Le d prononcé [t] suffit ! On retrouve aussi ce d de liaison à la fin de quelques adjectifs, et notamment grand, lorsqu'il précède une voyelle : un grand homme, son grand ami, au grand air ou dans les mots composés comme un grand-oncle.
CT en fin de mot : le T se prononce en général \t\ : affect, compact, contact, correct, direct, district, exact, impact, infect, sélect, strict, tract, verdict… mais le T est muet dans certains mots : aspect, circonspect, distinct, instinct, prospect, succinct, suspect…
Donc, pour résumer, si on utilise le mot “fait” au singulier, on va prononcer le T ; on va dire un “fait-e”. Si on utilise, on emploie le mot “fait” au pluriel, eh bien, on ne va pas prononcer le T, on va dire “des faits”.
En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Il s'agit de la contraction de l'adjectif possessif mon et du nom commun sieur, qui est lui-même une contraction de seigneur. Il est donc une forme simplifiée de monseigneur. Par l'usage, il ne se prononce plus comme il s'écrit. La prononciation moderne est /mǝ.
Étymologie. (Adverbe) Agglutination de la locution, autrefois pléonastique au jour d'hui où hui signifiait « en ce jour », comme le latin hodie dont il provient. Intégré dans la langue française approximativement au XVI e siècle. De nos jours, hui a disparu du français et le mot a perdu son caractère pléonastique.
En effet, leurs étymologies sont différentes. Ainsi, l'origine latine de fille est figlia. Alors que celle de ville est villa. Si les deux ont perdu leur consonance latine (le "a" final), le premier a naturellement évolué vers le "ille".
Parce que les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ent se terminent en -emment. L'adverbe formé à partir de l'adjectif apparent, qui s'écrit -ent, est donc « apparemment ». Les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ant se terminent en -amment.
Selon le Trésor de la langue française, l'ananas viendrait du tupi-guarani (langue amérindienne) naná, ananá signifiant «parfumé». Si l'on se fie donc à l'origine du nom du fruit, et plus précisément à sa finale, l'exacte prononciation du mot ananas est «anana».
Personne d'une grande valeur morale.
1951, § 87 et 260 : ,,But se prononce tantôt [by] (prononciation officielle), tantôt [byt]. On a surtout tendance à faire entendre le t quand le mot est final, [devant voyelle, notamment dans les locutions but à but et de but en blanc] ou marqué par l'emphase : voilà mon but [byt]; mais le but [by] principal.
Senior Member. En anglais le "t" se prononce. En français le "t'" est muet (Montréal = Mont Royal)....
« La consonne t peut aussi être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
2. La lettre « c » donne le son [s] avec les voyelles « a », « o » ou « u » si elle possède une cédille : ça, garçon, aperçut. 3. La lettre « t » donne parfois le son [s] quand elle est devant un « i » suivi d'une voyelle : récréation, attention, ambitieux, confidentiel...
"En français, presque tous les mots qui se terminent par le groupe de lettres ILLE se prononcent comme fille et famille", explique la très savante Banque de dépannage linguistique. Il n'y a que trois mots qui fassent exception à la règle : "ville, tranquille, mille [le nombre, dix fois cent], et leurs dérivés".>
Comme Praz qui se prononce Pra ». Ou Avoriaz, qui se prononce donc Avoria, en savoyard comme en français.
La prononciation correcte est [ ʃamoni ], où le x ne se prononce pas. C'est la prononciation locale, répandue dans une partie du Sud-Est de la France. C'est la même chose quand on dit le nom entier de la commune, Chamonix-Mont-Blanc : le x est muet.
"Aujourd'hui" : déjà un pléonasme
Un peu d'étymologie ! Dans "aujourd'hui", il y a hui, un petit mot d'ancien français qui signifie "ce jour". On le retrouve sous les formes hoy, en espagnol, et oggi, en italien. Par conséquent, "aujourd'hui" est déjà un pléonasme signifiant "au jour de ce jour".
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
Quelle est l'origine du mot aujourd'hui ? Le mot aujourd'hui est construit autour d'un mot d'ancien français, hui (ou hoi ). Ce mot, qui provient du mot latin hodie , signifiait « le jour où l'on est ».
Abréviation. Le titre de civilité madame s'abrège en Mme ou Mme. L'abréviation plurielle de mesdames est Mmes ou Mmes.
Monsieur fait au pluriel messieurs : bonjour messieurs ! Abréviations. Monsieur s'abrège en M. (et non en Mr, qui est l'abréviation de l'anglais mister) : M.
Faut-il écrire «M.» ou «Mr»? Encore courante dans les lettres françaises au XVIIIe siècle, l'abréviation «Mr» n'a désormais plus sa place dans nos usages. Elle est un diminutif du mot «mister» en anglais et ne doit, par conséquent, pas être confondu avec «M.», qui est l'actuel raccourci français du mot «monsieur».