Par une présence de qualité, l'enfant améliore son attention et aiguise sa concentration. C'est dans ce sens qu'on parle d'élève « acteur » : lorsqu'il participe, il agit. Or, c'est en agissant qu'on apprend le mieux. Pour oser s'exprimer, votre enfant a besoin de se sentir en sécurité.
Certains enfants, en opposition au maître, refusent de lui faire plaisir, ne travaillent donc pas. D'autres trouvent trop difficiles les consignes passées et s'enferment dans du refus.
Prendre le temps de l'écouter, et de faire des activités en groupe qui lui correspondent. Un enfant timide a besoin d'être écouté, et surtout qu'on évite de le brusquer. Intéressez-vous à lui, discutez avec lui, et, selon ses centres d'intérêt, proposez-lui de faire en petit groupe des activités qui lui plaisent.
- Communiquer ! N'hésitez pas à communiquer avec votre enfant pour qu'il comprenne ce que vous dites, parce que votre inquiétude pour son avenir est souvent secondaire pour lui ! Il faut essayer de lui donner envie de travailler, car il saura que ça lui apporte quelque chose.
Il se peut même qu'un élève qui ne semble pas motivé éprouve en fait des difficultés à apprendre et ait besoin d'une attention particulière. Bien que la motivation scolaire puisse être une tâche difficile à accomplir pour l'enseignant, les récompenses en valent largement la peine.
Ces enfants démontrent leur ennui sous différentes formes : ont tendance à tourner en rond, à vous suivre pas à pas, à déranger les autres... Il faut tenir compte que ce comportement fait partie de la façon d'être de l'enfant, de sa personnalité, de son tempérament.
L'élève est le premier responsable de sa réussite. Pour ce faire, il a le droit de recevoir un enseignement de qualité. En contrepartie, il a le devoir d'être présent et bien disposé à tous ses cours. De plus, l'assiduité est un savoir-être indispensable au monde du travail.
La participation est ainsi circulation de paroles et d'actions, entre l'enseignant et sa classe d'une part, entre les élèves d'autre part, censée être efficiente à la fois sur les processus d'enseignement et d'apprentissages et sur le fonctionnement du groupe.
La motivation est un élément moteur dans le processus d'apprentissage. Elle joue un rôle central pour favoriser l'engagement des élèves dans l'activité que propose l'enseignant en classe. Elle conditionne à la fois le degré d'attention des élèves et le niveau d'effort qu'ils vont y consacrer.
Pour favoriser leur participation, on peut : • Les aider à trouver des solutions à leurs problèmes. Planifier des activités qui répondent à leurs besoins. Offrir des services connexes qui les libèrent de différentes contraintes.
Ce terme péjoratif sous-entend que « les personnes qui soutiennent une cause à l'aide d'actions simples ne s'engagent pas vraiment en faveur du changement». La participation active en ligne, comme la participation hors ligne, peut être influencée en fonction de l'implantation démographique des utilisateurs.
Adopter des règles de communication pour encourager la prise de parole. Le questionnement est un élément central de l'enseignement et il est même considéré comme un art dans la maïeutique de Socrate. Si la formulation de la question est souvent au centre de l'attention, le cadre de la réponse est tout aussi important.
Les méthodes actives visent à privilégier l'activité de celui qui apprend et non l'activité de celui qui enseigne. Apprendre en agissant est le concept clé des méthodes utilisées en pédagogie active. La connaissance s'acquiert non plus par simple transmission.
Statistiquement parlant, on retrouve dans le profil des décrocheurs l'incontournable liste des prédicteurs de l'échec scolaire. Milieux sociaux et familiaux défavorisés, redoublements précoces (souvent dès le cours préparatoire), graves difficultés dès l'école primaire.
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
Outre la perception générale de soi, la motivation scolaire de l'élève est influencée par les perceptions spécifiques de soi. Celles-ci permettent d'expliquer pourquoi certains élèves sont motivés à apprendre alors que d'autres le sont moins (2).
Il peut également s'agir de dysphasie, un trouble du développement du langage oral de l'enfant. Mais ces troubles peuvent aussi concerner le développement moteur de l'enfant (dyspraxie), des troubles d'attention, ou encore des troubles relatifs aux activités numériques ou dyscalculie.
Qu'est-ce qu'une classe difficile ? Une classe est catégorisée difficile quand un enseignant est empêché d'exercer correctement son métier et que la majorité des élèves ne peut plus se concentrer et travailler dans le calme, à cause de perturbations.