Gonflement : cela se produit lorsque votre système immunitaire répare la blessure, car les vaisseaux sanguins s'élargissent pour laisser passer le flux sanguin et envoyer de l'oxygène. Cela ne doit pas durer plus de cinq jours.
La rougeur et la chaleur résultent de l'augmentation locale du débit sanguin en raison de la vasodilatation des vaisseaux adjacents à la plaie. Le gonflement ou œdème est du à la fuite plasmatique suite à une augmentation de la perméabilité des vaisseaux.
Une poche de glace peut être appliquée sur la zone douloureuse mais jamais directement : enveloppez-la au préalable dans une serviette propre ou un bandage. Laissez-la agir au moins 20 minutes. Un sac de légumes surgelés peut constituer une excellente poche de glace improvisée !
A ce stade la plaie comporte tous les signes caractéristiques de l'inflammation : rougeur, tuméfaction, chaleur, douleur. La dilatation des capillaires sanguins est responsable de la rougeur et de la chaleur.
présence d'enflure, de rougeur et de chaleur autour de la plaie ; douleur ou sensibilité autour de la zone infectée ; possible écoulement ou collection de pus ; si l'infection s'aggrave : fièvre, nausées et stries rouges s'étendant à partir de la plaie.
Gonflement : cela se produit lorsque votre système immunitaire répare la blessure, car les vaisseaux sanguins s'élargissent pour laisser passer le flux sanguin et envoyer de l'oxygène. Cela ne doit pas durer plus de cinq jours.
Dans des conditions normales, une cicatrice reste plane. Une cicatrice boursouflée ou chéloïde est le résultat d'une mauvaise cicatrisation. Elle évolue en relief. Au début, il se forme une boule minuscule, dure et de couleur brun-rouge.
gardez la plaie au sec durant les premières 48h. au delà de 48h, vous pouvez laisser la plaie à l'air. si vous mettez un pansement, changez-le le moins possible afin d'éviter l'irritation de la peau, et veillez à ce qu'il reste sec. Un pansement humide doit, par contre, être remplacé le plus vite possible.
Une plaie ou une excoriation peut être suivie de complications infectieuses. L'infection, qui apparaît dans les jours qui suivent le traumatisme, se manifeste par une rougeur, une douleur et la présence éventuelle de pus.
Prêter attention à l'aspect de la peau
Deux couleurs vous informent qu'une blessure cicatrise bien : si votre plaie superficielle est rouge, c'est un signe que la cicatrisation est en bonne voie. Si elle prend une teinte rosée et nacrée, votre blessure arrive en fin de cicatrisation !
Les plaies sont soignées jusqu'à leur cicatrisation qui intervient généralement en une à deux semaines pour une lésion peu profonde et peu étendue. Une plaie cicatrisée continue d'évoluer pendant 6 à 18 mois.
Boire un litre et demi d'eau par jour, c'est le minimum recommandé. Mais chaque personne est différente, il faut surtout écouter son corps et ne pas hésiter à boire plus si vous sentez que vous en avez besoin. Manger des aliments diurétiques comme les concombres, les radis ou le thé peuvent aussi aider à dégonfler.
L'inflammation se produit lorsque les vaisseaux sanguins se dilatent pour laisser passer plus de sang vers les tissus lésés. C'est la raison pour laquelle la zone devient rouge et chaude.
Il est également possible d'avoir recours à des plantes telles que le thé vert, le pissenlit ou la vigne rouge à travers l'homéopathie ou sous forme d'infusions. Le drainage lymphatique peut être une solution pour soulager un œdème, il s'agit d'un massage qui stimule la circulation de la lymphe ( liquide biologique).
La protection: il est important de protéger la plaie des agressions extérieures afin de permettre une cicatrisation optimale. Couvrez votre plaie avec le pansement en tissu ou le pansement stérile Elastoplast qui convient le mieux à vos besoins.
Elle prévient et traite les infections des petites et grandes plaies, et réduit le risque de cicatrices. Le médicament ne pique pas, et offre ainsi une bonne tolérance. La solution de Betadine convient notamment pour le nettoyage et le rinçage des plaies infectées.
La plaie bourgeonnante
Elle présente un aspect rouge. Cela traduit la présence d'un tissu en bonne voie de cicatrisation. Cet aspect de la plaie est le signe d'une bonne vascularisation qui permet la migration et l'implantation des fibroblastes.
Qu'est-ce qu'une plaie bourgeonnante ? Une plaie bourgeonnante présente un aspect rouge. Le bourgeonnement de la plaie est synonyme de cicatrisation et montre par la présence d'un tissu en bonne voie de guérison.
Une plaie à la jambe qui ne cicatrise pas ? Il s'agit peut-être d'une plaie variqueuse, autrement dit d'un ulcère variqueux. Elle survient au dernier stade de l'évolution d'une insuffisance veineuse chronique secondaire à des varices ou à des séquelles de phlébite.
Cicatrisation en première intention
La plaie sera recouverte de cellules épithéliales (épithélialisation) en 7 jours environ ; Avec une consolidation de la cicatrice primaire au bout d'un mois ; Et une maturation définitive de la cicatrice après 12 à 18 mois.
Les stéroïdes tels que la cortisone ont un effet anti-inflammatoire et peuvent donc inhiber la croissance des cicatrices hypertrophiques ou chéloïdes. Au cours du traitement, le dermatologue injecte la substance active dans le tissu cicatriciel à l'aide d'une fine aiguille.
Cette phase de la cicatrisation d'une plaie consiste à éliminer les corps étrangers et les tissus morts en quelques jours. Pendant cette phase, la lésion est recouverte par un caillot sanguin. La réaction inflammatoire provoque une vasodilatation et augmente la perméabilité de la lésion.