L'ADN dupliqué sera par la suite divisé entre les deux cellules filles lors de la division cellulaire (mitose et méiose). Cela permet de maintenir l'information génétique et de produire deux cellules filles avec un matériel génétique identique.
Pour que le nombre de chromosomes et donc la quantité d'ADN soient préservés au cours de la division cellulaire, l'ADN est doublé avant la division cellulaire : c'est la réplication de l'ADN. La réplication de l'ADN se produit en phase S du cycle cellulaire.
L'ADN peut se répliquer, grâce à une ADN polymérase et grâce à l'ouverture du double brin. Chaque brin de la molécule « mère » sert de matrice pour la synthèse d'un nouveau brin.
Un organisme possède généralement le même patrimoine génétique au sein des noyaux de ses cellules. Ceci est permis grâce à la réplication de l'ADN. Réalisé avant chaque mitose, ce mécanisme de duplication permet d'obtenir deux clones.
L'ADN se réplique lors de la phase S du cycle cellulaire et passe ainsi d'un chromosome à 1 chromatide à un chromosome à 2 chromatides.
Les duplications de séquences génomiques représentent un mécanisme d'innovation moléculaire majeur en permettant la création de nouveaux gènes au cours de l'évolution [1, 2]. Une trentaine de gènes ont été dupliqués uniquement chez l'homme [3, 4], dont SRGAP2 (Slit-Robo-GTPase activating protein 2).
Au moment d'une division cellulaire (aussi bien mitose que méiose ), après s'être dupliquée, chaque molécule d'' ADN se condense et devient visible au microscope sous la forme d'un chromosome.
But: isoler des fragments d'ADN de génomes complexes et les recombiner dans des génomes plus petits et faciles à manipuler et à analyser.
L'être humain hérite de la moitié de l'ADN de sa mère et de la moitié de l'ADN de son père. Pour chacune de ses paires de chromosomes, l'un vient de sa génitrice, l'autre de son géniteur. Il n'en passera lui-même qu'un à la génération suivante, mais avant, ces deux chromosomes vont se mélanger, au hasard, par tranches.
L'ADN, formant une double hélice rigide, ne peut se replier pour jouer un rôle de catalyseur. Les protéines impliquées dans le métabolisme (les enzymes) possèdent la propriété de catalyseurs, mais sont incapables de stocker l'information requise pour leur propre synthèse, c'est-à-dire leur autoréplication.
La complémentarité des deux brins d'ADN réside dans l'appariement spécifique des bases : l'adénine d'une chaîne ne peut se lier qu'avec la thymine de l'autre, la cytosine qu'avec la guanine.
La molécule d'ADN est une longue double hélice spiralée qui ressemble à un escalier en colimaçon. Dans ce document, deux brins, composés de molécules de sucre (désoxyribose) et de phosphate, sont reliés par des paires de quatre molécules appelées bases, qui forment les marches de l'escalier.
La mitose permet à une cellule de transmettre la totalité de son information génétique, c'est-à-dire son ADN, à ses deux cellules filles. Ce partage suppose qu'avant de se diviser, la cellule double sa quantité d'ADN. Cette duplication a lieu au cours de la phase S (synthèse) de l'interphase.
Chaque individu est génétiquement unique. Ses gènes sont répartis le long de chromosomes contenus dans le noyau. Des mutations peuvent conduire à l'apparition de différentes versions des gènes : les allèles. Un individu diploïde possède deux copies de chaque gène, qui peuvent être des allèles identiques ou différents.
Pourquoi ? Tout simplement parce que les mutations génétiques issues du père influenceraient davantage l'ADN de l'enfant. Ainsi, non seulement le bébé aura plus de chance de ressembler à son papa, mais il aura aussi un risque plus important de développer des maladies apportées par une mutation génétique paternelle !
ADN, chromosomes et gènes : le plan de notre organisme
Le corps humain est constitué de milliards de ”cellules” comportant chacune un noyau. Ce noyau renferme toute notre information génétique. Celle-ci est contenue dans nos chromosomes qui contiennent eux-mêmes notre ADN.
L'enfant naît avec un tempérament en grande partie d'origine héréditaire. Mais ce tempérament peut changer suivant son milieu de vie et la façon dont il est élevé. Les expériences après l'adoption ont une influence importante sur l'évolution du tempérament et la formation du caractère d'un enfant.
La raison principale est la conviction que la production volontaire d'êtres humains génétiquement identiques porterait atteinte à la dignité et à l'intégrité des êtres humains, perçus à la fois comme individus et comme membres de l'espèce humaine.
La technique du clonage reproductif reste aléatoire. Son taux de réussite est très faible : quelques naissances pour une centaine d'ovocytes reconstitués. De plus, les clones présentent souvent des dérèglements du développement et la mortalité post-natale est très forte.
Il est possible qu'on ne puisse jamais cloner un être humain, a-t-il ajouté. Il ressort en effet du clonage des animaux qu'il est très difficile d'arriver à un clone en bonne santé. Parmi les animaux qui naissent de cette façon, beaucoup sont malades et meurent prématurément.
L'ADN qui forme les chromosomes et qui contient l'information génétique ne peut pas sortir du noyau ; à la place, elle est recopiée sur une autre molécule, l'ARN. Les copies d'information génétiques formées d'ARN peuvent sortir du noyau via des petits trous dans l'enveloppe nucléaire, les pores nucléaires.
L'ADN sert donc de vecteur à la transmission de l'information génétique. Cette information ne peut cependant pas être lue directement par la cellule. Il faut que l'ADN subisse une transcription et une traduction pour que la cellule puisse, entre autres, produire des protéines.
Quel est le rôle de l'ADN dans les chromosomes? L'ADN est le «code chimique» servant à la fabrication des protéines dans nos cellules (ainsi que dans toutes les cellules animales ou végétales). L'ADN représente toute l'information nécessaire à la fabrication d'un organisme vivant.
Ainsi, la réplication représente un processus concret qui consiste à dupliquer entièrement l'ADN d'une cellule. La duplication est un terme utilisé pour décrire ce qui se passe lors de la réplication.
La duplication est une mutation génétique caractérisée par le doublement du matériel génétique sur un chromosome. Il existe plusieurs mécanismes qui résultent à la duplication soit d'une large portion chromosomique, soit d'un gène ou bien d'une suite nucléotidique.