Ces derniers prient d'abord pour leur propre bien. De façon relative, ils prient pour réaliser leurs capacités et au niveau ultime pour l'obtention de l'éveil. Ils prient également pour l'accomplissement relatif et ultime de tous les êtres. Les bouddhistes prient également pour approfondir leur spiritualité.
La prière bouddhiste vise à éradiquer toutes les sources de souffrance pour plonger l'être humain dans le véritable bonheur, d'où le bon équilibre entre le corps, le cœur et l'esprit.
Dieux et déités dans le bouddhisme. Dieu n'existe pas selon le bouddhisme; mais les dieux existent selon le bouddhisme. Toutefois, le bouddhisme ne peut être dit polythéiste, car les dieux n'y sont pas, proprement parler, des figures de transcendance; seuls les bouddhas et les êtres libérés le sont.
QUI PRIE-T-ON ? Le bouddhisme n'étant pas une religion théiste, le bouddhiste ne prie pas un Dieu ou une entité extérieure, considérant qu'il a en lui-même la nature de Bouddha que son chemin spirituel va l'amener à réaliser.
Le bouddhisme est une voie individuelle dont le but est l'éveil, par l'extinction du désir égotique et de l'illusion, causes de la souffrance de l'homme. L'éveil est une base à l'action altruiste.
Dans la mythologie chinoise, l'estomac est le reflet de l'âme. Par conclusion, le gros ventre de Bouddha serait à l'origine de son gros cœur, de sa bienveillance et de son amour pour autrui. Ce Bouddha au gros ventre symboliserait donc l'abondance, la plénitude, la richesse et la prospérité.
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
Il ne concerne pas l'aspect institutionnel, social. Ce n'est donc pas une religion qui a une emprise directe sur la société. C'est une religion non-théiste mais qui n'est pas pour autant athée : les dieux sont tolérés, mais pas vénérés. Elle met en avant l'esprit pour présenter le monde, agir avec le monde.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Le vinaya pitaka, en cinq volumes, qui comprend des règles de discipline pour le Sangha bouddhiste ; et L'abhidhamma pitaka, en sept volumes, qui est une systématisation philosophique des enseignements du Bouddha.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Le mantra om mani padme hum est considéré comme le sceau distinctif du bouddhisme au Tibet où il est omniprésent. Il y est aussi le mantra le plus courant.
Le choix des offrandes
Il est conseillé d'offrir aux Bouddhas : de l'encens, des fleurs, des fruits, de la lumière, un bol d'eau limpide, et, à l'occasion, du riz cuit à l'eau sans aucun plat d'accompagnement.
Biographie courte de Bouddha - Gautama Siddartha, connu sous le nom de Bouddha ou l'"Éveillé", est un chef spirituel et le fondateur du bouddhisme. Il naît au VIe siècle av. J. -C.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
“Celui qui est le maître de lui même est plus grand que celui qui est le maître du monde.” “Bonne est l'action qui n'amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité. ” “Meilleur que mille mots privés de sens est un seul mot raisonnable, qui peut amener le calme chez celui qui l'écoute.”
C'est ce qui explique pourquoi de nombreuses représentations de Bouddha en méditation ont les yeux légèrement ouverts ! En effet, fermer les yeux est une façon de se réfugier en soi, de se couper du monde, ce qui n'apporte rien et ne fait que nous isoler.
Une pointe au sommet de la tête du Bouddha représente la conscience réalisée (lingam, ou phallus). Son crâne recouvert de coquilles d'escargots symbolise l'hermaphrodite : l'être spirituel non identifié au genre.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Le bouddhisme a lui aussi ses dieux. Pourtant, contrairement à l'hindouisme, les bouddhistes ne vénèrent pas ces dieux. L'idée même d'un Dieu créateur est obsolète. Dieu n'est qu'en fait l'ensemble du monde, il n'est en rien créateur ou protecteur des hommes, il représente le tout et le rien, l'universel.