L'énergie éolienne est variable Les éoliennes produisent une énergie variable dans le temps. C'est notamment le cas de celles à axe de rotation horizontal, qui sont des éoliennes qui ne peuvent exploiter tous les vents : elle s'arrêtent lorsqu'il n'y en a pas assez ou, au contraire, lorsqu'il y en a trop.
Il y a en effet un risque d'usure prématurée et d'accident dans ce cas. La plage de fonctionnement des éoliennes dépend donc d'un compromis entre la force des vents et les contraintes techniques d'exploitation. Bon plan : Smartbox pour les sportifs et les aventuriers ULM, escalade, canyoning, paintball...
Le principal inconvénient de l'énergie éolienne est son caractère imprévisible. Les vents étant rarement des données constantes (car leur puissance et leur direction varient sans cesse), les éoliennes ne peuvent pas fournir une production constante d'électricité.
Un compresseur fixé à l'éolienne comprime l'air dans un réservoir situé à l'intérieur de l'éolienne, créant ainsi de l'énergie potentielle. Cette energie est libérée pour alimenter un moteur Zired au sol, qui la convertit en electricité stable par l'intermédiaire d'un générateur commercial.
En effet, une éolienne est constituée de béton et d'acier à 90 % pour le mat et à 10 % de fibres de verre ou de carbone pour les pales. Le problème réside justement dans le traitement de ces pales, difficiles à recycler. Faute de mieux, elles sont brûlées et utilisées comme combustibles dans les cimenteries.
Énergie renouvelable, l'éolien a, comme toute énergie, un impact sur l'environnement. Mortalité des oiseaux et des chauves-souris, besoin en matières premières, infrasons, bruit,... Reporterre fait le point sur ce qui pose problème ou pas.
Selon une étude de l'ADEME publiée en 2015 sur l'analyse du cycle de vie des éoliennes en France, l'éolienne terrestre émet en moyenne 12,7 g de CO2 par kWh, et l'éolien maritime 14,8 g de CO2 par kWh, valeurs proches de celles avancées par le GIEC.
Les faire tourner alors qu'il n'y a pas de vent permet de réduire la pression exercée sur le système de rotation. Ainsi, il est possible de prolonger la durée de vie de l'éolienne (...)
Chaque éolienne est constituée d'un mât au sommet duquel est installé un rotor (c'est-à-dire trois pales et un moyeu). Cet ensemble est fixé à une nacelle qui contient le générateur et un moteur qui permet d'orienter le rotor pour qu'il soit toujours face au vent.
Trois pales permettent également d'assurer un mouvement plus régulier à l'éolienne et donc de produire une électricité de meilleure qualité, avec moins de fluctuations. Le courant produit par une éolienne à trois pales est donc plus stable et respecte mieux le réseau électrique.
L'un des inconvénients majeurs de cette énergie reste sa difficulté à la prévoir. En effet, les vents sont difficiles à anticiper et il faut savoir que, si une éolienne a besoin d'un vent minimum pour démarrer, elle s'arrêtera de fonctionner en cas de vents supérieurs à 90 km/h.
Les avantages sont nombreux.
Autre avantage de l'énergie éolienne : la matière première (le vent) est gratuite. Néanmoins, il y a aussi des inconvénients non négligeables qu'il convient de citer : le coût des pales étant élevé, une longue période est donc nécessaire pour assurer le retour sur l'investissement.
L'énergie éolienne a le vent en poupe. En plus de n'émettre aucun gaz à effet de serre, l'énergie éolienne est inépuisable et largement disponible en France. Elle dispose du plus fort potentiel de croissance par rapport aux autres énergies renouvelables(1).
Une éolienne produit de l'électricité grâce au vent. Sa force actionne les pales du rotor, qui met en mouvement un alternateur.
Une durée de vie entre 15 et 30 ans
« Il faut compter 15 à 25 ans pour un aérogénérateur terrestre, et 20 à 30 ans pour une éolienne maritime.
Re: Question bête sur le sens de rotation des éoliennes
Après, comme les palles peuvent tourner sur leur axe (pour s'adapter à la puissance du vent), on peut très bien imaginer faire tourner l'éolienne dans l'autre sens, sans modifier quoi que ce soit.
Des éoliennes peuvent dans certaines conditions (vitesse et direction du vent, horaire de la journée) être freinées ou arrêtées pour respecter la règlementation acoustique, qui fixe des seuils d'émergence sonore chez les riverains du parc lorsque le niveau de bruit ambiant est supérieur à 35 dB(A).
Les éoliennes sont indépendantes les unes des autres. Donc le mouvement des hélices se fait indépendamment des autres. Vous verrez que dans un parc d'éoliennes, certaines tournent et d'autres sont à l'arrêt. Ce mouvement est rendu possible grâce au vent qui n'est pas homogène et qui sillonne d'un endroit à un autre.
Un vent inférieur à 10 km/h est insuffisant pour faire démarrer et tourner une éolienne. À l'inverse, un vent trop fort entraîne l'arrêt de l'éolienne, de manière à éviter tout risque de casse des équipements et minimiser leur usure.
Pour démarrer, une éolienne a besoin d'une vitesse de vent minimale, de l'ordre de 10-15 kilomètres/heure. Mais l'éolienne a aussi une limite supérieure : 90 kilomètres/heure, parfois plus sur certains modèles récents.
Commençons par les facteurs positifs pour l'environnement : la production d'électricité avec une éolienne n'est pas polluante en termes de rejets de CO2 ou d'autres particules nocives. Par contre, la production de l'éolienne en elle-même, sa fabrication, nécessite de l'énergie et peut impliquer des rejets.
– 14,1 g éqCO2/ kWh pour l'éolien terrestre ; – 56 g éqCO2/ kWh pour le photovoltaïque.
Plus de 90 % de la masse des éoliennes (acier, béton, aluminium, cuivre) sont réutilisés ou recyclés dans des filières existantes. Une filière de recyclage se met en place pour la fibre de verre, composant majeur des pales qui représente aujourd'hui l'essentiel des matériaux non valorisés.
Les opposants aux éoliennes leur reprochent de produire trop peu d'électricité, d'avoir un impact négatif sur la biodiversité, de défigurer les paysages, d'être à l'origine de nuisances sonores ou encore, de ne pas être recyclables.
La filière a bien profité des aides publiques
C'est-à-dire qu'EDF achetait l'électricité produite par les éoliennes directement aux exploitants à un tarif au-dessus du marché : 82 euros le MWh, quand le marché se situait autour des 60 euros.