Et si plantes et animaux portent ainsi des noms latins, c'est qu'autrefois, le latin était la langue parlée par toutes les personnes cultivées, dont les scientifiques, quel que soit leur pays d'origine. Ces noms latins correspondent donc à des noms scientifiques.
Étymologie. (Adjectif) Du grec ancien βοτανικός , botanikós (« d'herbe »). (Nom) Du grec ancien βοτανική , botanikê (« [science] des herbes »).
Le nom de l'espèce est écrit en latin, épithète associé juste après le nom du genre. Il est écrit en minuscule, sans accent, en italique et caractère gras également, parfois précédé de l'abréviation d'espèce « sp ».
Le nom binominal est écrit en italique, le nom du genre est écrit avec une majuscule et l'épithète avec une minuscule. Les taxons de rang inférieur à l'espèce reçoivent des noms trinominaux, traditionnellement écrits en italique comme les noms d'espèces.
Ce nom est en deux mots : le nom générique (genre) avec une première lettre en majuscule, Homo par exemple, et un nom spécifique (espèce) toujours en minuscule, qui est sapiens pour l'espèce humaine actuelle. En biologie et zoologie, on appelle donc ça la nomenclature binomiale*.
Apprendre la botanique est le moyen le plus efficace et le plus sûr de connaître les plantes, de pouvoir les utiliser en toute sécurité et d'en faire les alliées de notre santé.
Achillée, Amaranthe "crête de coq", Amaryllis, Anémone, Anémone du Japon, Arum, Asclépia, Astilbe, Astrantia, Cœur de Marie, Clématite, Craspédia, Crocosmia, Dahlia, Dille, Eucalyptus, Freesia, Fritillaire Pintade, Glaïeul, Gui, Hortensia, Jacinthe, Jasmin, Lavande, Lilas, Lisianthus, Muflier, Muscari, Myosotis, ...
Et si plantes et animaux portent ainsi des noms latins, c'est qu'autrefois, le latin était la langue parlée par toutes les personnes cultivées, dont les scientifiques, quel que soit leur pays d'origine. Ces noms latins correspondent donc à des noms scientifiques.
Ils sont, en effet, distincts de ces derniers : du nom binominal qui est un nom scientifique "réputé latin", unique dans tout le monde scientifique, du nom normalisé (ou nom technique) choisi par des instances de normalisation et unique pour chaque langue (quand il existe) et du nom vulgaire, permettant notamment la ...
Le premier "père de la botanique" est certainement Théophraste (370-285 avant J. -C.), un philosophe grec qui a commencé à classer les plantes en 4 groupes: herbes, sous-arbrisseaux, arbrisseaux et arbres. Dioscoride (1 siècle après J.
Théophraste, disciple d'Aristote et considéré comme le père de la botanique, nous a légué deux œuvres importantes qui sont habituellement citées comme l'origine de cette science : De historia plantarum (Histoire des plantes) et De causis plantarum (Causes des plantes).
Ce sont les plantes spontanées dites "sauvages" ou "de cueillette", et les plantes cultivées (Chabrier, 2010).
Ce professionnel de terrain et de laboratoire, spécialiste de la biologie végétale, étudie la cartographie botanique d'un lieu, la croissance et la reproduction des plantes.
La phytothérapie, c'est l'emploi de plantes ou de médicaments à base de plantes (poudres, préparations en ampoules, infusions…) pour soigner naturellement les différents maux du corps humain.
Le salaire moyen d'un botaniste se situe entre 2 800 et 4 500 euros bruts par mois, soit entre 2 100 et 3 500 euros nets). Avec les années d'expérience, le salaire monte rapidement et peut aller jusqu'à 6 000 euros bruts par mois (environ 4 500 euros nets).
Pour devenir botaniste, une formation de niveau Bac+5 minimum est nécessaire type Master écologie ou ingénieur agronome avec spécialité en biologie végétale, biodiversité, gestion des espaces naturels, de la flore.
La botanique comprend donc ainsi non seulement la science visant à la description, au classement et à l'identification d'espèces végétales, mais aussi la partie relative à l'anatomie et à la physiologie végétale et dénommée alors « physique végétale ».
Antoine Laurent de Lavoisier (1743-1794), qui a joué un rôle de premier plan dans la chimie moderne, est sans doute le savant qui a contribué le plus efficacement à fonder la nomenclature chimique.
L'âne et l'ânesse n'appartiennent pas à l'espèce du cheval et de la jument car, même s'ils se ressemblent (ils ont des caractères communs), s'ils se reproduisent entre eux, ils ont des descendants stériles (incapable de se reproduire). A la mort des individus il n'y aura pas de descendant, les organismes disparaîtront.
La super-classe des Poissons (les Pisces) de la classification classique n'est reconnue que par certains systématiciens évolutionnistes.