Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Conditionnel : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient. - L'imparfait exprime une action qui dure dans le passé, ou qui est souvent répétée. Il est notamment utilisé pour élaborer des descriptions dans le passé. - Le futur est utilisé pour exprimer le futur.
Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait). Pour peu qu'il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).
au cas où, dans l'hypothèse où, quand, etc., suivies du conditionnel ; à condition que, à moins que, à supposer que, pour peu que, pourvu que, que… (ou) que, soit que…
Si + plus-que-parfait de l'indicatif, passé du conditionnel
Le conditionnel passé, dans la deuxième partie de la phrase, est formé par l'auxiliaire au conditionnel présent + un participe passé.
L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit. Il décrit une action passée, qui a un début et une fin clairement identifiable.
La condition peut être exprimée de manière explicite par une proposition subordonnée introduite par une conjonction ou une locution conjonctive, par un substantif ou par un infinitif. La condition peut être exprimée de manière implicite par le gérondif ou par une proposition subordonnée participiale.
à condition que, pourvu que, pour peu que, en supposant que, en admettant que, à moins que, soit que… soit que.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
Lorsque nous imaginons quelque chose qui n'a pas eu lieu, nous faisons une hypothèse sur le passé : Si + plus-que-parfait, conditionnel passé Exemples : Si je n'étais pas arrivé en retard, j'aurais vu le début du film. Exemples : Ce matin, je ne joue pas au tennis parce qu'il pleut.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Là encore, les désinences de conditionnel sont celles de l'imparfait du verbe avoir : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.
L'imparfait de l'indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé. Il peut également exprimer le déroulement d'une action, une habitude, une répétition ou présenter une description. Qu'est-ce que le futur ? Le futur de l'indicatif est utilisé pour indiquer une action réelle se déroulant dans l'avenir.
Comment se forme le plus-que-parfait ? Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire être ou avoir conjugué à l'imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j'étais parti, j'avais gagné, etc.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Si une phrase comporte un seul verbe conjugué, elle est simple. Si elle comporte au moins deux verbes conjugués, elle est complexe. Dans une phrase complexe, il faut toujours faire attention à bien accorder les verbes avec le sujet.
La condition exprime très souvent un fait ou un état qui est indispensable pour l'accomplissement d'un deuxième, créant dans une certaine conséquence. De l'autre côté, l'hypothèse réside sur l'expression d'un fait ou d'un état imaginé, où on imaginerait ce qui passerait si l'événement avait eu lieu.
Le présent du conditionnel s'utilise pour exprimer une hypothèse, une supposition, une éventualité... On le retrouve souvent associé avec un verbe à l'imparfait de l'indicatif.
Circonstance extérieure, fait, situation, contexte dont l'existence est nécessaire pour que quelque chose ait lieu, se produise, se fasse : La condition pour que je vienne est qu'il ne soit pas invité.
L'imparfait sert à exprimer une action passée, qui est présentée comme non terminée ou habituelle. Pour conjuguer un verbe à l'imparfait, on utilise les terminaisons : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez et -aient. À l'imparfait, le radical d'avoir est av- (j'avais) ; celui d'être est ét- (j'étais).
Synonyme : postulat, prémisse, principe, théorie.
La formulation d'une hypothèse implique la vérification d'une théorie ou précisément de ses propositions. L'hypothèse demande à être confirmée, à être infirmée ou nuancée par la confrontation des faits. Un nombre de facteurs sont à prendre en compte dans la formulation des hypothèses.