Pour des historiens philologues, cette lettre est vraisemblablement passée dans l'alphabet latin pour dénoter le son u absent du latin. Dans le latin tardif, et dans notre Moyen Âge, elle a finit par se prononcer i, la graphie y devenant une forme alternative de notre i.
(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\.
Dans les langues romanes, cette histoire a conduit à la norme moderne du nom de la lettre : en espagnol, Y est appelé i griega, en galicien i Grego, en catalan i grega, en français et en roumain igrec, en polonais igrek - tous signifient « i grec » (sauf pour le polonais, où c'est tout simplement une transcription ...
Y est le symbole de l'élément chimique yttrium (voir liste des éléments chimiques).
La lettre Y est la sixième voyelle de notre alphabet. Mais, phonétiquement, on peut la considérer comme une voyelle ou comme une semi-consonne, cela dépend de son environnement. En position initiale et devant une consonne, le y joue son rôle de voyelle : ysopet, ypérite.
Voilà qui nous rappelle au passage que ce que nous appelons "i-grec" s'appelle "upsilon" en grec. Avec le temps, le son a évolué et aujourd'hui, en français, le Y est la seule lettre que l'on puisse considérer à la fois comme une voyelle, puisqu'elle se prononce [i] et comme une consonne, puisqu'elle se prononce [j].
Le [y] est une voyelle typique du français : elle se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies d'un gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies et projetées.
Pour certains, l'origine de l'esperluette "&" remonte à Cicéron, célèbre orateur romain. Tiron, qui était son secrétaire, aurait été le premier à utiliser le signe "&" mais aucune trace manuscrite n'a été retrouvée pour le certifier. Pour d'autres, c'est à l'époque mérovingienne que l'esperluette voit le jour.
Le symbole d'appartenance « ∈ » est un symbole mathématique introduit par Giuseppe Peano pour l'appartenance en théorie des ensembles. Sa graphie correspond à celle de la lettre grecque epsilon en Europe continentale à cette époque.
Le symbole de l'alphabet phonétique international est emprunté à l'écriture de ces langues et note la voyelle mi-ouverte antérieure arrondie [ø]. La lettre est considérée dans ces langues comme une voyelle à part entière, et non pas juste un O diacrité. En danois, ø est également un mot complet et signifie « île ».
L'alphabet anglais comporte cinq voyelles : A, E, I, O et U (et le Y que j'allais oublier). Cependant, inutile de passer des heures et des heures à écouter des contenus audio en anglais pour comprendre que ces lettres ne capturent pas tous les sons voyelles que prononcent les anglophones.
Les lettres y en minuscule cursive et Y majuscule conservent dans l'ensemble la même forme, on les identifie aisément. On remarque que pour écrite la lettre Y majuscule cursive, on associe au U majuscule une jambe comme celle du G.
Étymologie de « linguistique »
Dérivé de linguiste , avec le suffixe -ique .
En poésie, pour compter les syllabes d'un vers, il faut prendre en compte la règle dite des e muets. On compte le e lorsqu'il est placé devant une consonne et on ne le compte pas lorsqu'il est placé devant une voyelle, ou bien lorsqu'il est en fin de vers.
Elle se prononce parfois [d͡ʒ] dans des mots empruntés à l'anglais tels que « jet-ski » ou « jazz ». Dans l'alphabet phonétique international, [j] représente une consonne spirante palatale voisée, c'est-à-dire le son mouillé du ill dans « Castille », du y dans « voyez » et du i dans « Batelier ».
La lettre w (double-v) est propre aux langues du Nord et n'est usitée en français que dans les mots empruntés à ces langues avec leur orthographe. C'est une lettre récente et d'invention germanique; on a hésité pendant un temps entre w et gu pour rendre le même son.
comment adv. interr. et exclam. Interroge sur la manière ou le moyen (suivi en langue courante de est-ce que).
L'expression qu'est-ce que c'est s'écrit donc, au total, avec un trait d'union et avec deux apostrophes.
L'origine du signe est la ligature (fusion de deux caractères consécutifs) par les moines copistes du ad latin (à ou vers en français, at en anglais) où le a et le d cursifs ont fini par se confondre, le d s'enroulant autour du a.
Le mot « symbole » vient du grec to symbolon qui désigne « un objet de reconnaissance » coupé en deux parties, chacune permettant à des messagers ou porteurs à se reconnaître en les emboîtant.
L'@ étant prononcé « at ». Le symbole fait ainsi son apparition sur les claviers des machines à écrire vers 1885 avant de perdre tout sens au fil du temps. C'est sur ces claviers qu'il a été repéré par Ray Tomlinson en 1972 en quête de son séparateur unique…
La semi-voyelle [ɥ]est formée à partir du son [y] mais ne se prononce pas [y]. Elle peut s'écrire : ui, ue, ua. On ne la trouve jamais à la fin d'un mot.
Le latin possède cinq voyelles : a, i et o se prononcent comme en français, e se prononce toujours « é » ou plus rarement « è » et n'est jamais muet ; enfin, u se prononce « ou » 1 et non « u » (son qui n'existe pas en latin ou presque).