet, le soldat inconnu représente l'autre symbole de l'armistice. Héros anonyme, il incarne le sacrifice de millions d'hommes.
Re: Annonce de la mort d'un combattant
l'autorité militaire n'est autre que le corps d'armée dont dépend le soldat, ensuite de la mairie, c'est en général les gendarmes qui se chargent de la besogne, mais cela pouvait être effectué dans un cadre non officiel par un compagnon.
Une telle tombe contient les restes d'un soldat tué au combat et dont on ignore le nom et quelquefois même la nationalité. En tant que mort inconnu, il représente tous les morts du conflit. Pour certains pays, le soldat est tombé avant ou après la Première Guerre mondiale.
Depuis le 11 novembre 1920, l'Arc de triomphe abrite la Tombe du Soldat inconnu.
Les locaux appellent ce lieu "la porte de l'enfer". Ce gouffre, situé non loin du village de Derweze, mesure 70 mètres de diamètre pour 20 mètres de profondeur. A l'intérieur se trouve un brasier qui ne s'éteint jamais, dégageant une chaleur extrême.
Symbolique du feu
Le feu est naturellement associé au Soleil, qui est également une source de chaleur et de lumière (on sait maintenant qu'il ne s'agit pas d'une combustion mais d'une fusion nucléaire). Il est également souvent associé aux volcans, comme le feu de la forge d'Héphaistos/Vulcain.
Une flamme éternelle, parfois appelée flamme du souvenir, est un foyer ou une flamme qui brûle constamment, alimentée en permanence, autrefois par ajout de combustibles par des personnes affectées à ce service, actuellement par une alimentation le plus souvent en gaz naturel.
Le 10 novembre 1920, Auguste Thin, un jeune soldat de 21 ans doit désigner le futur symbole : "J'avais été choisi pour désigner le cercueil parce que j'étais le plus jeune engagé soldat de 2e classe et ancien combattant du 132e RI, le régiment de Verdun", racontera-t-il plus tard.
Huit soldats morts dans huit régions différentes
Le 8 novembre 1920, Auguste Thin, un soldat de deuxième classe au 132e régiment d'infanterie, alors âgé de 21 ans, est chargé de désigner celui qui reposera sous l'Arc de triomphe.