La température est sans doute le facteur cinétique le plus communément utilisé car la température reflète l'état d'agitation d'un milieu. Lorsqu'elle augmente, les particules sont plus agitées et les collisions entre elles ainsi que l'efficacité de ces collisions sont multipliées.
De manière générale, on retiendra qu'une température trop faible peut bloquer une réaction chimique lente, alors qu'une température élevée (dans une certaine mesure) est capable d'accélérer la réaction lente. La température est un facteur cinétique.
Plusieurs facteurs cinétiques peuvent être envisagés comme la température, la pression et la concentration des réactifs. Cependant, un facteur cinétique n'a pas systématiquement une influence sur une transformation chimique quelconque.
La concentration initiale des réactifs est un facteur cinétique : la réaction est d'autant plus rapide que la concentration initiale des réactifs est grande. Il existe d'autres facteurs cinétiques qui peuvent influer sur la rapidité d'une réaction chimique : les radiations lumineuses et le solvant utilisé.
La vitesse d'une réaction est à la fois affectée par la température et par la concentration. Pour qu'une réaction ait lieu, les particules de réactif doivent entrer en collision les unes avec les autres. Tout facteur qui permet d'augmenter le nombre de collisions est susceptible d'accroître la vitesse de réaction.
De la position : la température est en général plus élevée en position debout qu'en position assise ou couchée. Des émotions : la colère est par exemple un facteur d'élévation de la température. De l'activité : la température augmente avec un effort physique.
En effet, la température influence la densité de l'air, ce qui vient influencer la vitesse du son. Pour l'air, qui est considéré comme un gaz parfait, plus la température est basse, plus la densité est grande et plus la vitesse diminue.
On détermine si un facteur est un facteur cinétique en comparant la vitesse d'une même réaction lorsque le facteur étudié est modifié. On réalise l'expérience dans les conditions normales de température et de pression ( \theta=20 °C, réaction a) avec une quantité initiale n\left(\ce{H2O2}\right)=n_0.
Nous avons appris que les facteurs qui influencent la vitesse d'une réaction comprennent la température, la concentration, la pression, la surface de contact et les catalyseurs.
La quantité d'énergie cinétique, exprimée en Joule (J) dépend de deux facteurs : 1- La masse de l'objet (m) : si on double cette valeur, la quantité cinétique double également. 2- La vitesse (v) : si on double la vitesse, la quantité d'énergie cinétique sera quatre fois plus grande.
1. Théorie expliquant un ensemble de phénomènes à partir des seuls mouvements des particules matérielles. 2. Étude des lois qui régissent la vitesse des réactions chimiques.
Lorsque la masse est multipliée par 2, l'énergie cinétique est multipliée par 2. L'énergie cinétique d'un objet est proportionnelle à sa vitesse au carré. Lorsque la vitesse est multipliée par 2, l'énergie cinétique est multipliée par 4 ( =2²). Un système en mouvement possède de l'énergie cinétique.
L'énergie cinétique se définit comme étant l'énergie que possède un corps en raison de son mouvement. Pour qu'un objet se mette en mouvement, un travail doit être effectué sur un objet : on doit exercer une force sur cet objet ce qui lui permettra de se mettre en mouvement.
En général, le coefficient de vitesse augmente fortement avec la température, comme indiqué sur le graphe suivant : Cependant, il existe quelques rares cas de réactions où la vitesse n'augmente pas sensiblement, voire même diminue avec la température.
Mais notre Terre, n'étant pas un objet complètement froid, elle émet également des rayonnements (infrarouges) et, de ce fait, elle perd de son énergie. C'est cette compétition entre apport et pertes d'énergie qui est responsable des variations de température journalières et saisonnières.
À une pression donnée, les températures de changements d'état des corps purs sont fixes et demeurent constantes tant que dure le changement d'état. Plus la température d'un corps est importante, plus les particules qui le composent sont agitées, c'est l'agitation thermique.
Les facteurs d'influence peuvent être classés en trois grandes catégories : les stimuli marketing, les facteurs personnels ou individuels, les facteurs psychologiques et les facteurs sociologiques et culturels.
Énergie d'activation négative
Augmenter la température conduit à une probabilité réduite que la collision de deux molécules devienne la capture de l'une par l'autre, de sorte que la section efficace pour la réaction diminue.
Le rôle de l'eau glacée dans une réaction chimique est de diminuer la température du milieu réactionnel et parsuite refroidir le mélange en réaction.
La vitesse de réaction augmente si la température du milieu réactionnel augmente. La vitesse de réaction augmente en général si la concentration d'un réactif augmente. La vitesse de réaction diminue globalement quand l'avancement augmente (les réactifs disparaissent).
Le suivi cinétique d'une réaction
Pour effectuer un suivi cinétique, il faut connaître la quantité de matière ou la concentration d'au moins une espèce chimique participant à la réaction (réactif ou produit) à intervalles de temps réguliers et suffisamment proches.
On peut donc constater que, lorsque le gaz est chauffé et que sa température augmente, il prend de l'expansion. Conséquemment, le volume doit augmenter afin que la pression puisse demeurer constante. Le volume d'un gaz augmente donc lorsque sa température en degrés Celsius augmente.
Cela est dû à différents facteurs : la pression atmosphérique et la teneur en vapeur d'eau de l'air. La température diminue en moyenne de 0,65 °C par 100 mètres de différence d'altitude. Si l'air est très sec, par exemple en cas de situation anticyclonique, l'air peut même se refroidir de près de 1 °C par 100 mètres.
La température moyenne annuelle est en hausse. L'augmentation est de l'ordre de 0,24 degrés par décennie sur la période 1955-2009. Le réchauffement s'accélère sur les dernières décennies. L'augmentation de la température moyenne annuelle atteint 0,34 degrés par décennie sur la période 1979-2005.