Le turc appartient à la famille des langues « ouralo-altaïques », tout comme le japonais et le hongrois. Elle est apparentée au mongol et se trouve être, de fait, une langue asiatique.
Génétique. Les Turcs d'Anatolie sont aujourd'hui principalement le fruit d'un métissage entre deux populations primaires, les Turcs Oghouzes d'origine principalement est-asiatique, et les habitants locaux (principalement des Grecs d'Anatolie) d'ascendance ouest-eurasienne.
Malgré l'adoption de tous ces mots étrangers, le turc appartient pourtant au groupe linguistique des langues ouralo-altaïques, loin du groupe sémitique dont fait partie l'arabe ou du groupe des langues indo-européennes auquel appartient le français, par exemple.
La révolution des signes (Harf Devrimi en turc) est une réforme mise en œuvre le 1er novembre 1928 par Mustafa Kemal Atatürk pour remplacer l'alphabet arabe, en usage sous l'Empire ottoman pour transcrire le turc, par un alphabet spécifique dérivé de l'alphabet latin.
À ses débuts, la chancellerie de l'empire a dû faire appel épisodiquement au grec et à l'italien et vers sa fin, elle a eu recours à l'anglais et au français. Mais l'ottoman qui s'était construit peu à peu était une langue où se fertilisaient mutuellement le turc, bien sûr, mais aussi le persan, l'arabe.
Le turc appartient à la famille des langues « ouralo-altaïques », tout comme le japonais et le hongrois. Elle est apparentée au mongol et se trouve être, de fait, une langue asiatique. Elle s'est enrichie du perse et de l'arabe au fil des événements historiques, des invasions et des mouvements de population.
Le kurde est la deuxième langue la plus parlée de Turquie avec plus de 8 millions de locuteurs (2014), et sur tout le territoire, même si l'Est est plus concerné, puisque c'est dans cette région que les Kurdes vivent essentiellement. Son autre nom est le kurdî ou encore le kurmandji.
En 1928, l'alphabet arabe est remplacé par l'alphabet latin qui est mieux adapté à la transcription des phonèmes turcs. Le nouvel alphabet compte 29 lettres dont 8 voyelles et 21consonnes. Les voyelles sont : A, E, I, I, O, Ö, U, Ü L'alphabet turc est phonétique, c'est â dire que toute lettre écrite est prononcée.
Un tel changement de nom n'est pas nouveau dans l'histoire récente. Dites au revoir à la Turquie et bonjour à la Türkiye. Le gouvernement du président Recep Tayyip Erdoğan a décidé de changer officiellement le nom du pays. Il abandonne ainsi la version anglicisée, "Turkey", qui signifie aussi "dinde" en anglais.
L'Empire ottoman défait et dépecé à l'issue de la Première Guerre mondiale, le traité de Lausanne (1923) fonde la Turquie moderne, dirigée depuis 1920 par Mustapha Kemal.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe « wAllah » (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » ou par Dieu (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ...
Formant un vaste groupe ethno-linguistique, les peuples turcs trouvent leur origine parmi plusieurs communautés (notamment de Mongolie orientale). Plusieurs études de recherche ont été menées sur ce sujet.
En fait les Seldjukides, comme les Osmanli ( ottomans ), sont une des tribus turques qui sont arrivées dans l'empire byzantin après la bataille de Manzikert. Il n'y a donc pas de différences.
Un tiers ont des cheveux marrons/marrons clairs. Les blonds et les roux sont très minoritaires, respectivement 4% et 1%. Plus de la moitié de la population a les cheveux raides (57%). Il est assez rare que les sondés en Turquie aient des cheveux bouclés (7%), et les 36% restant ont les cheveux ondulés.
Nantes est la ville du grand Ouest où la communauté turque est la plus importante (1). Environ 7 000 personnes y vivent. La Loire-Atlantique compte 12 000 personnes d'origine turque, également installées à Châteaubriant et Ancenis. L'association a évolué avec les générations.
Les Turcs sont des nomades apparentés aux Mongols et issus de la steppe asiatique. Au VIIIe siècle, au temps de Charles Martel, l'une de leurs branches, les Khazars, s'établit sur la Volga et se convertit au... judaïsme !
Le nom de Comans paraît le plus précis de tous; et si c'est lui que mentionne déjà une inscription assyrienne du χπβ siècle avant l'ère chrétienne, c'est aussi à lui sans doute qu'il faut rapporter les termes géographiques analogues de Comana, Kouma, qu'on retrouve en Asie ou au Caucase (3).
Turquie : Yilmaz – brave.
Ainsi, la Grande-Bretagne, la France, l'Italie et la Grèce vont s'emparer d'une grande partie de la Turquie actuelle ainsi que des territoires du Moyen-Orient dominés jusque-là par les Ottomans comme la Syrie, l'Irak, le Liban, l'Arabie et la Palestine.
Pour les Grecs, les Ottomans sont d'illégitimes envahisseurs ; pour les Turcs, les Grecs sont d'infidèles sujets dont ils se méfient d'autant plus qu'en Italie, les intellectuels grecs comme le cardinal Jean Bessarion cherchent à susciter une Croisade contre les Sultans.
A ce petit jeu, la grande gagnante est la langue turque avec, prenez votre souffle, Muvaffakiyetsizleştiricileştiriveremeyebileceklerimizdenmişsinizcesinesiniz. Soit 75 lettres ! La traduction littérale est pour le moins absconse : “_Vous semblez être une des ces personnes que nous n'arriverons pas à faire échouer _”.
Même les non pratiquants et laïcistes convaincus se considèrent comme de véritables musulmans. Après le coup d'État de 1980, l'armée turque elle-même a de nouveau favorisé la référence religieuse comme ciment national. De fait, le pays est aujourd'hui musulman à 99 %.
Il s'agit d'une langue très différente du français et donc assez difficile à apprendre. Mais comme elle est passionnante, on se prend vite au jeu, et si l'on suit la bonne méthode, on parvient à faire des progrès rapides.