Dites-lui quelque chose comme : « J'ai l'impression que tu as des problèmes de compréhension » « Ce n'est pas ce que je dis », Choisissez un mode de communication non-violente pour lui prouver et prouver aux autres qu'il ne répond pas à ce que vous dites mais ne cherche qu'à vous discréditer.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
La vengeance la plus réussie envers un pervers narcissique c'est quand celui-ci se rend compte que l'on est (vraiment) détaché émotionnellement de lui. (Ce genre de personne ne supporte pas l'indifférence, tout sauf ne plus exister aux yeux des autres..)
Procédez à cela en répondant avec des phrases toutes faites. Par exemple : « Personne n'est parfait », « Tu as le droit de croire en ton avis », « Pourquoi tu me viens me dire cela ? ». Ce que déteste un manipulateur, c'est aussi le fait de répéter en boucle les mêmes phrases.
Les grands manipulateurs choisissent leurs victimes en fonction de leur degré de vulnérabilité. Ils ont pour ambition de sauver leurs proies, et ils considèrent être les seuls à pouvoir le faire. Dans cette logique, le pervers narcissique déteste tout ce qui vous apporte du bonheur en dehors de lui.
Ce que déteste le plus un manipulateur pervers, c'est de perdre son pouvoir, c'est le sentiment d'impuissance. Lui qui passe toute son énergie à prendre le dessus sur vous, à vous dominer, à vous écraser, il ne supporte pas que « cela glisse » sur vous sans vous atteindre.
Pour un narcissique, la rupture est une menace
Il va chercher à vous faire culpabiliser : il va prendre le rôle de la victime et jouer avec vos émotions. Il va utiliser vos vulnérabilités et vos insécurités contre vous (après tout, il sait tout de vous).
Pourquoi le PN aime le conflit
Le PN aime le conflit, car il correspond à son besoin de s'alimenter des autres, au travers du gain de pouvoir sur autrui que lui procure l'agression. Cet aspect rend donc la confrontation et l'agressivité incontournable dans son mode de relation à l'autre.
Face aux phrases ou comportements manipulatoires, faites le silence ! Retenez ce que vous alliez dire ou faire. Cela laisse le temps à l'impact émotionnel de s'atténuer. Il se peut alors que le manipulateur soit déstabilisé par votre silence et arrête sa manipulation.
Quand un manipulateur se rend compte que la victime prend conscience, commence à se révolter ou menace de le quitter, il est dans la phase "rendors-toi", c'est-à-dire qu'il redevient gentil et adorable par calcul.
Par crainte de représailles et sous emprise, la victime s'exécute en pensant qu'elle échappe au pire. Mais en réalité, elle est déjà embourbée dans une relation toxique. L'omniprésence : le manipulateur s'évertue à maintenir un contact permanent avec sa victime, par peur qu'elle ne lui échappe.
Tant qu'il peut contrôler la relation et obtenir l'exclusivité et la soumission de la part de sa victime, il est rarement violent. Il le devient lorsqu'il sent que l'autre s'éloigne, qu'il perd le contrôle. Il peut alors devenir extrêmement destructeur.
Un pervers installe son emprise autant par la séduction que par la victimisation, ce qui l'attire vers les personnes sensibles, humaines et empathiques. Car il cherche à émouvoir sa victime en se faisant passer pour un être en détresse.
Pour se venger d'un manipulateur, il faut réussir à l'attaquer là où ça fait mal. Gardez donc une chose à l'esprit : pour se sentir vivant, le pervers narcissique a besoin de réussir à vous faire croire que vous n'êtes rien sans lui.
Le versant pathologique
La jalousie d'un pervers narcissique est celle des jaloux maladifs. Elle les pousse à fouiller les affaires de leurs victimes et à inquisiter sans cesse dans leurs fréquentations et dans leur vie. Ils leur font vivre en cela un véritable enfer.
Généralement, les proies des PN sont des personnes altruistes, généreuses, empathiques, ayant une propension à la culpabilité. Ce sont également des personnes qui possèdent des valeurs, un idéal fort. Tout ce donc le PN a besoin pour phagocyter sa proie.
Les grands manipulateurs choisissent leurs victimes en fonction de leur degré de vulnérabilité. Ils ont pour ambition de sauver leurs proies, et ils considèrent être les seuls à pouvoir le faire. Dans cette logique, le pervers narcissique déteste tout ce qui vous apporte du bonheur en dehors de lui.
Quand le manipulateur part définitivement, c'est, le plus souvent, lorsque sa proie n'est plus suffisamment docile et qu'elle ne devient plus manipulable. Cela se produit quand elle sort de l'emprise et commence à ouvrir les yeux sur la vraie nature de ce compagnon.
Le narcissique démasqué va donc, dans un premier temps, multiplier les contacts pour se retrouver un aéropage d'admirateurs et se sentir exister à nouveau. Il continuera de jouer les victimes, de manière à susciter un maximum d'empathie et trouver ainsi de nouveaux appuis pour préparer une vengeance.
Ils sapent votre foi en votre compréhension de la réalité.
Les manipulateurs émotionnels sont des menteurs incroyablement habiles. Ils insistent sur le fait qu'un incident ne s'est pas produit quand il s'est produit, et ils insistent sur le fait qu'ils l'ont fait ou ont dit quelque chose quand ils ne l'ont pas fait.
Ce que déteste le plus un manipulateur pervers, c'est de perdre son pouvoir, c'est le sentiment d'impuissance. Lui qui passe toute son énergie à prendre le dessus sur vous, à vous dominer, à vous écraser, il ne supporte pas que « cela glisse » sur vous sans vous atteindre.
Le versant pathologique
La jalousie d'un pervers narcissique est celle des jaloux maladifs. Elle les pousse à fouiller les affaires de leurs victimes et à inquisiter sans cesse dans leurs fréquentations et dans leur vie. Ils leur font vivre en cela un véritable enfer.