La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air. Quelle doit être la valeur de la portance pour que l'avion vole ?
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
Ainsi, la pression au-dessus de l'aile est inférieure à la pression en dessous de l'aile ou de la pale. Cette différence de pression crée une force verticale dirigée vers le haut qui compense le poids et c'est ce qui permet à un avion ou à un hélicoptère de se maintenir en l'air.
Bien sûr qu'un avion de ligne peut rester immobile à basse altitude. Il lui suffit de freiner. Même à très basse altitude, c'est plus facile, ainsi quand il arrête de bouger il brûle moins. AFR447 est immobile à très très basse altitude, sous le niveau de la mer.
Le poids est une force qui attire l'avion vers le bas, c'est-à-dire vers la Terre. Pour qu'un avion vole, il faut qu'une deuxième force le tire vers le haut et s'oppose ainsi à son poids. Cette force s'appelle la portance.
Poussée + Portance > Poids + Traînée
De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol. Les avions montent généralement jusqu'à ce qu'ils atteignent l'altitude et la vitesse.
Cette lenteur est due au coût du kérosène. Conformément aux lois de la physique, une augmentation de la traînée équivaut au carré de l'augmentation de la vitesse, si bien qu'un avion qui accélère un peu plus requiert un important supplément de carburant.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
Donc un avion peut tomber en panne en plein vol mais, ceci dit, il se fait que c'est le décollage et l'atterrissage qui sont les plus dangereux pour l'avion.
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
En aviation, le calcul de l'itinéraire prend en compte plus de variables. C'est pour cela que les avions ne volent pas en ligne droite.
L'atterrissage d'un avion se fait face au vent pour atterrir sur une distance plus courte. L'utilisation des pleins volets (et si installés les becs) permet de réduire la vitesse d'approche. La distance d'atterrissage augmente avec l'altitude et la température.
Le Starfighter. Cet appareil sophistiqué pour l'époque va vite se voir attribuer des surnoms aussi peu flatteurs que " cercueil volant" ou "faiseur de veuves".
Le record du plus long vol commercial au monde est détenu depuis le 15 mai 2020 par la compagnie aérienne française French Bee reliant Papeete à Paris sans escale à San Francisco, sur 16 129 kilomètres, en 16 heures et 45 minutes en Airbus A350-900.
Singapour-New York en 18 heures 40
Le vol SQ24 de Singapore Airlines, qui relie la cité-État à l'aéroport international John F. Kennedy, à New York, est à ce jour le plus long vol commercial au monde. C'est à bord d'un Airbus A350-900 que les passagers effectuent ce trajet de plus de 15.000 kilomètres.
1 & 2- New York – Singapour, le plus long
Opérés par Singapore Airlines en Airbus A350 (18 000 km de rayon maxi), ces deux vols de 15 330 km durent exactement 18 heures et 40 minutes.
Certes, un pilote de ligne gagne bien sa vie. Le salaire d'entrée est entre 2 000 et 3 000 euros net par mois et un commandant de bord peut toucher jusqu'à 10 000 euros net sur des vols long-courriers. Mais le métier de pilote implique d'importantes concessions qui peuvent expliquer de telles conditions salariales.
Le salaire d'un pilote de ligne se situe en moyenne à plus de 100 000 euros de rémunération annuelle, soit plus de 8 000 euros brut mensuel.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Cela dépend de l'avion. Sur un petit avion monomoteur de tourisme comme un DR400, la vitesse d'atterrissage en finale (sans vent) est d'environ 120km/h et le toucher des roues se fait à 100–110 km/h. En revanche, sur un avion de ligne comme un A320 par exemple, l'approche se fait autour de 250km/h.
Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses de croisière maximales d'environ 900 à 950 kilomètres par heure (environ 560 à 590 miles par heure). Par exemple, le Boeing 747 à une vitesse de croisière maximale d'environ Mach 0,85 à Mach 0,89, ce qui équivaut à cette plage de vitesses.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Si les pilotes entament l'atterrissage et qu'il y a une rafale de vent qui dépasse cette valeur limite, alors l'appareil fait une remise de gaz, c'est simple, classique et obligatoire.