(Tite 3:9 – Psaumes 12:3 – Proverbes 10:31 – 1 Pierre 3:10). Beaucoup de musiques séculières (mondaines) vont en ce sens. Des artistes parlent sans honte de dépravation sexuelle, de rébellion à l'autorité, de médisance, etc. Il est donc évident qu'un chrétien ne devrait pas écouter de tels chants.
Ce n'est que d'après les textes de la Bible qu'on peut apprendre quelque chose de la musique chez les Hébreux ; car, leur loi interdisant toute représentation de créatures animées, telles que des musiciens, ainsi que celle d'objets fabriqués, d'images taillées par la main des hommes, tels que des instruments de musique ...
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée.
Selon les textes bibliques la musique a joue un grand role dans la vie du peuple de Dieu. Elle tenait une place importante aussi bien dans la vie quotidienne que dans la liturgie personnelle et collective.
La musique tient une place importante dans le rituel religieux. Elle change la disponibilité en aspiration et, par là, favorise l'approche du surnaturel. Toutefois, l'action transformatrice ne résulte pas d'une manifestation extérieure, d'un dédoublement analogue à une opération intellectuelle.
1- Qui chante la musique sacrée ? Les moines chantent la musique sacrée. 2- Pour qui est jouée cette musique ? Elle est jouée pour le dieu des chrétiens et les croyants.
Musique vocale et instrumentale
Par exemple, des psaumes, le chant grégorien, un oratorio, des negro spirituals, etc., constituent de la musique sacrée. La musique religieuse vocale peut être soutenue par un accompagnement instrumental ; dans le cas contraire, on dit qu'elle est interprétée « a cappella ».
La première fois qu'il est fait mention dans la Bible d'un instrument de musique, c'est lorsque Laban dit à Jacob « qu'il lui aurait fait cortège avec des chants joyeux, au bruit des tambours et du kinnor (Genèse, xxxi, 27.) Comme Laban habitait la Syrie, le kinnor était donc un instrument syrien.
Selon le livre de la Genèse, Jubal fut le fils de Lémec et Ada (Genèse 4 : 19-21). La Bible le présente comme le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau.
Au-delà de la fonction du « maître de chant », dont la mention apparaît fréquemment dans le Psautier, le premier chantre lévite à être mentionné est Yedutûn (ydwtwn) aux Ps 39,1 ; 62,1 ; 77,1. Son nom apparaît encore fréquemment dans les Chroniques [5] et en Né 11,17.
(Tite 3:9 – Psaumes 12:3 – Proverbes 10:31 – 1 Pierre 3:10). Beaucoup de musiques séculières (mondaines) vont en ce sens. Des artistes parlent sans honte de dépravation sexuelle, de rébellion à l'autorité, de médisance, etc. Il est donc évident qu'un chrétien ne devrait pas écouter de tels chants.
Les moines, qui étaient les seuls à savoir écrire et lire, ont composé ces chants sur des parchemins. La musique profane a pour unique objet de distraire. Des musiciens ambulants jouaient sur les places des villages pour amuser et faire danser les habitants.
Pour le Coran, c'est essentiellement le verset 6 de la sourate 31 qui est interprété comme un interdit de la musique : « Tel homme ignorant se procure des discours futiles (lahw) pour égarer les autres hors du chemin de Dieu et prendre celui-ci en dérision.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
Aucun article du Code du travail autorise ou interdit d'écouter de la musique au travail avec ou sans écouteurs. Toutefois, dans l'exercice de son pouvoir disciplinaire un employeur peut interdire aux salariés d'écouter de la musique au travail.
C'est à Saint Augustin qu'est attribuée la citation « Qui bien chante, deux fois prie ». Derrière cette affirmation, il y a là le cœur du chant sacré. C'est par les sons que l'on crée l'émotion qui aide à nous tenir au plus proche de l'autel.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
La différence entre Chantre et Chanteur
Le chantre et le chanteur sont tous deux des personnes qui utilisent leur voix pour produire un phrasé musical. Le répertoire du chanteur couvre les répertoires de tous genres alors que celui du chantre est exclusivement lithurgique.
Le chantre (du latin cantare, chanter, qui a donné cantor — forme latine de chantre) ou conducteur de louange assure un ministère de chanteur principal, et généralement instructeur, dans une église, avec des responsabilités pour la chorale ou l'équipe de louange dans la messe ou le culte, ainsi que les répétitions.
Pourquoi chanter ? Chanter nous aide à louer, à prier et à proclamer le nom du Seigneur ! Cela nous permet de louer Dieu avec notre bouche, notre corps, notre coeur et nos émotions. Le chant en groupe favorise aussi la relation et l'unité entre les chrétiens.
La musique, d'abord, est un art de l'islam. Non seulement elle n'est pas interdite, mais elle est même nécessaire s'agissant du tajwîd, qui est la science de la récitation et de l'incantation des versets coraniques.
Une ou un hymne (nom féminin ou masculin) est généralement, dans le domaine religieux, un chant, un poème à la gloire des dieux ou des héros, souvent associé à un rituel. Dans la liturgie catholique, une hymne signifie un poème religieux, chanté notamment pendant l'office divin.
Au 6ème siècle, le pape Grégoire le Grand unifie le répertoire des chants religieux afin de renforcer le pouvoir de l'Eglise. On parle de chant grégorien. Le chant grégorien est monodique : les moines chantent à l'unisson, en latin, « a capella » c'est-à-dire sans accompagnement instrumental.
Chant à une voix avec ou sans accompagnement. 2. Dans la tragédie grecque, passage lyrique chanté par un personnage au cours d'un épisode. (Les monodies sont très développées chez Euripide.)
Locution nominale - français. (Musique) Musique religieuse d'accompagnement d'un culte.