Il peut y avoir plusieurs raisons qui poussent les enfants à détruire les objets qui les entourent ou du moins à ne pas y faire attention. Une des raisons possibles peut être le comportement du parent envers ses propres choses. Il ne faut jamais oublier que les enfants apprennent par imitation.
Un enfant peut ressentir le besoin de garder des objets : Pour essayer de mieux comprendre le monde qui l'entoure. En effet, l'enfant de 5 ans et moins découvre le monde dans lequel il vit. Ramasser et conserver des choses, c'est pour lui une façon d'essayer de mieux le comprendre.
Un tout-petit réagit parfois en frappant et en hurlant lorsqu'il est frustré par une limite. C'est parce qu'il a encore peu de contrôle sur lui-même et parce qu'il maîtrise mal les mots pour exprimer ses émotions. En grandissant, il apprendra peu à peu à mieux se contrôler.
En cas de crise, le mieux est de s'éloigner et si possible, s'isoler. Puis, détournez l'attention en lui proposant de boire un peu d'eau par exemple, et expliquez-lui d'un ton très ferme qu'il a mal agit, sans crier bien sûr. De retour à la maison, en rediscuter avec l'enfant et lui rappeler les règles.
Les huit ans, quant à eux, ont été unanimement désignés comme l'année la plus difficile à vivre.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
L'agressivité envers sa famille vient signaler que la relation entre la personne agressive et sa famille mérite d'être traitée autrement que par l'indifférence, coup de gueules ou carrément des passage à l'acte : un père qui frappe sa femme, la fille qui tape son père ou le fils qui agresse sa mère.
- Depuis le 22 décembre dernier et l'adoption du projet de loi "égalité et citoyenneté", "tout recours aux violences corporelles" est interdit dans l'exercice de l'autorité parentale. En clair : les parents n'ont plus le droit de donner une fessée ou une gifle à leurs enfants.
Se rapprocher de lui, le rassurer, lui montrer que vous êtes présents et à l'écoute suffisent parfois à l'apaiser et à faire cesser les violences. Si votre enfant refuse le dialogue, expliquez-lui que vous ne pouvez pas le laisser dans cette situation et que vous devez vous faire aider.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
Une façon de canaliser son énergie
Certains enfants bougent sans cesse. Ils ont besoin de toucher et de manipuler les objets pour canaliser leur énergie. Si c'est le cas de votre enfant, l'activité physique et les jeux sensoriels (ex. : jeux d'eau et manipulation de pâte à modeler) l'aideront à libérer son énergie.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
La peine est de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Ce genre de punition est souvent acceptable, du moment qu'elle n'est pas extrême ou excessive. S'ils vous frappent pour passer leurs nerfs, c'est de la maltraitance. Il en va de même s'ils vous frappent trop fort. Vos parents vous ont-ils frappé pour que vous arrêtiez de faire quelque chose qu'ils n'aimaient pas ?
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
On détruit notre entourage sans s'en rendre compte, ce qui finit par nous détruire aussi. On culpabilise beaucoup, du coup.
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.