Cette technique a pour but de maintenir les ailes et l'avion proches de l'axe de la piste. Le nez pointe face au vent de telle sorte que l'avion approche de la piste légèrement en biais (en crabe). Cela donne l'impression d'approcher de la piste que d'un côté ce qui peut désorienter le pilote.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Mais lorsque l'avion s'approche pour atterrir, il vole à la vitesse la plus faible possible. C'est ce qu'on appelle la vitesse de décrochage. À cette vitesse, l'avion peut tomber comme une pierre, car la portance n'est pas assez élevée pour permettre une diminution progressive et lente de l'altitude.
Cette pratique est un "water salute" et correspond à une tradition de l'aéronautique. Ce salut est destiné à célébrer un événement particulier, comme par exemple le départ en retraite d'un pilote de ligne de la compagnie.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
Les toilettes des avions sont-elles vidées en plein vol ? Rassurez-vous, la réponse est non. Les avions sont vidés de leur contenu une fois arrivés sur le tarmac de l'aéroport. Vous avez donc très peu de risques que des excréments venant du ciel vous tombent dessus lorsque vous vous baladez dans la rue.
Cette année, c'est la compagnie aérienne néo-zélandaise Air New Zeland qui prend la tête de ce classement grâce notamment au « nombre d'innovations dans le poste de pilotage, de la formation des pilotes et du très faible âge de sa flotte », ainsi que d'un très faible taux d'accidents.
L'aéroport de Tenzing-Hillary, situé à Lukla, est considéré comme l'aéroport numéro 1 le plus dangereux au monde ! Surnommé “l'aéroport des aventuriers”, c'est de là que partent la plupart des “aventuriers” qui veulent gravir le Mont Everest.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Quand le vent est aligné avec la piste, il n'y a aucun problème, c'est le vent de travers qui va imposer des limitations. Ce qu'on appelle le vent de travers est la composante du vent qui vient vraiment perpendiculairement à la piste.
Le pilote étant assis à gauche du cockpit, l'embarquement des passagers par la gauche lui permet de surveiller le bon déroulement du processus.
Hublot principal
Ces vitres sont montées dans un joint d'étanchéité puis montées dans les cadres et fixées par des clips de retenue.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Des accidents rares
Le fait que l'appareil soit un Boeing est un coup dur pour le constructeur américain, empêtré depuis des années dans des problèmes de sécurité sur ces avions. Pourtant, le B777 fait statistiquement partie des plus sûrs.
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Les turbulences ne présentent aucun risque pour les avions : juste un moment désagréable à passer. Les turbulences réveillent des peurs qui n'ont aucune raison d'être. On peut croire que l'avion risque de se casser ou qu'il risque de tomber jusqu'au sol, mais il n'en est rien.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.