Lorsque ces matières s'évaporent sous l'effet de la chaleur et deviennent ainsi gazeuses, elles ont besoin de beaucoup plus de place. C'est cela qui fait éclater le bois à la façon d'une explosion. Ces nombreuses mini-explosions entraînent un bruit de crépitement.
Des essences de bois contenant trop de gaz
Par contre, d'autres essences comme celles de résineux, produisent plus de gaz à la combustion que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Dès lors, l'excédent gazeux s'extirpe « en force » des fibres du bois créant ce crépitement ou ces craquements caractéristiques.
Les bois à éviter dans une cheminée
Dans une cheminée à foyer ouvert, mieux vaut éviter aussi certains bois qui ont tendance à produire beaucoup d'étincelles et « éclater » comme le châtaigner, le peuplier ou le platane.
La cause la plus fréquente de déclenchement d'un feu de cheminée est le défaut de ramonage. En l'absence de nettoyage et d'inspection des conduits, les dépôts de résidus et de suie peuvent s'accumuler en grande quantité.
Vous pouvez aussi avoir l'effet inverse : votre bois charbonne, brûle mal, couve, ne dégage pas de chaleur. Soit vous avez trop réduit les arrivées d'air, soit vous les avez réduit trop tôt, avant que le combustion soit assez avancée. (voir peut-être notre article "comment allumer son appareil de chauffage au bois").
Des résineux qui brûlent mal (à des températures pas assez élevées) encrassent les conduits et les vitres de vos poêles et cheminées. En effet, les résineux contiennent de la résine qui aura tendance à encrasser davantage que les feuillus qui n'en contiennent pas.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Effectivement, porte ouverte tu ressens plus le rayonnement du feu mais en même temps, tu laisses entrer trop d'air froid dans ton foyer ce qui va avoir pour effet de le refroidir et d'emmener plus de chaleur dans le conduit.
Tout feu de cheminée se caractérise par une odeur spécifique, un ronflement anormal dans le conduit (similaire au bruit fait par un essaim d'abeilles), la chute de débris de suie (comme s'il neigeait des flocons noirs ou incandescents), une fumée abondante, des étincelles voire des flammes au débouché supérieur du ...
fermez le clapet du conduit de cheminée ; répandez de la terre, du sable ou du sel dans l'âtre pour éviter que de la fumée se propage dans la maison ; utilisez un extincteur ou jetez un rouleau d'essuie-tout imbibé d'eau dans le foyer pour étouffer le feu.
Son poids : une bûche de bois sec est bien plus légère qu'un bois humide. Ses fissures : un bois sec présente généralement de larges fentes, en particulier à ses extrémités. Sa couleur : le soleil éclaircit la couleur de la bûche et jaunit le bois au moment du séchage.
Le bois de chêne produit des braises qui durent longtemps, mais il demande un gros apport de température pour éviter la production d'acide tannique qui pourrait noyer le bois. Le bouleau est un bon bois : il se distingue par une belle flamme bleue mais brûle plus vite que le bois de hêtre.
Un bois trop humide
Au-delà, une partie de l'énergie thermique sera utilisée pour évaporer l'eau que contient le bois, sans produire de chaleur. Un bois complètement humide ne « brûlera » donc pas réellement. Il se consumera et se transformera en une sorte de charbon, sans vous fournir beaucoup de chaleur.
C'est normal et correspond à la dilatation de l'acier. C'est tout à fait normal, ensuite lorsqu'il atteint une bonne t° il craque moins. Rien d'inquiétant et surtout pas de stress sur le fonctionnement du poele, d'ailleurs il doit bien chauffer malgrès ces craquements.
Pour avoir une explosion dans un poêle, il faut que les gaz combustibles s'y accumulent, puis brutalement s'enflamment par apport d'oxygène et/ou augmentation de leur température.
La porte n'est plus étanche : si votre poêle à bois fume porte fermée, il est probable que le joint soit usé ou abîmé. Dans ce cas, elle n'est plus étanche. Le bois est trop humide : un bois humide dégage plus de fumée qu'un bois sec de meilleure qualité.
La formation du Bistre est favorisée lors du refroidissement du conduit de fumée. Ce refroidissement apparaît lorsque l'on utilise un combustible humide (l'humidité ralentissant la combustion). Le Bistre est le résultat d'une condensation lente dans les chaudières dites à basses températures.
Pour expliquer plus clairement cette technique, si vous soufflez sur de la braise, le gaz chaud se déplace et les poussières qui constituent la flamme sont écartées de la zone qui brûle. Aucune réaction ne doit se passer, il n'y a plus de combustible, l'incendie est éteint.
Placez 1 ou 2 couches de grosses bûches dans le foyer, parallèlement les unes aux autres. Superposez des bûches moyennes, puis plus petites. Terminez par du petit bois, disposé en quinconce. Déposez sur ce tas de bois un allume-feu (de préférence écologique) ou une boule de papier essuie-tout imbibé d'huile de colza.
Une fois que vous avez chargé votre poêle ou cheminée avec du bois de chauffage classique ou du bois densifié, et que ça brûle bien, il vous suffit de recouvrir vos bûches de cendres. La cendre permettra au bois de se consumer lentement et il vous restera de la braise le lendemain matin.
La durée de vie moyenne d'un insert de cheminée est d'environ 10 ans. Il est possible qu'une durée de vie différente soit indiquée par le fabricant. En général, on change ce dernier lorsque le bois brûle trop rapidement, que le rendement baisse ou encore que l'on observe des problèmes d'étanchéité.
Il s'agit d'une structure métallique que l'on vient encastrer dans le foyer ouvert, pour le transformer en foyer fermé. Votre cheminée chauffe alors nettement mieux votre pièce : le rayonnement de la cheminée est supérieur et optimisé afin d'irradier dans toute la pièce.
En brûlant, ils dégagent des fumées toxiques et des cancérogènes dangereux ; Les bois flottés : même sec, il ne devra pas être brûlé dans votre cheminée. En libérant le sel qu'il contient, il peut corroder votre foyer et votre cheminée.
Le bois qui fournit le plus de calories au stère est (du plus calorifère au moins calorifère) : le charme, le chêne, le hêtre, les feuillus durs, les feuillus tendres et les conifères.
Laurier : Il donne une flamme très vive et a un rendement calorifique raisonnable. Il doit être bien séché.