Les deux corps s'attirent du fait de la force électrostatique s'exerçant entre les électrons et les protons. Ainsi, un électron positionné entre deux noyaux sera attiré par les deux corps chargés positivement, et les noyaux seront attirés par l'électron. C'est cette attraction qui constitue la liaison chimique.
Afin de former des molécules, plusieurs atomes sont liés par des liaisons covalentes. Cette liaison consiste en un partage d'électrons entre deux atomes. Une liaison covalente est représentée par un trait. On parle également de doublet liant.
Les atomes peuvent s'associer entre eux pour former des molécules afin d'obtenir la configuration électronique la plus stable. Dans un atome, les électrons qui se trouvent proches du noyau sont beaucoup plus stables (stabilisation par effet électrostatique) que les électrons qui se trouvent éloignés.
Chacun des électrons est attiré par les deux noyaux, mais en même temps, des forces de répulsion s'exercent entre les éléments chargés identiquement (les noyaux se repoussent et les électrons se repoussent). Cela signifie que les deux atomes se rapprocheront jusqu'à une certaine distance.
Excitation et ionisation par haute température
Il s'agit d'excitation par collision entre particules neutres (collisions de première espèce). Les atomes placés à haute température possèdent suffisamment d'énergie cinétique pour que l'un d'entre eux s'excite au cours d'une collision.
Les électrons sont attirés par le noyau et donc restent avec lui, pour former les atomes. Donc c'est la force électrique qui explique pourquoi les atomes existent ! On dit d'ailleurs que les atomes sont neutres. En effet, si on prend un noyau avec un certain nombre de protons, il attire les électrons.
La lumière est une forme d'énergie produite par la matière. Pour comprendre comment elle est générée, il faut examiner les constituants même de la matière, c'est-à-dire les atomes.
Le toucher semble évident étant donné que l'on ressent les textures, la chaleur, etc... Mais en réalité, deux atomes ne peuvent pas entrer en contact direct puisque les nuages d'électrons qui enveloppent les noyaux se repoussent (charges négatives contre charges négatives).
La liaison covalente implique généralement le partage équitable d'une seule paire d'électrons, appelé doublet liant. Chaque atome fournissant un électron, la paire d'électrons est délocalisée entre les deux atomes.
C'est le fer. Au début de leur vie, les étoiles tirent leur énergie de la fusion de petits noyaux atomiques pour former des noyaux plus gros. Les étoiles fabriquent ainsi de l'hélium par fusion de noyaux d'hydrogène. Quand il est épuisé, l'hélium réagit et donne du carbone et de l'oxygène.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
Ces liaisons sont une manifestation d'interactions attractives entres atomes, dont l'origine est soit électrostatique (liaison ionique, liaison hydrogène), soit purement quantique (liaisons covalente et métallique, liaisons de type Van der Waals/London).
Les molécules ont normalement une charge électrique neutre. En effet, leurs atomes sont liés par des liaisons covalentes la plupart du temps. Lorsqu'une molécule n'est pas neutre, il s'agit d'un ion. Une liaison covalente est une liaison chimique entre deux atomes qui vont se partager deux électrons.
Les atomes gagnent ou perdent des électrons pour devenir stable chimiquement et ainsi acquérir la structure électronique du gaz noble le plus proche d'eux dans le tableau périodique des éléments (couche de valence « saturée »).
Lors de certains phénomènes (transformations chimiques, frottements mécaniques, exposition à des rayonnements) l'atome peut perdre un ou plusieurs électrons. La perte d'électrons correspond également à une perte de charges négatives qui conduit à la formation d'un composé électriquement chargé: il s'agit d'un ions.
Liaison covalente (liaison forte) : deux atomes mettent en commun les électrons de la couche électronique la plus extrême. Elle peut être polaire (lorsque l'attirance des électrons est inégale entre les deux atomes) ou non polaire (lorsque les deux atomes tirent avec une force semblable).
Parce que l'électron est en mouvement: la force centrifuge qui en résulte compense exactement la force d'attraction électrique. Au delà de cette orbite, l'électron n'est plus lié à l'atome: il est libre.
Lorsque deux électrons – particules de charge négative – se rapprochent, ils se repoussent.
La liaison hydrogène
En effet, l'atome d'hydrogène interagit alors avec les doublets non liants d'atomes électronégatifs comme l'oxygène, le chlore ou l'azote. Cette interaction est nettement plus intense que celle de Van der Waals.
Des électrons peuvent se déplacer d'un nuage à un autre. Ceci fait en sorte que les nuages accumulent de puissantes charges électriques positives ou négatives. Ces charges opposées s'attirent tellement qu'elles finissent par « bondir » dans l'air pour s'annuler les unes les autres.
Le numéro atomique (Z) représente, en chimie et en physique, le nombre de protons d'un atome. Ce dernier peut être schématisé, en première approche, par une agglomération compacte (noyau atomique) de protons (p+) et de neutrons (n), autour de laquelle circulent des électrons (e−).
Les atomes sont constitués d'un noyau de très petite taille, contenant des particules de très petite masse, les protons chargés positivement et les neutrons non chargés, autour duquel se trouvent des particules encore plus légères, les électrons chargés négativement.
En 1808, John Dalton reprend l'idée d'atomes afin d'expliquer les lois chimiques. Dans sa théorie atomique, il fait l'hypothèse que les particules d'un corps simple sont semblables entre elles, mais différentes lorsque l'on passe d'un corps à un autre.
Aristote s'appuyait sur le concept des quatre éléments de base de Thalès et affirmait que les atomos ne pouvaient exister puisque invisibles à ses yeux. La conception aristotélicienne de la matière reçut l'appui des religieux de l'époque et traversa les siècles qui suivirent jusqu'au 18ème.
1/ Pourquoi ne peut-on pas traverser la matière (une table par exemple) ? Puisque elle est censé être majoritairement vide... La raison principale est les interactions (essentiellement électromagnétique) qu'il existe entre les atomes (et les molécules) constituant la matière.