L'échec n'est donc pas une fin en soi mais une expérience positive nous aidant à trouver en nous les ressources nécessaires pour nous conduire vers la réussite. Car passer toute une vie sans rien oser, à ne prendre que des décisions raisonnables, sans aucun risque, c'est échouer à se connaître vraiment.
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regret.
L'échec peut prédire le succès. Comment ? Les recherches montrent que ceux qui font et acceptent leurs erreurs, au lieu d'essayer d'éviter de se tromper à tout prix, ont plus de chances de réussir.
Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
Il s'agit d'Abraham Lincoln.
Les vraies raisons sont la peur et l'inaction.
Fuir nos peurs, ce qui semble la voie facile, se transforme ensuite par la voie difficile, quand nous reconnaissons que tout ce que nous avons toujours voulu se trouve juste de l'autre côté de nos peurs. Nous pouvons apprendre à transformer l'échec dans notre meilleur ami.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Mais pourquoi a-t-on autant peur d'échouer ? Selon Antoine Spath, psychologue, “l'échec renvoie à une blessure narcissique. Il fait mal, car il peut faire perdre confiance en soi, d'autant plus qu'il n'est pas valorisé socialement […]
Vous souffrez sûrement de kakorrhaphiophobie : cette peur au nom tarabiscotée est celle de l'échec. Si la crainte d'échouer est un sentiment plutôt normal pour tout un chacun, elle peut devenir totalement paralysante et se transformer en véritable phobie.
L'atychiphobie peut être définie comme une peur anormale, injustifiée et persistante d'échouer. Cette peur chronique peut être si extrême qu'elle affecte négativement votre vie. On estime que l'atychiphobie touche 2 à 5 % de la population.
Les joueurs positionnels auront donc tendance à se tourner vers d4 comme premier coup aux échecs. D'ailleurs très souvent le second coup des blancs est c4. Les blancs perdent donc un temps de développement pour renforcer encore un peu plus le contrôle du centre de l'échiquier.
Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
D'après la légende, l'inventeur présumé des échecs indiens serait un brahmane nommé Sissa. Il aurait inventé le chaturanga pour distraire son prince de l'ennui, tout en lui démontrant la faiblesse du roi sans entourage. Souhaitant le remercier, le monarque propose au sage de choisir lui-même sa récompense.
Au jeu des échecs, le fou fait figure d'exception. Car contrairement au cavalier ou la tour, il ne fait pas référence à une figure militaire. Cette différence est due à une erreur de traduction.
Son origine remonte vers l'an 600 et il est certainement apparu entre l'Inde et la Perse, qui jouaient au chaturanga et au chatrang. Ce sont des jeux de guerre, où les pions représentent les membres de l'armée. Plus tard, avec l'invasion arabe, ces jeux se répandent jusqu'en Europe.
Être honnête avec soi-même et avec les autres pour rebondir après un échec. Dédramatiser l'échec permet ainsi d'en accepter la pleine responsabilité. Mais aussi, de prendre les mesures nécessaires pour en limiter l'impact et pouvoir mieux rebondir par la suite.
Accepter tes erreurs et tes échecs te permettra d'avancer. Douter de toi et ressasser le passé ne fera que te distraire du moment présent. Fais la paix avec tes erreurs ou tes échecs et apprends de celles-ci. On appelle ça «lâcher prise».