Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
Les consommations sont inscrites dans un contexte sociétal et culturel particulier, comme en témoigne le niveau d'expérimentation des jeunes bretons, l'un des plus haut de ceux observés en France : 93,7 % des bretons ont déjà expérimenté l'alcool à 17 ans.
Avant d'arriver au foie, l'alcool contenu dans le sang affecte d'autres organes vitaux qui contiennent beaucoup d'eau et qui ont besoin d'un volume important de sang pour fonctionner. C'est sur le cerveau que les effets sont le plus rapidement observables.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
Le chouchen : l'alcool breton par excellence
Autrefois appelé « souchen », le chouchen est l'alcool breton par excellence, le plus connu et réputé. Cette boisson bretonne alcoolisée liquoreuse à la couleur ambrée est obtenue par la fermentation du miel dans l'eau.
Modestes, discrets, pudiques, fidèles, honnêtes, légalistes… La réputation des Bretons leur colle à la peau. Elle dessine une façon de faire société qui semble rassurante, aux yeux des habitants mais également des néo-arrivants.
L'idée qu'en Bretagne la femme aurait bénéficié d'une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu'un besoin de vérification se soit imposé. On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu'elle occupe une place éminente dans la société.
Et notamment la Bretagne, où le taux des "alcoolisations ponctuelles importantes" (six verres d'alcool ou plus lors d'une unique occasion) est le plus élevé de France : plus de 20 % des adultes boivent ainsi de manière excessive tous les mois, contre 16,2 % dans l'ensemble de la France.
Le chouchen est une boisson alcoolisée titrant généralement entre 12 % et 15 % vol. Comme tous les hydromels, il est fabriqué à partir d'eau et de miel fermenté auxquels on ajoute parfois du jus de pomme ou du cidre.
La crêpe c'est LE plat emblématique de Bretagne. A la crêperie ou sur le pouce en flânant au marché, on se laisse toujours tenter par une crêpe chaude et moelleuse, petit... Sous forme de grains ou de farine, le sarrasin a bon sur toute la ligne !
Galette de blé noir, kouign-amann, kig ha farz... Les spécialités locales ne manquent pas en Bretagne ! Ce patrimoine gastronomique ancestral se transmet de générations en générations. Tour d'horizon sucré et salé des plats typiques du grand Ouest.
En Bretagne, font-ils valoir, nous n'avons pratiquement pas d'eaux souterraines et il faut capter de l'eau de surface qui nécessite un traitement plus lourd et donc plus onéreux. Vrai. Autre explication: l'importance de la population saisonnière qui oblige à surdimensionner les réseaux.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Le glucose est la substance qui favorise le stockage des graisses dans le corps donc la prise de poids. L'auteur explique que l'alcool, en augmentant la production d'insuline dans le corps, ferait baisser simultanément le taux de glucose, contribuant ainsi à réduire le poids.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
L'alcool fait prendre du poids pour plusieurs raisons : les calories de l'alcool, un stockage des graisses par l'organisme, un dérèglement de la satiété et de l'appétit. L'alcool fait grossir pour plusieurs raisons. La première est que c'est un produit très calorique. Chaque gramme d'éthanol contient 7 calories.