Ceci est à rapprocher de « bosch », bois en bas allemand et néerlandais : « 's-Hertogenbosch » aux Pays-Bas, se traduit en français par « Bois-le-Duc ». Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
1915. « Le surnom de “boche” s'est imposé en 1915. Au début de la Première Guerre mondiale (1914-1918), en août 1914, il n'existait pas encore. Pour désigner les soldats allemands, les Français parlaient d'“alboches”. »
Les noms des Allemands - étymologie : Deutsch, teuton, tudesque, allemand, alémanique… LEXILOGOS. L'Allemagne et les Allemands sont un pays et un peuple qui ne sont pas appelés de la même façon dans les différentes langues.
Dans les langues slaves, le terme désignant un Allemand (donc le peuple voisin) vient d'un adjectif signifiant « muet ». Les Allemands n'étaient pas muets, mais comme les Slaves ne les comprenaient pas, pour eux, c'étaient des gens avec lesquels on ne pouvait pas parler.
Pourquoi Fridolin ? Le véhicule sera vendu aussi en Suisse, mais il ne sortira jamais vraiment d'Allemagne. Dès lors, on peut se demander pourquoi ce fourgon porte le nom de Fridolin, une appellation largement péjorative et utilisée pour désigner les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
Un terme péjoratif
C'est aussi un surnom donné par certains aux soldats allemands après la Seconde guerre mondiale, notamment en raison de leur nombre et des pénuries causées par les réquisitions. Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
L'Allemagne est occupée dès l'Antiquité par un peuple germanique, les Germains, qui avaient pris la place des Celtes, installés auparavant. L'Allemagne s'appelle alors la Germanie et n'est pas un État à part entière.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
— le mot frisé était employé dès 1836 pour désigner les juifs le plus souvent d'origine allemande, mais aussi en les réduisant à leur chevelure. On aurait donc en fait une sorte de retournement ironique en désignant les Nazis ou les soldats allemands comme des juifs.
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Peu importe le moment de la journée, il y a deux façons de dire au revoir. Dans un contexte formel ou quand tu n'es pas sûr, tu diras « auf Wiedersehen« , au revoir. Dans une situation plus informelle, tu peux simplement dire « tschüss » ou « tschau« , salut.
première manière : Guten Tag!
C'est le bonjour le plus courant en Allemagne mais attention de bien l'utiliser en journée. Personne le matin par exemple ne te dira Guten Tag en Allemagne.
Guten Tag : Bonjour ! Guten Abend ! : Bonsoir ! Auf Wiedersehen ! or Wiedersehen! : Au revoir !
Les termes du traité sont si durs que le gouvernement allemand envisage un temps un soulèvement militaire. Il accepte finalement de le signer le 28 juin 1919. Ce «Diktat» ne fait qu'exacerber le sentiment nationaliste en Allemagne, qui sera largement exploité par les nazis.
Les habitants de Bordeaux s'appellent Bordelais, Bordelaises. (le nom d'un habitant d'une entité géographique est un gentilé). Bordeaux est une commune française en Gironde.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.