Ses pieds sont posés sur une demi-boule qui représente le demi-globe terrestre. Elle écrase aussi sous son pied un serpent. Le serpent chez les juifs et les chrétiens représente Satan et les forces du mal. La Vierge Marie est engagée dans le combat spirituel, le combat contre le mal.
La rose, la lune, mais aussi la Porte du Ciel et la Tour d'ivoire : les symboles mariaux qui nous aident à comprendre comment a grandi la dévotion à Marie au cours de l'histoire. Parler de symboles mariaux au mois de mai est presque une obligation. Mai est le mois marial par excellence.
Plusieurs noms la désignent : « Marie de Nazareth », « Sainte Vierge », « Vierge Marie », ou encore « Notre-Dame » ou « Mère de Dieu ». Ils vénèrent la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes.
De façon générale, le serpent représente le désir et plus particulièrement le désir sexuel. Cet animal, à l'origine du péché originel, symbolise la libido et une énergie qui pousse à avancer et à aller vers l'autre ou vers de nouveaux projets.
l'accueil docile de la Parole de Dieu; l'obéissance généreuse; l'humilité sincère; la charité empressée; la sagesse réfléchie; la piété envers Dieu, source de zèle dans l'accomplissement des devoirs religieux ... ; la force d'âme dans l'exil et dans la douleur. ..
Les bleus de l'histoire
C'est la couleur de la Vierge Marie, le bleu marial, parce qu'elle serait apparue vêtue de bleu après la mort du Christ.
Elle est fondée sur des écrits apocryphes, comme celui du Pseudo-Jean, Sur la mort de Marie ( IV e ou V e siècle). Selon la tradition, la Vierge aurait alors été âgée de cinquante-neuf ans (soit onze ans après la crucifixion de Jésus) et aurait été enterrée dans le jardin de Gethsémani, à Jérusalem.
Dans la Bible, le serpent est associé à la divinité Yahweh et à la magie. Dans Exode 4.1-5, le nāḥāš est le signe de la puissance de Yahweh. La transformation magique du bâton en serpent est le signe que Yahweh s'est révélé à Moïse.
Il représente notre libido, notre vitalité qui nous pousse à avancer et à aller vers l'autre et vers des projets nouveaux dans l'existence. Le serpent fait aussi peur, il provoque une sorte d'effroi et nous fait craindre la morsure et la mort. Il s'agit d'une mort symbolique et non réelle.
La symbolique du serpent a toujours été associée avec l'idée de la vie et de la mort. Cet animal peut apporter le malheur tout comme la guérison[6]. Le venin du serpent entraînait la mort mais s'il est administré en petites quantités (encore de nos jours), le venin du serpent peut aussi être un médicament.
Non, la Vierge Marie n'a pas eu d'autres enfants en dehors de Jésus. Le terme « frère » dans la bible désigne non seulement des personnes issues du même père ou de la même mère, mais encore les membres de la même grande famille, du même clan, de la même tribu, voire du même peuple...
Sœur Gaudia a regardé le document et c'était la prière de consécration envers Marie.
Même si elle était très jeune lorsqu'elle a donné naissance à Jésus, elle aurait eu la quarantaine, au plus jeune, à ce stade, ce qui est déjà très bien selon l'espérance de vie antique, surtout pour une femme qui a accouché.
Dans l'art religieux, la Vierge Marie est presque toujours représentée avec un manteau bleu. Ce choix n'est dû au hasard et remonte à l'Ancien Testament. Couleur de la fidélité du peuple d'Israël aux commandements de Dieu, le bleu était également la couleur du tissu qui recouvrait l'Arche d'Alliance.
Mais il n'est pas le seul. Dès les premiers siècles, Marie est à l'honneur. Saint Bernard, saint Dominique, saint Louis-Marie Grignon de Montfort, entre autres, ont profondément marqué la foi chrétienne par leur dévotion mariale et ont fait de Marie une figure incontournable de la prière chrétienne.
On trouve des prédateurs de serpents dans de nombreux groupes de vertébrés terrestres : crocodiliens, tortues, grands lézards carnivores, serpents, oiseaux, mammifères. Les serpents aquatiques sont également susceptibles d'être capturés et ingérés par des oiseaux, des requins, des poissons et des crabes.
« Ils ne servent à rien » : FAUX, comme tous les autres organismes vivants, les serpents occupent une place essentielle dans l'écosystème et sont gages d'un environnement stable et sain. Ils consomment et régulent les populations de petits mammifères (campagnols, souris,…) et d'insectes, évitant leur pullulation.
Comportement et caractère du serpent domestique
Au contraire, le serpent se caractérise davantage par son calme et son oisiveté. Il appréciera cependant caresses et câlins s'ils sont prodigués avec soin et délicatesses. Il ne mord que très rarement, notamment lorsqu'il se sent en danger.
C'est le Serpent qui m'a trompée, répondit la femme, et j'en ai mangé. 14 Alors l'Eternel Dieu dit au Serpent : Puisque tu as fait cela, te voilà maudit parmi tout le bétail et les animaux sauvages, tu te traîneras sur le ventre et tu mangeras de la poussière tout au long de ta vie.
1. Ancien Testament. Dans le livre de la Genèse au chapitre 3, il est dit que le serpent est l'animal le plus rusé qui ait été conçu par Dieu. Ce livre biblique dit qu'il trompa Ève qui est la première femme conçue par Dieu et la poussa à manger le fruit interdit malgré que Dieu lui dit de consommer ces fruits.
Le jardin d'Éden, réputé proche des sources du Tigre et de l'Euphrate, devrait se situer selon des narrateurs originels établis dans la terre de Canaan (selon la tradition juive, Adam et Ève sont enterrés dans la caverne de Makhpela, à Hébron) dans les monts Taurus, en Anatolie.
Selon la tradition chrétienne, Marie est montée au ciel sous une forme corporelle. Mais bien que les catholiques croient que la Vierge n'a jamais été morte, les chrétiens d'Orient affirment qu'elle a vraiment été morte, enterrée et n'est montée au ciel qu'après sa résurrection le troisième jour - comme son fils, Jésus.
Sources bibliques
La conception virginale du Christ par Marie s'appuie sur divers passages de l'Ancien et du Nouveau Testament : Mt 1, 18+ : « or avant qu'ils aient mené une vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l'Esprit Saint »
Elle affirme (dès le VIe siècle) que Marie est « toujours » vierge, c'est-à-dire que sa virginité n'est pas abolie par sa maternité. Le concile Vatican II reprend, cela quand il affirme que la naissance de son Fils n'a pas altéré, mais consacré son « intégrité virginale » (LG 57).