Étymologie. Mot hébreu יהוה de quatre consonnes (le tétragramme divin) signifiant « l'existant, qui fait devenir », de הוה Hawah, « devenir ». Hawah étant à l'imparfait de la forme causative.
La translittération en « Jéhovah » date de la fin du XIII e siècle : elle est due au disputateur catalan Raimond Martin, dans son ouvrage Pugio Fidei, « certains chrétiens qui lisaient la Bible dans sa version originale ont lu YHWH en lui appliquant la vocalisation du terme Adonaï, c'est-à-dire en intercalant ses trois ...
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
Dans l'évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu'il lui a donné.
Mot hébreu יהוה de quatre consonnes (le tétragramme divin) signifiant « l'existant, qui fait devenir », de הוה Hawah, « devenir ». Hawah étant à l'imparfait de la forme causative.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».
La dénomination de Dieu dans le judaïsme se fait par le nom de quatre lettres, YHWH, qui le désigne le plus souvent dans la Torah, mais aussi par de nombreuses métonymies qualifiant les attributs et qualités divines, car le Tétragramme est réputé ineffable en raison du Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le ...
Le culte est donc consacré à Dieu seul. Quant aux saints et saintes reconnus comme tels par leur exemplarité de vie, ils ne bénéficient pas d'un culte au sens de celui qui est rendu à Dieu. La Vierge Marie et les saints sont invoqués, mais pas adorés, au sens biblique du terme.
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
Cette religion n'ayant pas de clergé, n'importe quel adepte peut officier aux funérailles. L'enterrement se fera ensuite dans un cimetière ordinaire. Il est à noter que les soins funéraires et la crémation sont autorisés.
Au cours d'un entretien téléphonique avec la DGDIR, un représentant du siège de Watch Tower and Bible Tract Society à Patterson, New York, a expliqué qu'il n'existe pas de code vestimentaire comme tel au sein de la communauté des témoins de Jéhovah (17 juin 1997).
Les Témoins de Jéhovah doivent refuser toute transfusion sanguine pour obéir à un commandement divin, tel que leur en donne leur compréhension de la Bible.
- La puissance économique, insoupçonnée, des Témoins de Jéhovah. Présents dans pratiquement tous les départements de l'hexagone, les jéhovistes détiennent, en effet, à eux seuls, le tiers du patrimoine immobilier du mouvement sectaire: 345 millions de francs.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non.
La première religion connue en France est la religion gauloise. Dès la fin du II e siècle av. J. -C. , l'Empire romain qui a sa propre religion conquit la Gaule narbonnaise puis le reste de la Gaule de 57 à 50 av.
a) Personne qui pratiquait une des religions polythéistes de l'Antiquité. Avec leur ribambelle de dieux, les païens n'étaient pas si bêtes: ils avaient tout de même réussi à donner au pauvre monde l'illusion d'une grossière entente avec l'invisible (Bernanos,Journal curé camp., 1936, p. 1045).
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
Pour l'Église orthodoxe, en effet, Marie a été enfantée dans le péché originel comme tout être humain, et, si elle est « immaculée », c'est par son adhésion à la volonté de Dieu, par sa pureté intérieure et par le fait qu'elle n'a jamais péché.