Une estime de soi faible, un manque de confiance en soi, un événement négatif au travail, des échecs professionnels, une surcharge de travail ou encore des récits et croyances autour du travail entendus dans l'enfance sont des raisons qui pourraient expliquer la survenue de ce trouble.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Militaire. Au vu de la situation mondiale un peu tendue actuellement, on comprend que le militaire soit en tête du top 10 des métiers les plus stressants. Pour faire face au stress post-traumatique, qui est reconnu depuis 1915, le Service de santé des armées a mis en place un dispositif de prise en charge psychique.
Juste devant les cadres de la banque et des assurances, on retrouve les coiffeurs et esthéticiens, où le travail est jugé par les principaux intéressés comme “peu intense dans un contexte de faible insécurité de l'emploi, avec peu de conflits éthiques et une grande autonomie”, indique la Dares.
Identifier les causes du mal-être
En effet, les causes d'un mal-être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc.
Vivre sans travailler au cas par cas
Il est en revanche possible de donner quelques indications chiffrées. Concrètement, pour obtenir une rente de 1 500 euros chaque mois pendant 40 ans à partir d'un capital ayant un rendement de 2%, il vous faudrait épargner environ 474 500 €.
Optez pour la rupture conventionnelle
L'abandon de poste n'étant pas une solution recommandée (elle peut aussi nuire sur la suite de votre parcours professionnel) vous pouvez choisir la rupture conventionnelle. Ce dispositif met un terme à votre contrat de travail, d'un commun accord entre le salarié et l'employeur.
Le mot ergophobie se décompose en ergo, du grec « ergon » qui signifie travail, et phobie, du grec « phobos » qui signifie « peur panique ». L'ergophobie est caractérisée par la crainte irrationnelle et exagérée du travail.
Vous vous ennuyez au travail
Vous n'avez rien contre personne, mais vous ne vous sentez plus en phase avec l'ambiance de votre milieu de travail. Ça peut arriver et vous n'êtes coupable en rien. Cela dit, c'est un signe annonciateur qu'il faut démissionner de votre poste.
Les motivations conscientes ou inconscientes d'un collègue qui ne vous "aime" pas peuvent être multiples : manque de confiance en soi, jalousie, rivalité, envie, peur,…
Vous ressentez des douleurs musculaires
Lorsqu'on occupe un emploi toxique, on a souvent l'impression de se battre contre un tigre à son bureau. Notre cerveau perçoit une menace et inonde notre système d'adrénaline et d'autres hormones du stress. "Dans ces situations, le système nerveux est sous tension constante.
Le salarié peut également exprimer une douleur morale en lien avec le travail, provoquée par exemple par des mésententes avec ses collègues ou sa hiérarchie, la cadence ou le contenu du travail, le contact avec le public… Elle se traduit souvent par la fameuse ''boule au ventre'' à l'idée d'aller travailler.
Retourner au travail fait partie du traitement.
Pour cela, la spécialiste décrit plusieurs critères : le patient ne doit plus avoir de troubles du sommeil, il doit avoir récupéré un minimum de 50% de son énergie habituelle et enfin il doit avoir déjà intégré dans son quotidien de nouvelles attitudes.
Fatigue extrême, vertiges, problèmes digestifs, insomnies, douleurs physiques persistantes (au niveau du dos par exemple), migraines, problèmes de poids, éruptions cutanées ou infections fréquentes (rhumes, otites, sinusites, bronchites) : si vous présentez l'un de ces signes en plus de ressentir un important niveau de ...
«Le burn-out touche souvent les individus très engagés, qui ont tendance à se surpasser et à toujours privilégier la performance au détriment de leurs besoins, confirme la Dre Barlet-Ghaleb. Ce syndrome affecte également souvent les personnes perfectionnistes ou celles qui ont un besoin prononcé de contrôle.»
Cuisiniers
Et le César du métier le plus désagréable est remis au… cuisinier.
Un trappeur chasse et piège des animaux pour les bouffer, leur piquer leur fourrure et tous les autres trucs qu'on peut faire avec des animaux. C'est un métier solitaire. L'indice de sociabilité nécessaire est de 51/100. Pas besoin de s'emmerder.
La peur de travailler, appelée aussi l'ergophobie, est particulièrement fréquente. Elle se traduit par une appréhension, surtout matinale, de se rendre sur son lieu de travail, ou de travailler.