La possibilité de collisions s'oppose à la bijection impérativement nécessaire à déterminer une fonction réciproque. Le but du hachage n'est donc pas de crypter des données mais de donner une « empreinte » à une donnée.
Les fonctions de hachage permettent d'assurer l'intégrité des données. Les signatures numériques, en plus d'assurer l'intégrité, permettent de vérifier l'origine de l'information et son authenticité. Enfin, le chiffrement, parfois improprement appelé cryptage, permet de garantir la confidentialité d'un message.
Le chiffrement symétrique permet de chiffrer et de déchiffrer un contenu avec la même clé, appelée alors la « clé secrète ». Le chiffrement symétrique est particulièrement rapide mais nécessite que l'émetteur et le destinataire se mettent d'accord sur une clé secrète commune ou se la transmettent par un autre canal.
On utilise fréquemment les fonctions de hachage dans des structures de données : les tables de hachage. Le principe est d'utiliser les empreintes des clés comme indices des éléments de la table. Ces empreintes sont des nombres entiers obtenus en hachant la clé des objets à stocker, souvent une chaîne de caractères.
Une fonction de hachage cryptographique est une fonction de hachage qui, à une donnée de taille arbitraire, associe une image de taille fixe, et dont une propriété essentielle est qu'elle est pratiquement impossible à inverser, c'est-à-dire que si l'image d'une donnée par la fonction se calcule très efficacement, le ...
En informatique, le chiffrement des données a pour objectif de garantir la confidentialité des données stockées sur des Systèmes Informatiques (SI) ou en transit. Les données sont chiffrées à l'aide d'un algorithme et d'un jeu de clefs de chiffrement.
Quel est le meilleur algorithme de hachage ? Google recommande d'utiliser des algorithmes de hachage plus puissants tels que SHA-256 et SHA-3. Comment fonctionne le hachage ? Un hash c'est une fonction mathématique permettant de hacher, c'est à dire de réduire un texte en une suite de caractères.
Le hachage de mot de passe est l'une des pratiques de sécurité les plus basiques qui doit être effectuée. Sans cela, chaque mot de passe stocké peut être volé si le support de stockage (typiquement une base de données) est compromis.
Les deux principales techniques de chiffrement sont le chiffrement symétrique et asymétrique. Ces noms font référence à la clé, qui peut être la même ou non pour le chiffrement et le déchiffrement : Clés de chiffrement symétrique : Également appelé chiffrement à clé privée.
Le cryptage des données a donc plusieurs intérêts pour l'entreprise. Il sécurise ses informations sensibles, même quand elles sont stockées hors de la structure. Il évite aussi les fuites de données sensibles en cas de perte ou de vol de matériel.
On distingue deux principaux types de chiffrement de données : le chiffrement asymétrique, et le chiffrement symétrique. Ces deux types diffèrent au niveau dans la façon dont les données sont déchiffrées.
Chiffrement AES
L'Advanced Encryption Standard (AES) est l'algorithme considéré comme la norme par le gouvernement américain et de nombreuses autres organisations. Bien qu'il soit extrêmement efficace sous forme de 128 bits, l'AES utilise également des clés de 192 et 256 bits pour le chiffrement à haut rendement.
En les hashant : Hasher les mots de passe représente la meilleure méthode puisque non-réversible, cette méthode permet de créer une empreinte de la chaîne fournie (le mot de passe) et de stocker cette empreinte en base, cette méthode est donc la plus recommandée à condition d'utiliser un algorithme de hashage robuste !
Ce type de fonction est très utilisé en cryptographie, principalement dans le but de réduire la taille des données à traiter par la fonction de cryptage. En effet, la caractéristique principale d'une fonction de hachage est de produire un haché des données, c'est-à-dire un condensé de ces données.
Les méthodes les plus connues sont le DES, le Triple DES et l'AES pour le chiffrement symétrique, et le RSA pour le chiffrement asymétrique, aussi appelé chiffrement à clé publique. L'utilisation d'un système symétrique ou asymétrique dépend des tâches à accomplir.
Des données sont chiffrées lorsqu'elles ont été codées à l'aide d'un algorithme. Elles deviennent alors illisibles. Seules les personnes qui disposent d'une clé de déchiffrement bien précise peuvent déchiffrer ces données et les lire sous leur forme d'origine.
Le terme de cryptage et ses dérivés viennent du grec ancien kryptós pour « caché » ou « secret ». A la différence du chiffrement, il n'est pas nécessaire de connaître la clé pour « casser » le secret. Déchiffrer un message consiste à le décoder avec une clé tandis que décrypter un message revient à décoder sans clé.
Son but principal est de permettre de retrouver une clé donnée très rapidement, en la cherchant à un emplacement de la table correspondant au résultat d'une fonction de hachage calculée en O(1).
La table de hachage est simplement une table de listes chaînées, chaque maillon contenant la clé et la valeur associée. On utilise les fonctions de base sur les listes pour ajouter en tête, rechercher si une clé est déjà présente, obtenir la valeur associée à une clé, supprimer un couple [clé, valeur].
SHA-256, l'algorithme Bitcoin
Fondamentalement, ce que fait SHA-256 est de prendre une quantité donnée d'informations et de la résumer en un seul bloc alphanumérique de 64 caractères qui est généré de manière déterministe.
Pour assurer ces usages, la cryptologie regroupe quatre principales fonctions : le hachage avec ou sans clé, la signature numérique et le chiffrement.
Clé de chiffrement symétrique et asymétrique
Il existe deux principaux types de clé de chiffrement. Une clé peut être symétrique ou asymétrique. En réalité, il s'agit là encore d'un abus de langage, puisque c'est plutôt le chiffrement lui-même qui est symétrique ou asymétrique, mais le terme est très utilisé.
L'invention du chiffrement très simple qui consiste à décaler l'alphabet d'une ou plusieurs lettres est attribuée à l'empereur romain Jules César.
La fonction de hachage est utilisée par certains SCM (Source Control Manager) comme Git pour indexer les modifications. On peut s'en servir pour générer des séquences de bits pseudo-aléatoires.
Le but du salage est de lutter contre les attaques par analyse fréquentielle, les attaques utilisant des rainbow tables, les attaques par dictionnaire et les attaques par force brute.