La musique fait réagir les hémisphères du cerveau avec un effet direct sur le corps. Au contact d'une musique douce ou classique, le rythme cardiaque ralentit, la tension artérielle diminue, tout comme les niveaux d'hormone du stress. La respiration devient plus profonde et régulière.
La dopamine produite par le cerveau diffuse un bien-être chez une personne écoutant la musique au moment opportun, source de bienfaits physique et mental. La musique adoucit les mœurs en influençant le comportement et les émotions.
Elle favorise la neurogenèse. Il s'agit du processus par lequel notre cerveau développe davantage de neurones, améliorant ainsi nos capacités cognitives. Elle libère de la dopamine qui améliore l'humeur générale. Elle peut améliorer la capacité d'attention.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.
La musique est capable de rassembler les gens, de créer du lien, de transmettre des émotions, de raviver des souvenirs, de donner de la force, de l'énergie, de déstresser. Elle soignerait même certains maux (la musicothérapie est actuellement en plein essor). Elle a donc de nombreux bienfaits.
La musique favorise des niveaux plus élevés de dopamine dans le cerveau, d'où une sensation de plaisir. Elle améliore la motivation et l'endurance lors de la pratique d'un sport. Elle est utile à l'hôpital pour diminuer le stress et la douleur de patients en chirurgie.
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
La musique peut chasser la mauvaise humeur ou pallier une déprime passagère. Le plaisir intense ressenti en écoutant un morceau agit sur notre cerveau par la sécrétion de la dopamine, hormone du bonheur qui régule les émotions négatives et nous rend joyeux.
La musique est un allié de taille pour traiter les troubles psychologiques. Grâce à son effet relaxant, elle permet de réduire le taux de cortisol, l'hormone du stress. En revanche, elle stimule la libération des endorphines qui ont des vertus calmantes et analgésiques.
La musique adoucit les mœurs
Il leur a ensuite demandé de compléter des mots représentés par leur première syllabe : par exemple « bag- » qui peut donner « bag-age » ou « bag-arre », selon que l'on se trouve dans des dispositions d'esprit agressives ou pacifiques.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
Pour les mélomanes, la réponse est claire et elle sera négative. Pour eux, passer une journée sans entendre la moindre mélodie est tout simplement impossible. Selon le célèbre philosophe et poète (ainsi que pianiste) allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche, « sans la musique, la vie serait une erreur ».
La musique est une véritable aide à la mémoire, un booster de nos capacités intellectuelles, un catalyseur de nos émotions et un moyen de communication et de socialisation. Toutes ces fonctions la rende essentielle et inhérente à notre survie et ne font aucun doute sur ses bénéfices dans notre quotidien.
Garder le cerveau en santé
Des études montrent que la pratique musicale peut aller élargir certaines parties du cerveau responsables de l'activité motrice et perceptuelle. Ces effets sont particulièrement visibles si une personne commence à pratiquer la musique avant l'âge de 7 ans.
Pour des effets thérapeutiques
La musique douce ou classique apaise, ralentit le rythme cardiaque, baisse la tension artérielle et diminue même les niveaux d'hormones du stress. Aussi, si vous écoutez la musique que vous aimez, elle remplira votre cerveau de dopamine.
A noter également que si la musique peut booster votre bonne humeur, elle peut également pour les personnes à forte sensibilité et à tendance mélancolique provoquer l'inverse, surtout quand celle écoutée est plutôt triste ou qu'elle peut vous mettre également dans d'autres états négatifs.
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.
Car des études ont montré que lorsque nous écoutons de la musique, notre cerveau libère de la dopamine, molécule qui nous rend heureux. En conséquence, la musique, à travers les tons et les rythmes, active des zones du cerveau similaires à la joie.
Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
Écouter de la musique triste provoque du chagrin, de la peine ou de la mélancolie de façon plus intense mais fait office d'exécutoire qui fait du bien. Ressentir ces émotions négatives contient des effets positifs car cela permet d'affronter sa douleur plutôt que de la refouler.
La musique amène aussi des effets positifs chez les enfants plus jeunes : Les comptines et les chansons aident l'enfant à se développer dans son langage, sa capacité d'attention et son sens rythmique. Avec les chants mimés, on apprend à connaître son corps, on fait de la motricité, de l'expression dramatique.
Un volume sonore excessif peut faire des dégâts et abîmer les cellules ciliées, voire les détruire. Les risques d'endommager son système auditif sont accrus en cas d'exposition constante ou récurrente, et si le son est monté régulièrement. Le seuil de danger est estimé à 85 décibels.
Voici une petite astuce pour savoir si votre musique est trop forte: si la musique que vous écoutez avec vos écouteurs est encore audible quand vous tendez l'écouteur à bout de bras, la musique est trop forte et les risques de pertes auditives sont réels.
Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Amateurs ou professionnels, et quel que soit notre âge, nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu'à nous aider au cours de notre existence.