C'est du fait qu'il est mélangé et donc moins pur que la cocaïne base, que le crack est vendu dans la rue au tiers ou au quart du prix de la cocaïne (déjà elle-même coupée fortement), ce qui explique son succès dans les quartiers pauvres ou défavorisés.
Le crack est une drogue très addictive dont le principe actif, la cocaïne, a été mélangée à de l'ammoniaque ou à du bicarbonate de soude. Elle apparaît ensuite durcie, sous la forme de petits cailloux qui sont fumés ou inhalés à l'aide d'une pipe.
Par un procédé chimique, on en extrait une poudre blanche : la cocaïne au goût légèrement amer, appelée chlorydrate de cocaïne (dite aussi neige, blanche, coke, coco). En y ajoutant de l'ammoniaque ou du bicarbonate de soude et de l'eau, on obtient, après chauffage, une forme uniquement fumable de cocaïne.
Il est obtenu par une transformation du chlorhydrate de cocaïne avec du bicarbonate de soude et une opération de chauffage qui produit une cristallisation. Cependant certains dealers ajoutent de l'ammoniaque qui potentialise les effets du crack et en accroît la toxicité.
Le crack est de la cocaïne sous forme de cristaux que l'on peut fumer. Consommée de cette façon, la drogue atteint très rapidement le cerveau, ce qui provoque une euphorie plus grande que lorsque cette drogue est prisée (aspirée par le nez). L'euphorie engendrée par le crack dure de cinq à dix minutes environ.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
D'autre part, des usures au collet des dents peuvent découler de la consommation de cocaïne et particulièrement de crack soit par son application au contact des dents, soit par les brossages intempestifs très vigoureux décrits lors des situations de manque ou lors des hallucinations sensorielles de type fourmillement.
Les saignements de nez sont dus au mode de consommation de la cocaïne, le snif, qui abime la cloison nasale. La réccurence des consommations peut conduire à une destruction totale de celle ci.Il est donc effectivement préférable de vous en inquiéter.
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise?
La vie doit continuer. Il est primordial de vous recentrer sur vous-même et de vous extraire de la problématique de dépendance. Mentionnez-lui votre impuissance, votre frustration et toutes les émotions qui vous grugent de l'intérieur.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Après la place Stalingrad, la « colline du crack » porte de la Chapelle, les jardins d'Eole et la rue Riquet, le nouveau point de fixation des consommateurs est établi dans un espace planté d'arbres.
Dans la liste des drogues qui font maigrir, on retrouve : le cannabis, le CBD, la cocaïne, l'ecstasy ou encore la cigarette...
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
- Les amphétamines sont des psychostimulants et des anorexigènes (coupe l'appétit) puissants. Très toxiques et entraînant une forte dépendance psychique, ils se présentent généralement sous la forme de poudre à sniffer ou de comprimés à avaler.
Les consommations d'alcool, souvent importantes, et à ce titre représentant un apport calorique considérable. Il est à cet égard assez singulier d'entendre un patient qui boit plus d'une dizaine de bières par jour dire que c'est la méthadone qui le fait grossir ( ! ).
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
La méthamphétamine se présente sous forme de poudre qui peut être avalée, prisée (aspirée par le nez), fumée ou injectée. Elle peut également se présenter sous forme de cristaux, qui sont généralement fumés. La méthamphétamine en cristaux est souvent appelée « cristal meth » ou « Tina ».
La zone bucco-dentaire reflète en partie notre état de santé. Le délabrement de celle-ci est la conséquence d'une altération de l'état local de la bouche, impactée directement par le contact des produits toxiques, mais aussi d'un état général physique et psychologique dégradé.
Planter la seringue, le biseau de l'aiguille vers le haut, dans le sens de la circulation du sang. Faire une tirette (tirer légèrement le piston de la seringue) pour voir si vous êtes dans la veine. Desserrer le garrot AVANT d'injecter. Injecter doucement.
La désomorphine ou drogue "crocodile" : ce produit de synthèse qui abîme la peau. La drogue "crocodile" (ou "krokodil") est considérée comme "la drogue la plus dangereuse au monde" : elle réduit l'espérance de vie de ses consommateurs à trois ans.
Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.