Pour conclure, Albert Camus choisi l'adjectif «
Le titre “L'étranger” renvoie à trois interprétations : le personnage principal Meursault est un étranger, puisque par son indifférence il est différent des autres hommes, tout lui est égal. Meursault est étrange pour le lecteur, très déroutant, puisqu'il est parfois difficile de suivre sa logique.
"L'Étranger" raconte la méchanceté du quotidien, l'ambivalence du soleil, la tendre indifférence du monde et la folie des hommes, sacrifiant sur l'étal de leurs certitudes celui qui, parce qu'il ne sait pas mentir ni pleurer, ne leur ressemble pas.
1L'étranger, dans le roman de Camus, ce n'est pas « l'Arabe », celui par le meurtre duquel tout bascule, même s'il est différent et inconnu du narrateur. C'est Meursault lui-même, de manière bien plus radicale : étranger à lui-même, au monde et à ses règles, au lecteur.
C'est Meursault qui parle, le narrateur de L'étranger. Meursault signifie mère/mort et soleil pour Camus. Le lendemain de l'enterrement de sa mère, Meursault rencontre Marie.
j'ai tiré encore quatre fois. Meursault, plutôt que de subir le destin, décide ici de le prendre en charge. Plutôt que d'être victime de l'absurde, il décide d'assumer son geste en le réitérant, ostensiblement, quatre fois. Ces quatre coups supplémentaires sont un acte d'affirmation de soi.
Qu'est-ce que l'absurde selon Camus ? Lorsque Camus parle de l'absurde, il fait référence à l'absurdité de la condition humaine. Selon Camus, l'homme cherche toujours un sens au monde, un sens à son existence sur terre, un sens à ses actions. Or le monde dans lequel nous vivons n'a pas de sens.
La question philosophique de fin
Peut-être pouvons-nous répondre qu'il faut développer l'empathie des hommes et rendre les lois les plus justes possibles, dans un combat quotidien vers l'altruisme et la vie en société.
Les scénaristes de la série savent très bien ce qu'ils font et ils nous indiquent clairement que L'Etranger est Gandalf !
Thèmes. L'absurdité : Ce roman fait partie du « cycle de l'absurde ». Meursault se sent étranger du monde, étranger de sa propre vie.
Son écriture est sobre et relativement classique. Mais le livre s'inscrit dans le contexte de la guerre et véhicule un sentiment de l'absurde. L'absence de sens de l'existence est également à l'œuvre dans Le Mythe de Sisyphe, un ouvrages de Camus publié en même temps que L'Etranger.
Les jeunes souhaitent partir à l'étranger
Les causes de cette décision seraient leur souhait d'aventures (46% de leurs réponses) et leur recherche de meilleures opportunités de carrières (40.4%). Par rapport aux résultats observés il y a deux ans, 51% des jeunes de 18 à 24 ans auraient davantage envie de s'expatrier.
Selon la formule sartrienne, la lecture de l'Étranger est la communion brusque de deux hommes, l'auteur et le lecteur, ayant entre eux l'absurde. l'absurde au lecteur, en mettant en contraposition l'appel du sens et de la clarté face à l'étrangeté et l'opacité du personnage.
Meursault prend ici conscience de sa propre vie en la confrontant avec sa propre mort. Il réalise que, si lui s'est toujours senti étranger au monde, c'est que le monde est tout aussi étranger. Ainsi, Meursault est pareil au monde. Une fois l'absurde acceptée, le bonheur est désormais possible.
A : Le Titre
Plusieurs titres : au départ, Meursault, puis La pudeur, Un Homme Libre, Un homme heureux, un Homme pas comme les autres.
Parce qu'il a dit les choses comme il les avait vues, sans les sentir, parce qu'il s'est resté fidèle et a refusé de mentir, parce qu'il s'est abstenu volontairement d'ennoblir ses sentiments, Meursault est condamné à mort.
L'acteur jouant l'Étranger ne dit pas qu'il est Gandalf
Mais Daniel Weyman, qui joue l'Étranger, ne confirme pas qu'il est Gandalf. Il affirme ne pas savoir non plus le vrai nom de son personnage.
C'est LA grosse révélation de l'épisode final de la première saison des Anneaux de pouvoir : Sauron n'est autre qu'Halbrand, qui se présentait jusqu'alors comme le roi des Terres du sud.
l'œuvre de J. R. R. Tolkien. Celeborn est un personnage du légendaire de l'auteur britannique J. R. R. Tolkien apparaissant dans Le Seigneur des anneaux. C'est un Elfe, époux de Galadriel, et seigneur de la Lothlórien au Troisième Âge.
Opposés par leur logique : Marie est un personnage cohérent, exprime son désir de se marier, une remarque, ce prénom MARIE est l'anagramme du verbe AIMER. Cohérente dans sa logique elle aime Meursault et veut l'épouser. Or Meursault accepte de l'épouser mais il ne l'aime pas.
Le roman d'une épidémie à Oran devient clairement une allégorie de la résistance au nazisme, “la peste brune”. Camus y énumère les réactions d'une collectivité face à un fléau : l'héroïsme du quotidien, la réinvention de l'amour, les profiteurs du marché noir , le désespoir, la lutte.
Pour moi, Camus n'est pas à mettre dans l'existentialisme. L'existentialisme, c'est, schématiquement, l'idée que l'on n'existe que par ses actes. L'absurde, c'est le sentiment, l'intime conviction que la vie n'a pas de sens. L'existentialisme, lui, cherche bien un sens à la vie...
C'est dans la mort que Meursault trouve la libération si attendue «je me sentais prêt à tout revivre ». On peut «jouer à recommencer». Si Meursault refusait de pleurer sur sa mère, c'est pour ne pas nier le bonheur de ses derniers instants.
Le récit prend place dans une Algérie divisée, colonie française depuis le xixe siècle. Les Français détiennent le pouvoir économique et culturel. Dans le récit, seuls les Européens sont nommés. La volonté de sensibiliser de manière subtile le lecteur au climat qui règne alors est donc bien présente.
Et cette fois, sans se soulever, l'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front.