(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\. (Pronom personnel 1) Du latin hic (« ceci ») ; a évincé l'ancien français iv , du latin ibi (« ici »).
D'abord, pourquoi cette lettre est-elle dite "grecque" ? Tout naturellement parce que le latin l'a piquée à l'alphabet grec, pour représenter un son, le [u], qu'il n'avait pas dans son alphabet. Voilà qui nous rappelle au passage que ce que nous appelons "i-grec" s'appelle "upsilon" en grec.
D'abord, pourquoi cette lettre est-elle dite « grecque » ? Tout simplement parce que le latin est allé l'emprunter à l'alphabet grec, pour représenter un son, le « u », dont il ne disposait pas. Voilà qui nous explique au passage que ce que nous nommons « i-grec » s'appelle « u-psilon » en grec.
La lettre Y représente le symbole de la vie morale.
Ici, le y provient de la rencontre entre la base du verbe, a, i, pour avoir, et s, o, i, pour être, et des terminaisons du pluriel ions et iez.
a) Lorsqu'on ajoute une terminaison à un mot qui se termine par un "Y" précédé d'une consonne, le "Y" se change en "I". Note : Les noms et les verbes qui se terminent par un "Y" précédé d'une consonne forment leur pluriel ou troisième personne du singulier (au présent simple) en "-IES".
La lettre Y est la sixième voyelle de notre alphabet. Mais, phonétiquement, on peut la considérer comme une voyelle ou comme une semi-consonne, cela dépend de son environnement. En position initiale et devant une consonne, le y joue son rôle de voyelle : ysopet, ypérite.
Dans le latin tardif, et dans notre Moyen Âge, elle a finit par se prononcer i, la graphie y devenant une forme alternative de notre i. Ainsi les scribes de langue latine au début du Moyen Age écrivaient-ils indifféremment lacrimas ou lacrymas (les larmes) selon leur fantaisie.
Y (la lettre se nomme « i grec » et se prononce isolée /i/) est la 25e lettre de l'alphabet latin moderne. Le graphème majuscule est le même que celui de l'upsilon de l'alphabet grec.
Le [y] est une voyelle typique du français : elle se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies d'un gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies, projetées, la langue bombée.
C'est une lettre récente et d'invention germanique; on a hésité pendant un temps entre w et gu pour rendre le même son. On l'a d'ailleurs introduit même dans des mots qui ne l'appelaient pas, comme Ewangelium pour Evangelium.
L'alphabet anglais comporte cinq voyelles : A, E, I, O et U (et le Y que j'allais oublier).
La lettre "Y" en initial d'un mot est généralement(peut-être même toujours) prononcé /j/, ce qui correspond au son de "YOU", sans le son voyelle /u:/, et il s'avère que ce son n'est ni absolument voyelle ni absolument consonne, mais suffisamment consonne pour que l'article "AN" ne se justifie pas.
Attention au féminin, grecque, avec un c devant -qu-, à la différence de franc et de turc qui font au féminin, respectivement, franque et turque.
Les phrases latines sont beaucoup moins étirées que les phrases grecques, le latin est concis et nécessite peu de mots tandis que le grec est foisonnant.
La lettre « y » fait le son [j]
Mais attention, dans ce cas-là, elle se comporte comme deux « i » : le premier « i » se lit [i] ou bien s'associe à la voyelle précédente pour former un autre son.
Le pronom personnel « y » remplace un nom inanimé introduit par à. Exemples : Elle pense à ses vacances ? ► Elle y pense.
I) Hiatus & euphonie : 🔹 L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Quand e est suivi de deux ou plusieurs consonnes, il transcrit généralement /ᴇ/ . Ces e sont traditionnellement appelés « e muet », c'est-à-dire e non prononcé [ääntymätön] .
L'alphabet français compte six voyelles graphiques, à savoir : A, E, I, O, U et Y. Le système vocalique du français standard compte seize voyelles phonétiques, ou vocoïdes, à savoir : a, ɑ, e, ɛ, i, o, ɔ, u, y, ə, œ, ø, ɑ̃, ɔ̃, ɛ̃, œ̃.
La liaison est interdite lorsqu'il y a une pause entre deux mots. On ne fait donc jamais la liaison entre deux mots lorsqu'un signe de ponctuation les sépare.
on a le son /j/ dans "quille", "coquille" (comme dans "fille") et le son /il/ dans "tranquille". Lorsque 'Y' est placé entre deux voyelles, on fait, généralement, comme s'il y avait deux 'i' écrits. L'un se lie à la voyelle qui précède et l'autre à la voyelle qui suit. et qui appartient aux deux propriétaires.
Est-ce peut-être le « s » ou bien le « t » ? En fait, la réponse est le « schwa ». En prononciation phonétique, ce terme correspond au son que l'on représente par le symbole /ə/ et qui se prononce comme la lettre « a » dans le mot « about ». Le schwa est un son très important en anglais pour deux principales raisons.