Observation : plus on ajoute de lampes au circuit, moins les lampes brillent. Interprétation : dans un circuit en série, l'énergie transférée par le générateur est partagée entre les lampes. Donc plus il y a de lampes, moins il y a d'énergie électrique disponible pour chacune. L'éclat des lampes diminue.
Protocole : on réalise un circuit en dérivation avec une pile et deux lampes placées sur deux branches reliées à la pile. On ajoute ensuite une troisième, puis une quatrième branche au circuit. Observation : les lampes brillent beaucoup plus fort que dans le circuit en série.
L1 a besoin de 100 mA pour fonctionner correctement alors que L2 a besoin de 300 mA. Etant donné que l'intensité du circuit est d'environ 100 mA, L1 brille normalement et L2 brille faiblement. Loi de l'intensité dans un circuit série : L'intensité est la même en tous points d'un circuit série.
Une différence de tension nominale entre deux lampes se traduit par une différence d'éclat lorsqu'elles fonctionnent dans des conditions nominales: La lampe qui possède la tension nominale la plus élevée est aussi celle qui brille avec l'éclat le plus fort.
I. Un circuit électrique élémentaire pour faire briller une lampe. La lampe de poche est composée d'une ampoule, d'une pile et d'un interrupteur. Ces éléments sont reliés entre eux par des fils de connexion.
– Le culot est en contact avec la borne négative et le plot en contact avec la borne positive. La lampe brille donc si ses deux bornes sont en contact avec les deux bornes de la pile.
Le sens conventionnel du courant
Le problème s'est posé aux physiciens et comme on ne peut pas voir le courant électrique, un sens arbitraire a été donné : le courant circule de la borne positive vers la borne négative du générateur à l'extérieur de celui-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.
La surtension électrique intervient lorsque la tension apportée dans le circuit électrique est plus élevée que la tension maximale supportée par le circuit. Vos appareils électriques subissent plusieurs fois par jour des surtensions de faibles ampleurs et sans conséquences à court terme.
Loi d'Ohm. Branchons aux bornes d'un générateur, une lampe adaptée. Elle fonctionne correctement puisqu'elle est adaptée à la tension du générateur.
Elle s'écrit : U = R × I . U = tension aux bornes de la résistance, en volt (V). I = intensité qui traverse la résistance, en ampère (A). R = valeur de la résistance, en Ohm (Ω).
Si l'on ajoute une deuxième lampe dans un circuit comportant une lampe et une pile alors l'éclat diminue. L'éclat diminue encore plus si l'on ajoute une troisième. Le résultat obtenu serait le même en ajoutant un moteur ou une résistance au lieu d'une lampe.
Utilistaion du multimètre
Puis placez l'autre pointe de touché sur le cul de l'ampoule. Si sur votre multimètre, les chiffres bougent puis redescendent à 0, alors l'ampoule est bonne. Mais si les chiffres ne bouge aucunement, elle est grillée !
Dans une ampoule électrique classique, le courant électrique arrive et repart par deux points isolés. Entre ces deux points, l'électricité passe par le circuit de l'ampoule et, en particulier, traverse le filament de l'ampoule en tungstène. Le tungstène est un métal qui résiste au passage du courant.
Tout dipôle, ou plus généralement tout conducteur dont la caractéristique est une droite passant par l'origine est un conducteur ohmique.
LOI D'ADDITIVITE DES TENSIONS DANS UN CIRCUIT EN SERIE : Dans un circuit en série, la tension entre les bornes du générateur, est égale à la somme des tensions entre les bornes des dipôles récepteurs.
L'intensité électrique est liée à la quantité d'électricité qui circule dans un circuit et s'exprime en ampères. La tension électrique est liée à la différence d'état électrique entre deux points d'un circuit et s'exprime en volts.
Comment faire ? Vérifiez d'abord que la tension électrique alimente bien votre prise. Branchez alors une lampe à la place de l'appareil et vérifiez si celle-ci s'allume. Si tel est le cas, alors le problème électrique vient de votre appareil.
Les résistances (parfois nommées résistors) remplissent la fonction de résistance dans les circuits imprimés. On les utilise afin de contrôler l'intensité du courant dans les différents segments d'un circuit.
Lorsqu'un composant électrique à deux bornes reçoit une tension électrique supérieure à la tension normale du circuit, on dit qu'il est en « surtension ». Quand ils sont branchés sur le secteur, vos appareils ménagers subissent automatiquement ces petites pointes de tension, à l'allumage par exemple.
Il ne faut pas confondre la surcharge électrique avec un court-circuit, qui survient également lorsque l'intensité augmente très fortement, mais sur un très bref laps de temps. Dans le cas d'une surcharge électrique, l'intensité augmente de façon plus modérée, mais sur un laps de temps plus étendu.
Cette preuve peut émaner d'une expertise mandatée par la justice ou votre assureur. Ainsi, il sera constaté que le dommage subi ne peut provenir que d'une surtension. La preuve peut aussi consister en des attestations de vos voisins ayant également subi une surtension au même moment sur leur installation.
Si un circuit électrique est relié à la pile, les électrons libres du circuit sont attirés par la borne positive, repoussés par la borne négative de la pile. Ils circulent de la borne moins vers la borne plus à l'extérieur du générateur.
L'intensité du courant est une grandeur algébrique (positive ou négative). Le signe de l'intensité du courant est positif si celui-ci "s'écoule" réellement dans le sens de la flèche ou négatif si celui-ci "s'écoule" en sens inverse de la flèche.
Le déplacement des électrons s'effectue du pôle négatif vers le pôle positif Par convention, on attribue au sens du courant le sens opposé à celui des électrons, ce qui peut sembler paradoxal !